Terme qui nous paraît si galvaudé quand on ne voit pas onze mecs avec un maillot marqué Qatar sur le torse essayant de faire rouler une balle dans une cage contre onze mecs avec un maillot flanqué du nom d’une
En août 2011, Javier Poves, du Sporting Gijon, avait défrayé la chronique en rompant unilatéralement son contrat parce que le football «n’est qu’une histoire de fric».
La liste de ces stars internationales est impressionnante. A commencer par le Dieu vivant, Diego Maradona en personne. «El Pibe» a toujours revendiqué son admiration, sa vénération même, pour son prestigieux compatriote.
«Hasta la victoria, siempre»En Argentine, sa terre natale, le Che connaît une popularité qui ne faiblit pas. Diego Maradona en personne arbore fièrement un tatouage du Che sur son bras droit.
Depuis tout petit, «Ernestito» voue une véritable passion pour le rugby, en dépit des interdictions formelles de ses médecins et des remontrances de son père: «J’aime le rugby et même si j’en crève je continuerais à le pratiquer.» Le ton
Houston, Texas. Quatrième ville des Etats-Unis, détentrice du record mondial en terme d’étalement urbain, une atmosphère suffocante même en décembre. La ville texane symbolise à elle seule la société de consommation made in America.
Après une petite saison régulière d’à peine 162 matchs, la grande finale de la MLB a opposé cette année les grands favoris des Cardinals de St-Louis aux Red Sox de Boston pourtant promis à la dernière place au classement.