La grande finale du Pigeon d’Or 2014

Enfin ! Avec pas mal de retard (dû entre autres à l’exil du rédacteur en chef dans le Val de Bagnes…), la finale du Pigeon d’Or 2014 peut démarrer. Avec un plateau très éclectique, même si les footeux tiennent – comme toujours – le haut de l’affiche. Ami lecteur, tu as jusqu’au dimanche 15 mars 2015 pour désigner le grand vainqueur du Pigeon d’Or 2014 !

Brandão

Décidément, les footballeurs brésiliens ont fait très fort cette année ! Eternellement boudé par son pays pour honorer les couleurs auriverde, Evaeverson Lemos da Silva a trouvé un autre terrain de jeu sur lequel se distinguer : celui du championnat de Ligue 1. Souvent raillé et moqué pour ses bien piètres qualités techniques, l’ancien Phocéen au catogan est également connu comme le loup blanc pour ses frasques sur le terrain comme en dehors du terrain. Rappelez-vous du fameux «j’ai pas touché !», de ses nombreux coups de coudes ou encore de l’affaire présumée de viol, et bien désormais Brandão fait face à un nouveau scandale, celui du coup de boule.
Au terme d’un match houleux entre les starlettes pleines aux as parisiennes et les chauds bouillants Corses, l’ancien joueur du Shakhtar a complètement pété une durite au point de mettre sur pied un plan machiavélique. Excédé par la tournure du match, le grand Brandon a attendu Thiago Motta dans le couloir menant aux vestiaires afin de lui asséner un magnifique coup de boule. Un geste apparemment prémédité par le Franco-Brésilien qui avait avoué un jour être prêt à porter les couleurs de l’équipe de France qui, elle, n’en a à juste titre jamais voulu. Au final, une affaire qui se terminera peut-être par un passage à la case prison et très certainement par une fin de carrière en apothéose «à la Zizou» pour le joueur le plus technique de l’histoire du Brésil. En plus de cela, il pourrait repartir avec le titre bien mérité de Pigeon d’Or 2014.

Bernie Ecclestone

Que les choses soient claires d’entrée, je n’aime pas ce pseudo-sport qu’est la F1. Donc je suis  probablement la personne la plus qualifiée pour parler du magouilleur en chef de ce machin, l’abominable Bernie Ecclestone. Le petit nain anglais, créateur de cette énorme pompe à fric qu’est devenue la Formule 1 (non stupide par excellence) fut élu Pigeon d’Or du mois d’août pour sa contribution néfaste à ce tentaculaire cirque bruyant conçu pour des élites et des sponsors qui ont depuis longtemps vendu leur âme au capitalisme abusif.

Le scandale colle à la Formule 1 un peu comme un pet fétide te poursuit après une bonne soupe aux choux. Après les exploits médiatiques sado-maso à la sauce nazie de Mosley, Ecclestone a introduit nombre de pratiques fort peu enviables dans ce Knie mondial (financement politique sous forme de commandites douteuse, nombre de soupçons de corruption et blanc-seing pour un gouvernement arabe et oppressif juste pour voir des bolides tourner en rond). Décidément, la F1 pue du bec et à voir les comportements des Hamilton et autres Grosjean, on peut rationnellement se demander si cette énorme écurie ne s’est pas transformée en une incontrôlable roulette russe.  

Comme si ce tableau désastreux ne suffisait pas, ce minus d’Ecclestone en remit une couche alors qu’il risquait la taule pour une soi-disante  distribution de pots-de-vin en Germanie. Niant tout en bloc et alors qu’on lui avait rien demandé, le Madoff de la F1 décida de généreusement distribuer 100 millions de dollars aux justiciers allemands afin de s’acheter une innocence, un peu comme quand tu te paies un thé froid à la cantine de la Migros. Et le pire, c’est que ça a marché pour le Pinocchio d’Ipswich, sous les hourrah de tous ceux qui viennent bouffer au râtelier de ce pseudo-sport inventé pour des mâles en manque de virilité. Mais à la limite tant mieux si Bernie la Combine s’en soit sorti car avec les progrès de la médecine et son sens aigu de l’éthique sportive, le vieux grisonnant n’a pas encore fini de creuser la tombe de la F1. En plus, avec son caractère de pougneurs invertébré, Ecclestone viendra lui-même mettre la couronne mortuaire sur son jouet et ce jour-là, promis, je m’intéresserais finalement à la F1. Ecclestone en première ligne pour notre course au Pigeon d’Or 2014 ? A vous de décider, chers lecteurs ! 

Alain Joseph

Comme toute la Suisse du football le sait, le Lausanne-Sport a subi la première relégation sportive de son histoire au terme d’une saison 2013-2014 misérable. Pour sa première vraie année à la tête du club, le patron de la boîte G. Dentan a vécu un véritable cauchemar et, qu’on le veuille ou non, il en est principalement responsable. Ce qu’il a d’ailleurs toujours reconnu sans se cacher. En prolongeant le contrat de Laurent Roussey malgré un printemps 2013 pitoyable et un sauvetage quasi miraculeux, le président a creusé sa propre tombe et celle de son club de coeur. Il a surtout commis l’erreur de laisser les clés à l’entraîneur français en lui faisant une confiance aveugle pour les transferts, avec pour conséquence les résultats que l’on sait et une immense cassure avec les héros de la promotion de mai 2011. Exit en effet les Favre, Roux ou autre Marazzi. A leur place, le duo Joseph – Roussey leur a préféré des mercenaires de troisième zone, ceux-là que même les plus petites écuries de Ligue 2 ne veulent plus.

Suite à ces transferts ratés couplés à une préparation physique digne de Koh Lanta, le LS s’est distingué comme étant le plus mauvais club d’Europe – tous championnats confondus – pour son début de saison 2013-2014. Alors que la sonnette d’alarme aurait dû être tirée bien plus tôt, Alain Joseph a attendu la fin du mois d’octobre pour mettre fin au pensum de l’imposteur Roussey. Malheureusement, le mal était fait et, malgré un sursaut d’orgueil de courte durée sous l’impulsion du duo Atamaniuk – Simone, le club des Plaines-du-Loup a terminé l’exercice avec… 18 points de retard sur l’avant-dernier. Un record négatif qui a permis à Alain Joseph de rejoindre la longue liste des présidents de clubs romands à avoir remporté le Pigeon d’Or mensuel. Ceci étant, fera-t-il aussi bien que Christian Constantin, Bulat Chagaev et  Waldemar Kita en remportant la distinction suprême ?

Massimo Lorenzi

Brillant lauréat du Pigeon d’Or des JO, Massimo Lorenzi tentera de ramener un troisième volatile doré à la RTS, après les sacres de Pierre-Alain Dupuis en 2008 et Pascale Blattner l’année dernière. Le chef du service des sports a eu la brillante idée d’agrémenter les JO de Sotchi en sur-utilisant son compte Twitter pour retransmettre au plus près la passion aux téléspectateurs. Las, l’apprentissage des réseaux sociaux ne s’est pas fait sans mal. Mettant un point d’honneur à répondre à toutes les sollicitations sans exception, le sex-symbol des ménagères de plus de 50 ans a passé deux semaines à remercier avec fausse humilité tout commentaire sachant relever le talent des employés du service public. Quant aux cuistres qui osèrent émettre une once d’avis critique, c’est à coups de «on se réjouit de recevoir votre candidature» ou autre «Montréal ça s’écrit avec un accent aigu si jamais» qu’ils furent reçus. S’il est normal qu’un chef protège le travail de son équipe, l’idole des grands-mères aurait pu nous surprendre et faire preuve d’un peu moins de hautaineté. Que la RTS ait fait son boulot correctement c’est une chose – c’est même la moindre des choses –, tout n’a clairement pas été parfait et il eut été de bon ton de le reconnaître. Se rendant compte de l’absurdité de ses remarques spasmodiques – ou de l’ampleur de la tâche qui l’attendait s’il persistait à vouloir répondre à chaque critique sur la performance des commentateurs, c’est selon – Massimo a fini par supprimer lâchement ces twittos incompatibles avec sa précieuse image d’intellectuel détendu. Pour la remise en question par contre, on repassera.

Et le travail de sape de l’ex roi du 19h30 ne s’arrête pas là. Il a continué toute l’année, jusqu’à l’émission Ça va le chalet ?, à nous bassiner avec une position toujours aussi cocasse : internet est dégueulasse parce que des anonymes se permettent de vomir sur tout et n’importe quoi. Bref, en un mot comme en mille, Monsieur Lorenzi ne supporte pas la critique. C’est sûr que les forums du web et autres commentaires sur Twitter, Facebook ou n’importe quel site n’a pas la même saveur que les courriers des lecteurs de nos belle-mères de l’époque. On veut bien que ça choque, mais avouez quand même qu’un chef du service des sports qui promeut l’utilisation des réseaux sociaux allergique à la vox populi, ça fait bizarre. Mais on le sait depuis longtemps que les critiques et l’autocritique sont des mots censurés dans la tour de Genève depuis plus de 25 ans…

David Luiz

Elu avec raison Pigeon d’Or de la Coupe du Monde dans son propre pays, David Louise a tout autant brillé par sa performance footballistique que par son comportement. Grand acteur de la débâcle brésilienne dans une demi-finale restée dans l’histoire, il a conduit son pays dans une tristesse sans précédent depuis 1950. Un comble dans un pays qui possède le monopole de la bonne humeur et de la joie de vivre (avec le Québec). Voulant à tout prix sauver sa patrie, le Tahiti Bob brésilien a mis le professionnalisme de côté durant 90 minutes et a tout bonnement oublié qu’il était sur le terrain avant tout pour défendre face à une Mannschaft redoutable qui n’en demandait pas tant. Sortant presser très haut, l’actuel joueur du PSG a ainsi offert des autoroutes aux attaquants allemands qui s’en sont donné à cœur joie à sept reprises. Il aurait mieux valu pour lui de se montrer prudent en attendant par exemple un coup de coin ou un coup-franc pour aller forcer le destin, comme ce fut le cas face au Chili ou à la Colombie.
Le Valderrama sans moustache a également émerveillé par son attitude générale durant cette fête du football. Tout d’abord, il y eut cette attitude de cocaïnomane en quarts face à la Colombie, puis il y eut ce cinéma pathétique d’avant match face à l’Allemagne où, mué en capitaine, il en a fait des tonnes avec ses t-shirts de Neymar et ses sempiternelles prières envers Jésus qui n’avait apparemment surtout pas envie de l’aider. Enfin, il y eut ces larmes qui au moins avaient le mérite d’être bien sincères. Oui, tant par son sens tactique hors norme que par son attitude détestable de tête à claques, David Luiz mérite son titre de Pigeon d’Or 2014 !

Laurent Roussey

Lolo, l’ex diva verte promis à la succession de Platini (pas à l’UEFA rassurez-vous !) peut être vraiment fier de lui. En effet, il rejoint triomphalement la longue liste des entraîneurs chevrotants tels que les Ravanelli, Gullit, Santini voire Gattuso pour nous ramener sur les lieux du crime, en Romandie. Pigeon d’Or de janvier, cette pive de Laurent Roussey peut se targuer d’avoir reçu plus de votes sur notre site qu’il n’a marqué de points lors de la saison 2013-14. Car l’ex usurpateur de la Pontaise a fait des dégâts monstres si l’on ressort les chiffres de sa saison que certains se sont amusés de caractériser d’«hollandiens» : en 20 matches de championnat (12 avec le LS, 8 avec Sion), le Raymond Domenech du pauvre a comptabilisé 3 victoires, 1 matches nuls et… 16 défaites. Mais il en fallait plus pour voir Roussey endosser quelconques responsabilités pour les désastres commis au sein des deux locomotives (!) du foot romand. Bien au contraire avec un clapet digne d’un sidérurgiste de Force Ouvrière, le Monsieur Satisfait du LS ne s’est jamais remis en question malgré des performances plus qu’affligeantes aux Plaines du Loup et des transferts de chèvres qu’il avait magistralement orchestrées (Bouazzi, Kadusi et Pimenta pour ne citer que les plus grotesques).
Non content de s’attirer le courroux des résignés de la Pontaise défaite après défaite, le natif de Nîmes n’hésita pas à s’auto-réclamer valaisan («Je reviens à mes premiers amours en Valais» lorsqu’il décida de rejoindre l’essoreuse d’entraîneurs qu’est la Porte d’Octodure, pour la troisième fois, ce qui démontre que Lolo est peut-être maso). La lune de miel tourna vite au vinaigre et il dut honteusement laisser sa place à Fred Chassot (c’est tout dire) pour éviter que Sion ne possède, suite au passage de cette inutile de Roussey, deux ruines s’appelant Tourbillon. L’aventure de l’entraîneur (vraiment ?) français dans le foot suisse est terminée (à moins que Le Mont ne tente le tout pour le tout ?). Au final, le LS paya au prix fort l’inaptitude de cet entraîneur de pacotille, relégation et contrats à honorer pour ne citer que les problème les plus immédiats. Mais le pire c’est que ce Philippe Lucas des rectangles verts a également été capable de retirer son âme au LS en évinçant les joueurs phares de la promotion, comme si par magie il serait parvenu avec ses maigres capacités d’entraîneur à nous faire en-haut sur la Pontaise, du Barça à la sauce Lac Léman. Seul point positif, le bref chemin de Roussey en Suisse croisa la route de l’insatiable d’Octodure ainsi que les coups de gueule des connaisseurs du foot de CartonRouge.ch. De là en faire un vainqueur de notre finale des Pigeons 2014, je ne l’en crois guère capable car même pour cette compétition émérite, Roussey réussirait à mettre en place une tactique foireuse.

Jo-Wilfried Tsonga

Tsonga a commencé l’année en trombe, le tennis en berne mais la gueule grande ouverte après la victoire de son ancien «pote» Stan The Man à Melbourne. Le Kinder Bueno du Mans a eu alors l’intelligence d’esprit de disserter dans les colonnes de L’Equipe sur le fait qu’il méritait davantage que Stan une victoire en Grand Chelem : «Moi, des demies, j’en ai joué six ou sept (cinq en réalité). Ça aurait mérité que ce soit moi, mais c’est comme ça». Il méritait surtout une bonne paire de claque pour dégonfler son melon de champion du monde.

Jo le Taxi aurait pu être un héros en remportant la Coupe Davis à domicile, il a fini l’année en zéro dans une exhibition en Asie. Blessé au bras en septembre, Wildfried a fait du Wildfried, comme tout au long de sa carrière. C’est-à-dire de la (mauvaise) gestion à l’émotionnel de son emploi du temps comme un gamin qui ne connaît pas son corps à bientôt trente ans. Il aurait dû poser la raquette, se reposer et annuler les tournois prévus (dont Paris-Bercy) afin de se mettre au vert et à disposition d’Arnaud Clément comme Jo-ker lors de la finale à Lille.

Il a préféré finir la queue entre les jambes lors de la première journée et la gueule ouverte, pour boucler la boucle, dans les toilettes à faire la morale à Stanimal. Là aussi il aurait mérité une bonne claque. Nominé mais une nouvelle fois pas gagnant aux Boulards d’Or*, Tsonga mérite en tout cas l’ultime récompense, à défaut de GC et CD, qu’est le Pigeon d’Or 2014, pour l’ensemble de son œuvre en dehors et sur le court.

* nouvelle invention du journal L’Equipe qui a copié un prestigieux prix romand bien connu de la rédaction…

Pascal Zuberbühler

Le cv de l’ancien portier de la Nati depuis sa reconversion ne plaide guère en sa faveur, entre un projet de reprise de Neuchâtel Xamax avorté, un bref passage aux Philippines et un échec retentissant à Young Boys aux côtés de son éternel complice Christian Gross pour l’un des flops les plus onéreux de l’histoire récente du foot suisse. Mais, arrivé à la Praille dans un rôle d’entraîneur des gardiens et d’ambassadeur du club grenat, Zubi a su s’attirer les bonnes grâces présidentielles en susurrant des théories grandiloquentes et des ambitions monumentales dans les oreilles peu expertes d’Hugh Quennec.
Résultat : Pascal Zuberbühler est devenu l’homme fort du FC Servette. Avec pour résultat d’avoir mis sur la touche le directeur sportif Loïc Favre, pourtant venu pour incarner un projet à long terme, de s’être aliéné une bonne partie du vestiaire, d’avoir complètement foiré la campagne de transferts hivernale et d’avoir fragilisé jusqu’à l’éviction la position de l’entraîneur Jean-Michel Aeby. Avec Flamby Quennec dans le rôle de président et Zuberbühler comme premier ministre, l’organigramme servettien rappelle feu le gouvernement de Jean-Marc Ayrault, pléthorique et inefficace, plus prompt à creuser les déficits qu’à inverser positivement la courbe des résultats. Ainsi, Servette a vécu une saison 2013-2014 catastrophique et a stagné dans le ventre mou d’une LNB pourtant particulièrement peu relevée l’année dernière. Merci Zubi, merci !

A propos Paul Carruzzo 206 Articles
Elle est pas un peu belle notre Nati et tout le bonheur qu’elle nous amène ? Alors, Rickli et compagnie, si vous ne vibrez pas devant cette équipe, vous n’êtes pas non plus monstrement obligés de regarder. Profitez d’un bon match de hornus et foutez la paix à nos joueurs, qui comme vous, ont un joli passeport rouge à croix blanche.

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11 Commentaires

  1. Choix extrêmement difficile!
    Joseph, Lorenzi, Tsonga, Zubi…. De beaux pigeons!
    Etant genevois, je ne peux que voter « pour » l’immense Zubi.
    Réussir à détruire un club en 3 semaines, franchement bravo champion!

  2. Pas facile du tout… Roussey et son incompétence ? Lorenzi et son arrogance couplée de méconnaissance du sport (un comble !?) ? Ou alors Tsonga le grand blessé ?

  3. Ouais ouais ouais…belle brochette, mais y’en a aucun qui se détache vraiment. SI j’ai hésité à voter David Luiz pour la seule phrase « le Valderrama sans moustache », je vais plutôt choisir Tsonga.

  4. Tsonga,

    Qui était pourtant « prêt et le plus fort dans la tête », qui après 2 matchs s’est plaint du public, puis n’a plus joué sur blessure et a vu la coupe Davis arriver dans son pays financier, puis rattrape sa prime avec un match d’exhibition !!

    mouhahah belle mentalité de champion !!

  5. Roussey pour l’ensemble de ces œuvres !

    Reprenez lui son permis de travail à celui-là, sa augmentera nos contingents de travailleurs étrangers !

  6. Dommage qu’on ne puisse pas ajouter quelques propositions et en retirer. Dans la dernière catégorie, si je pouvais, je bifferais Alain Joseph..
    Trop facile, les gars, de s’en prendre à ce malheureux. Il n’a pas fait tout juste? Soit. Il n’a pas acheté qui il fallait? Soit D’accord avec tout ça. Reste que bon an mal an, le club qu’il dirige existe encore.
    On peut dire tout ce qu’on veut sur les dirigeants de clubs mais pourquoi ménager pareillement les joueurs? C’est eux finalement les footeux, eux qui font ou ne font pas ce qu’il faut, courent ou ne courent, marquent ou ne marquent pas, non? Et à eux, jamais on ne demande de comptes. CR se distinguerait en pointant quelques impostures qui traînent sur les terrains d’ici surtout. Des noms? A peu près tout l’effectif de Lausanne, de Lucerne, de Sion et j’en passe. Mais serait-ce que CR vit encore avec cette idée que les joueurs sont intouchables et que comme ils disent, c’est toujours les fautes des autres..?

  7. Roussey sans hésitation. OK cela ne touche pas à l’international, mais il a quand même fait très très fort le français!

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