On ne va pas non plus verser dans l’euphorie, mais l’équipe a été tellement mauvaise depuis six mois, qu’une victoire contre le 62ème mondial, on prend volontiers.
C’est comme bouffer des sardines, boire une Bud Light et se taper une branlette et se dire que le caviar, le champagne et les femmes, il n’y a que ça de vrai.