A la fin de ce Lausanne – Wohlen, on n’a pas glosé longtemps dans le bar de la Confrérie (le must des bars à foot où les gens aiment vraiment le football et tout ce qui va avec, j’y reviendrai…
On avait quitté une bien triste Pontaise en fin de saison dernière. Le LS venait de boucler une «saison pour rien», avait changé trois fois d’entraîneur en six mois et stagnait dans le ventre mou du classement.
Cher Jocelyn Roux, cher Alexandre Pasche, j’aimerais vous dire combien vous pourrez payer vos verres tout seul lors de votre prochaine descente à Lausanne.
Dimanche, post samedi soir de beauf. Pas de gueule de bois, juste le teint frais après un brunch devant Téléfoot au lendemain d’un bowling avec trois copines moches et deux parties d’échec avec mon voisin de 100 ans.
Dimanche 14h. De ces dimanches post-cuite, d’adulescent attardé qui trouve en un après-midi ensoleillé le prétexte maudit d’aller prendre l’air et voir… des potes. Après une chasse en famille, départ pour Sous-Ville.
La décision est tombée la semaine passée : Francesco Gabriele, l’homme providentiel sur lequel le LS devait compter pour reconstruire une équipe sur le moyen/long terme, s’est fait virer d’une des façons les plus honteuses qu’il soit : par les remplaçants et
Aller voir jouer son équipe contre Wintherthour, c’est toujours avoir l’assurance d’un match généralement plaisant contre un club qui ne pratique pas à outrance la tactique minimaliste du bunker si chère à Wohlen.