La vie est-elle toujours Piubel ailleurs à l’heure du troisième épisode ?

Réponse: oui. Vous avez vu comme il fait moche et froid ici ou bien ?

Non, on ne vous avait pas oubliés. Mais oui, vous, les 4 lecteurs qui dévorez assidûment cette rubrique depuis son lancement en l’an de grâce 2024. Celle-là même qui a joui d’un succès aussi confidentiel que circonscrit dès le début d’une aventure dont la durée sera bientôt comparable à un mandat de José Mourinho au XXIe siècle 🍾 En route pour l’épisode 3, au cours duquel on se propose de faire un bilan intermédiaire des performances des clubs qui concernent les Suissesses les plus en vue à l’étranger au moment de débuter le deuxième tour, la poule scudetto/salvezza ou encore (pour les plus chanceuses) les fameux et sacrosaints playoffs. En voiture, Simone ! Euh enfin plutôt en métro, Seraina ! Oui, West Ham, c’est un peu le trou du cul du monde à l’orée de la Zone 4 du Tube et on espère que vous ne songiez pas à conduire en plein Londres.

ANGLETERRE 🏴󠁧󠁢󠁥󠁮󠁧󠁿

Les Suissesses ont le Blues. Toutes ? Non ! L’une d’entre elles résiste encore et toujours à l’envahisseur du sud-ouest londonien. Pas pour le titre, ce sera bien le sixième de suite pour Chelsea, mais peut-être bien une place européenne.

Arsenal

On n’arrête pas de le lire partout, la présence de la capitaine de la Nati pour les prochains matches de Ligue des Nations et surtout pour l’Euro est ab-so-lu-ment in-dis-pen-sa-ble ! Pour les plus sourds et aveugles d’entre nous qui n’étions toujours pas au courant, la plaque tournante du milieu de terrain d’Arsenal s’est faite l’autrice d’une performance MAJUSCULE LORS DU – pardon, encore cette touche caps lock coincée – lors du derby contre Tottenham joué devant 56’784 personnes à l’Emirates Stadium (5-0 le 16 février dernier). Ne cherchez pas la Bernoise sur la feuille de stats, vous ne l’y trouverez pas. En effet, les récupérations de ballons tuant les offensives adverses dans l’œuf, la précision absolue de la passe pendant 90 minutes et les impulsions initiales menant à des occasions voire des buts n’y sont pas comptabilisées au même titre que des goals ou des assists. On suggère donc à Lia Wälti (oui, c’est bien elle dont nous parlons depuis une demi-heure) de se mettre au hockey sur glace, sûr que son décompte de deuxièmes assists et son +/- crèveraient le plafond (de verre).

Le score total du North London Derby depuis la création de la Women’s Super League en 2011. Va falloir continuer à bosser sur les rivalités dans le foot féminin.

Tottenham

En plus de se retrouver dans le ventre mou du classement, Luana Bühler doit avoir faim de temps de jeu. En effet, la défenseuse du club de Seven Sisters (et même pas celles de Joey) n’a joué que 225 minutes sur 1080 possibles en 12 matches depuis la publication de l’épisode 2 de cette rubrique en novembre dernier (ouf, on a cru qu’on n’allait jamais pouvoir placer cette auto-promo !). Ça fait pas mal de temps à chauffer le banc et pose quelques questions sur la compétitivité de celle qui est censée faire partie des piliers de la sélection helvétique ces prochains mois.

Aston Villa

Tout un paradoxe. L’équipe souvent citée comme la plus grosse déception de la ligue cette saison en termes de résultats avec cette pénultième place juste devant le néo-promu (et probablement futur relégué) Crystal Palace compte aussi dans ses rangs une joueuse qui pourrait, elle, être primée pour son choix de quitter Londres pour Birmingham, Oui, nous avons affaire ici à 6 mots assez rarement prononcés dans cet ordre exact. Noelle Maritz, tu préfères gagner souvent en jouant peu ou perdre plus de la moitié de tes matches, mais en passant le plus clair de ton temps sur le terrain ?

Vous avez vu ? On n’a fait aucun jeu de mots foireux, c’est cadeau !

West Ham

Le titre de cette rubrique a de beaux jours devant lui. Et pourtant c’était vraiment pas gagné au moment de pondre l’épisode précédent (c’est bon, vous avez cliqué là ?). Seraina Piubel, en plus de profiter de la forme stratosphérique de sa potentielle future adversaire en Nations League, la Française Viviane Asseyi (9 buts/5 assists en 19 matches toutes compétitions confondues), fait également son trou au niveau individuel dans l’est londonien. Lisez plutôt: la transfuge du FCZ en est à 8 titularisations en 9 parties de championnat depuis début novembre et a marqué son premier but et son premier assist dans la ligue le 8 décembre face à Crystal Palace (5-2), pour porter son total à 3 réussites et 1 passe décisive toutes compétitions confondues (oui, cette expression a assez peu de synonymes alors on se répète un peu). Pas mal pour une équipe qui avait terminé la saison dernière à la 11e place en ayant marqué en tout et pour tout seulement un point de plus qu’en 2024/2025 après seulement 14 matches sur 22.

Non, Asseyi-vous, il n’y a toujours aucun jeu de mots prévu.

P.S. On a un peu la flemme de mettre des photos cette fois, mais il y en a des jolies dans les épisodes 1 et 2 dont on croit vous avoir mis les liens quelque part.

ALLEMAGNE 🇩🇪

Quoi ? Le Bayern s’est rendu compte que pomper tous les meilleurs éléments adverses dès les premiers signes de succès d’un concurrent ça marche aussi chez les filles ?

Eintracht Francfort

On s’est souvent demandé ce qui devait être arrivé dans la vie de parents nidwaldiens pour soudain décider d’appeler un de leurs rejetons Géraldine. C’est un peu comme si deux Challensois de souche baptisaient leurs enfants strictement francophones Hanspeter et Regula. Enfin, pourquoi pas hein. Bref, Géraldine Reuteler a survécu aux probables brimades dans la cour de récréation et bientôt 26 ans après sa naissance, elle se porte plutôt pas mal, merci pour elle. 8 buts et 4 assists cette saison pour un Eintracht Francfort qui tient la dragée haute aux cadors que sont le Bayern et Wolfsburg comme au bon vieux temps du FFC Francfort (1998-2020) vainqueur de 7 titres en Frauen Bundesliga, 9 Coupes et 4 Women’s Champions Leagues. Le maillot féminin de l’Eintracht est d’ailleurs muni de 2 étoiles (allez savoir pourquoi seulement 2…) contrairement à son pendant masculin. Comme quoi ce bled n’est pas qu’une sausage fest. De ces 8 réussites, 5 (dont deux doublés) sont tombées entre le 9 novembre et le 9 février. Géraldine serait-elle en train d’atteindre son pic de forme 4 mois trop tôt ? Le début dudit pic coïncide en tout cas avec son premier but en équipe nationale depuis 2 ans lors du Suisse-Australie du 25 octobre (1-1) alors qu’elle avait frappé à 5 reprises en 2022 (OK, dont trois fois lors du 15-0 face à la Moldavie, mais qui est là pour pinailler ?).

Bon, on vous dit tout ça et la numéro 6 de la Nati a manqué dans la foulée les… 4 derniers matches de l’équipe nationale pour cause de blessure.

C’est ce qui s’appelle monter en puissance juste à temps pour l’Euro (euh enfin on espère).

On pourrait vous parler de Nadine Riesen, mais on va dire que la photo d’Alessia Russo (on rappelle que c’est son sosie officiel) en haut de l’article suffit en termes de mention. Bon, et surtout on n’a pas grand chose à vous raconter en dehors du fait que la Saint-Galloise ne figure pas sur la feuille de match francfortoise presque 50% du temps depuis la mi-novembre.

SC Freiburg

Julia Stierli a-t-elle Muri (AG) depuis son départ du FCZ ? On l’avait laissée sur un carton rouge et un 6-0 encaissé face à l’Eintracht la dernière fois et on la retrouve avec 6×90 minutes consécutives dans les jambes et un assist (contre Cologne, 2-0 le 15 février) à son actif. La réponse risque donc bien d’être affirmative.

RB Leipzig

Il était une fois Herzog, Elvira toutes ses concurrentes et devint numéro 1 indéboulonnable. C’est aussi vrai en équipe nationale qu’en club puisqu’elle n’a raté aucun match avec Leipzig cette saison. Malgré un début d’exercice prometteur (1 but, 2 assists) le quotidien est un peu moins Saxe-y (oui, on a déjà fait mieux…) en Allemagne centrale pour Lydia Andrade qui est sur la touche avec une blessure à la cheville depuis décembre. En ce qui concerne Lara (aucun lien de parenté avec les poètes Aurélien, Christian et Yann) Marti, on espère avoir quelque chose de plus parlant que « 482 minutes jouées et 2 cartons jaunes » à vous raconter dans un futur épisode 4.

Werder Brême

Livia Peng fait peu de bruit malgré son patronyme et on lui a clairement fait comprendre que ses outils de travail en équipe de Suisse seraient dorénavant une boîte de cirage et un banc (un couteau et des citrons s’il fait beau et chaud). Malgré tout, elle en est à 1350 minutes jouées (autant que Herzog) et 24 buts encaissés (un de moins que sa rivale et néanmoins compatriote) cette saison avec le Werder. On n’en tire pas de conclusions particulières puisqu’en dehors de ces feuilles de stats, on a vu moins de matches de Frauen Bundesliga en 2024/2025 qu’un élève de Montreux-Est a eu de pauses pipi par demi-journée de cours.

FC Cologne

Au grand dam de plus de 17 millions de followers Instagram, Alena Bienz a remplacé Alisha Lehmann, blessée, lors du dernier rassemblement de la Nati pour les matches contre l’Islande et la Norvège. Mais figurez-vous qu’en plus de créer des esclandres virtuels sur les réseaux, la native du très peu touristique arrondissement électoral d’Entlebuch joue aussi en club. On ne dira pas que Cologne prend l’eau (on vaut mieux que ça quand même), mais on le pensera suffisamment fort pour que vous l’entendiez. Et ce malgré tous les efforts de leur milieu de terrain lucernoise qui aligne les titularisations et a même marqué le game-winning goal de son équipe à Potsdam (0-1) le 7 décembre face à la redoutable lanterne rouge à la différence de buts de -48 (comme le QI de JD Vance, sacrée coïncidence quand même). Voilà, on espère vous avoir mis au parfum.

Alisha était évidemment mobilisée comme jamais en pleine deuxième mi-temps de Norvège-Suisse.

ITALIE 🇮🇹

Les fameuses poules scudetto et salvezza sont maintenant délimitées. Début du tour final ce week-end.

Juventus

Malgré un assist en Coupe contre la Lazio, les 19 minutes jouées par Viola Calligaris en 6 matches de championnat (dont 5 sans mention aucune sur la feuille de match) nous poussent à vous prier de scroller vers le haut pendant le prochain quart d’heure afin d’atteindre le passage consacré à sa collègue en défense centrale Luana Bühler et de subséquemment l’appliquer à la présente situation. Le ventre mou en moins puisque la Juve a quasiment course gagnée en ce qui concerne le titre malgré la poudre aux yeux constituée par ce tour final inspiré du modèle écossais.

Quant à Alisha Lehmann, pas d’histoire rocambolesque liée à une offre d’OnlyFans ou à un cambriolage cette fois-ci, mais simplement une blessure contractée le 16 février et l’écartant encore plus des terrains que d’habitude puisqu’elle a tout de même passé 40% de son temps hors-feuille de match depuis notre dernier pointage. Celle qui vient de signer un nouveau contrat lingerie à l’occasion de la St-Valentin (oui, c’est ce qu’on trouve quand on demande à Google quelques détails sur la durée de son indisponibilité) s’en sort malgré tout avec 1 but marqué (qui porte son total à 2 buts et 1 assist en 22 rencontres) face à Sassuolo (2-2 le 17 novembre) et une jolie figure de style juste avant la pause internationale:

On vous laisse vous délecter de l’état épouvantable du terrain et d’un euh semi-assist assez improbable dès 2:03.

AS Roma

La Roma remet en jeu les deux badges tricolores cousus sur son maillot après son doublé de la saison dernière et semble sur le point d’en perdre au moins un. En ce qui concerne les deux Suissesses engagées avec les giallorosse (Alayah Pilgrim et Eseosa Aigbogun), on vous propose de vous en reparler la prochaine fois étant donné que leurs stats post-blessures respectives ont actuellement autant de relief que le Zuidplaspolder et le Lammefjord réunis. Dans l’intervalle vous admirerez l’à-propos de notre choix de photo de tête pour cet article.

ESPAGNE 🇪🇸

Les CFF sont en retard, comme à leur habitude.

FC Barcelone

Sydney Schertenleib. Retenez Apprenez à épeler ce nom. Engagée à l’origine pour s’aguerrir au Barça B cette saison, la Zurichoise de 18 ans a déjà 80 minutes sur 5 matches à son actif avec la première équipe blaugrana et elle a même marqué son premier but il y a dix jours. On ne vous cachera pas que la défense adverse aurait clairement pu faire partie du matériel utilisé pour les épreuves de slalom spécial sur les pistes de Saalbach en début de mois, mais on ne boudera en tout cas pas notre plaisir. D’autant qu’on croit vaguement se souvenir que le milieu de terrain du FC Barcelone est tout de même habituellement quasiment exclusivement représenté par des joueuses championnes du monde et/ou doubles lauréates du Ballon d’Or.

Rendez-vous à 2:18 pour attraper le train du golazo de Schertenleib.

FRANCE 🇫🇷

Guigne-gamp, à ne pas confondre avec Gain-gamp. Il faudra avoir les Reims solides pour éviter la relégation.

Dijon FCO

Ça doit faire bizarre de faire partie de la seule équipe terrienne capable de presque suivre à distance respectable les trois extraterrestres de Première Ligue Féminine*. C’est le lot de Meriame Terchoun, attaquante de Dijon depuis bientôt 3 saisons déjà. Preuve que la mout… la mayonnaise prend entre l’Helvético-Algérienne et la formation de la Côte-d’Or. Même si elle n’est titulaire qu’un match sur deux, on peut regretter qu’elle n’ait pas complété son Grand Chelem des relégables en ne marquant pas contre Strasbourg (3 buts en tout face à Guingamp, Montpellier et Reims).

*Un salaire « normal » en France est d’environ 2000 euros mensuels alors que l’OL et le PSG paient la plupart de leurs joueuses entre 10 et 20 fois plus, avec un pic à 58’000 euros pour la reine Marie-Antoinette Katoto (PSG), selon des chiffres publiés en fin de saison passée par L’Equipe. Ce qui représente tout de même presque deux jours de dur labeur à la sueur du front de Gigi « Dollarumma » chez les collègues masculins.

SUÈDE 🇸🇪

Si on a bien compris, la saison est déjà terminée depuis belle lurette, quel KIF (enfin pas si vous êtes relégués en novembre) !

Hammarby IF

On vous avoue qu’on ne comprend pas grand chose au calendrier suédois, mais apparemment Smilla Vallotto (8 goals/13 assists en 30 matches avec Hammarby en 2024) est déjà qualifiée pour les tours préliminaires de la Women’s Champions League 2025/2026 alors que la mouture précédente n’en a pas encore terminé avec les quarts de finale. Pratique. Son championnat recommencera en avril prochain (probablement pour laisser le temps aux pelouses de commencer à dégeler).

NORVÈGE 🇳🇴

Comme en Suède voisine, c’en est terminé de la saison 2024. On imagine que le 12e du classement est impatient de recommencer.

Lyn Fotball

Naina Inauen, vous connaissez ? Faites pas semblant, avant la semaine dernière, personne – même pas Pia Sundhage – ne pouvait en dire autant hors des frontières de la Norvège (et peut-être des cantons de St-Gall et des Grisons). Comme même le site spécialisé soccerdonna.de n’a quasiment aucune donnée à son sujet, on va laisser Blick vous raconter son improbable histoire.

PAYS-BAS 🇳🇱

Quand t’as un nom d’hôtel et que ta suite n’a qu’une étoile, tu risques effectivement la relégation.

PSV Eindhoven

Riola Xhemaili joue le titre national et en est à 5 buts, 4 assists et 2 titres de Hero of the Match en 14 sorties avec le PSV. On imagine qu’elle était à un SMS norvégien d’être appelée sous les drapeaux en février.

USA 🇺🇸

On a la larme à l’oeil en repensant à ces trois semaines bénies où l’espoir de voir au moins une Suissesse en playoffs était encore vivant (snif). 

Houston Dash & Seattle Reign

La saison de National Women’s Super League (NWSL) est terminée depuis le 23 novembre (et même depuis le 3 novembre en ce qui concerne Houston et Seattle, bons derniers du championnat et donc pas qualifiés pour les playoffs) et on vous avoue qu’on ne sait pas trop ce que Ramona Bachmann et Ana-Maria Crnogorčević ont bien pu fabriquer depuis*. On vous en reparle bientôt puisque leur saison 2025 commence le 15 mars prochain. Peut-être de quoi être un poil moins harassées que le reste des joueuses européennes au moment d’aborder l’Euro, ce qui ne peut pas faire de mal à nos deux vétéranes de 34 ans, c’est-à-dire exactement deux fois l’âge de Schertenleib au moment de son transfert au Barça. Oui, sur CR rien ne nous fait peur, même pas les multiplications les plus complexes.

*Les deux matches de LdN évoqués ci-dessous ont apporté un élément de réponse: la seconde semble avoir pris le chemin de l’entraînement un poil plus souvent que la première (et tant mieux pour Schertenleib et l’équipe de Suisse finalement, l’avenir est en marche !).

En Norvège, la nouvelle orthographe sera désormais « SwizTerland » (et sinon le but qui met Bachmann à la retraite se trouve à 12:57).

Le coin de la Nati

Deux matches de Women’s Nations League avaient lieu les 21 et 25 février. En voici les comptes-rendus aussi détaillés qu’absolument exhaustifs:

Suisse-Islande (0-0) : peu dóttir cadrés.

Une pensée pour le préposé au montage des highlights qui était à deux doigts d’appeler Harry Stamper à la rescousse pour déterrer quelques faits saillants.

Norvège-Suisse (2-1) : « Ça triangle bien à l’oreille de la surface suisse. » (Sandy Maendly) Ouais, et de l’autre côté du terrain Iman-quait la finition, c’est Be… c’est ballot.

Alors que dans la surface norvégienne, ce n’est pas l’oreille qui pose problème…

P.S. En vue de l’Euro, Adidas vient de sortir quelques maillots en version extérieure du plus bel effet pour l’Italie, l’Allemagne, l’Espagne et la Belgique notamment, alors que Nike s’est vraiment surpassé pour les tenues domicile et extérieure des Matildas australiennes (pas du tout en vue de l’Euro, merci de suivre). En ce qui concerne la tunique 2025 de la Nati, on ne demande finalement pas grand chose à Puma: si on pouvait simplement éviter qu’un tiers de sa surface soit grenat cette fois, on serait aussi heureux qu’Alice Weidel en présence d’un membre supérieur humain dressé à 45 degrés.

L’auto-promo obligatoire (encore ?)

Oh ça va, hein. Si vous vous êtes infligé l’entier de cette diatribe pour en arriver là, vous n’avez qu’à vous en prendre à vous-même(s). Oui, on ne sait pas si on s’adresse à plus d’un lecteur à ce stade. Bref, allez (re)lire les deux premiers épisodes ici et et partez ensuite à la découverte de Sandrine Mauron et de Linda Vialatte dans les épisodes 8 et 10 de notre podcast Road to Euro 2025.

Le conseil lecture du mois

Si vous êtes encore là c’est qu’il faut vraiment aller vous faire soigner pour une pathologie d’auto-persécution ou que vous aimez VRAIMENT lire. Si c’est le cas, on a lu ces deux bouquins cette semaine et franchement, si on était un membre de la Gen Z et pas un vioque millénial, on vous dirait que c’est des bangers absolus. Le premier est sorti mercredi dernier et on dira simplement que l’ouvrage de la coach numéro 1 au monde (avec Emma Hayes) mérite meilleur sort que le clickbait de L’Equipe et consorts (les gars, on est en 2025, il va bientôt falloir réussir à faire en sorte que deux femmes qui sortent ensemble ne fassent plus la une).

Il y a 200 pages avant ce seul chapitre sur le sujet. On en parle aussi ?

Le second a déjà quelques années (publication en 2021) et honnêtement, on a fait un mini burn-out rien qu’en prenant connaissance du CV de l’autrice. Allez, de rien et à bientôt pour un autre post-it qu’on a l’outrecuidance d’oser appeler article.

 

Sources pour les visuels des classements: Google et Wikipédia (on a checké, Elon Musk ne possède ni l’un ni l’autre pour l’instant)

A propos Raphaël Iberg 233 Articles
"Chaque matin on prend la plume parce que l'on ne peut plus faire autrement sous peine de malaise, d'inquiétude et de remords." Maurice Leblanc

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