Laurent me confiait que c’était toujours difficile de ne pas susciter des réactions très négatives quand on se laissait aller un tout petit peu à l’écran.
Le foot chevillé au corps, le beau maillot rouge du Standard greffé au cœur. Blessés ou suspendus, ils se retrouvaient dans le kop. L’aller/retour des gradins au terrain.
Le Ballon d’Or, c’est quoi ?C’est en 1956 que le bi-hebdomadaire France Football attribue pour la première fois ce trophée (en l’occurrence à l’Anglais Stanley Matthews), censé récompenser le meilleur joueur européen de l’année civile évoluant dans le Vieux Continent.
Les mauvaises langues vous diront qu’avec une charnière centrale Marque-Abraham, vous n’avez rien à foutre en Coupe de l’UEFA. Comme j’en suis une et bien c’est exactement ce que je dis.
À ma droite, Del Potro, ayant véritablement explosé durant cet été, ainsi que Nalbandian, devenant de plus en plus un sérieux outsider en cette fin de saison, comme lors des années passées.
Bordel à vis ! Bon, voilà t’y pas que les botches de la tribune Nord commencent à mes les briser sec. En plus, ils sont soutenus par une armada de Hauts-Valaisans aussi incultes qu’un champ de patates en dérupe à Saas-Fée, donc tu vois un peu le tableau débile…on dirait
Il y a quelques semaines encore, je prenais je l’avoue, un malin plaisir à critiquer leur jeu si maladroit et apathique. Aujourd’hui je m’en excuse, mais ce n’est plus possible. En effet, de jeu il n’y a plus.