O-U-F, telles sont les trois lettres pour décrire ce week-end hors du commun, crispant, irrationnel, unique, tendu mais au final tout simplement magique ! Comme si souvent en Coupe Davis… Oui, on a eu peur, très peur que ce quart de finale a priori «facile» tourne à la… kazakhstrophe (désolé pour le jeu de mots foireux !). On a d’ailleurs vu ressurgir les démons du funeste premier tour contre les Etats-Unis en 2012, et je peux te dire que je ne faisais pas le malin samedi soir.
Écrit par le vrai-faux blog de Marc Rosset
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