Equipe de Suisse : portrait des 23

Avant la publication des deux dernières présentations (Honduras et Suisse) qui – soyons francs – ont pris un peu de retard, Psyko Franco a le plaisir de te présenter les 23 joueurs qui iront défendre le pays en Afrique du Sud. De Diego Benaglio à Hakan Yakin, seront-ils capables de faire aussi bien qu’à la Coupe du Monde de 2006, voire mieux ? Les paris sont ouverts !

Disons-le d’emblée, la liste des 23 dévoilée par Ottmar Hitzfeld répond à la logique même. D’accord, il est toujours possible de chipoter sur un ou deux noms, sur un ou deux postes. Mais, convenons-en, tout le monde aurait certainement eu une ossature identique. Voyons un peu dans le détail les 22 hommes, et Huggel, qui vont défendre les couleurs de la patrie.

Gardiens

DIEGO BENAGLIO. Les sceptiques seront tout de suite rassurés. Le premier nom de la liste est celui d’un joueur à l’envergure internationale. Tout est réuni chez le portier de Wolfsburg pour en faire une valeur sûre : la taille, la technique, la lecture du jeu et des trajectoires, les réflexes. Si Benaglio n’est pas Buffon ni Julio Cesar, il n’en est pas moins une belle assurance pour son équipe. Toutefois, il y a fort à parier qu’il ne fasse pas aussi bien en Afrique du Sud que son prédécesseur Pascal Zuberbühler en Allemagne (aucun but encaissé). Les mystères du sport…
JOHNNY LEONI. Dans sa dégaine et ses déplacements à mi-chemin entre le paysan qui mène ses reines au combat et un lutteur suisse, le gardien du FC Zurich offre un avantage à son sélectionneur : il ne bronche pas quand il sait qu’il ne va pas jouer. Lucide, le garçon.
MARCO WÖLFLI. Une sorte d’énigme. Capable d’alterner le bon et le catastrophique. Mais a beaucoup perdu de son charme depuis qu’il rase ses bouclettes. Pourvu qu’il n’arrive rien à Benaglio quand même !

Défenseurs

MARIO EGGIMANN. Des fois appelé, des fois laissé à la maison, le longiligne central de Hanovre a le mérite de s’accrocher. Pas toujours rassurant, il doit sa sélection à deux facteurs. Il a tenu la baraque au Pirée contre la Grèce en octobre 2008 (2-1) et Djourou n’a pas joué de la saison. On ne remarquerait pas son absence mais il peut rendre un ou deux services (surtout contre le Honduras…).
STEPHANE GRICHTING. Incarne à merveille les valeurs helvétiques. Pas un grand talent, mais un travailleur humble qui a su attendre son heure. Une belle récompense pour lui. Mais de là à le promouvoir patron de l’arrière-garde… Y aurait-il pénurie de défenseurs au pays des Neinsager ?
STEPHAN LICHTSTEINER. Un beau joueur, qui a su freiner ses tendances «lokoesques» pour se concentrer sur son jeu. Ne cherchez pas, il n’y a pas mieux en Suisse. Tant et si bien que Hitzfeld n’a même pas pris avec lui un second latéral droit, misant sur le recul de Behrami voire même de Fernandes (c’est dire) en cas de problèmes. Indiscutable.
PHILIPPE SENDEROS. Il ne joue plus et sa plus grande force, à savoir son mental, semble s’être fait la belle. Mais bon, peut faire l’affaire dans le genre bourrin appelé à déglinguer l’avant-centre adverse. Se caractérise par un sens de la relance très particulier. Et même bloqué sur un banc de touche, il reste plus sûr que Von Bergen ou Eggimann.
CHRISTOPH SPYCHER. Ah ! Voilà un joueur qui nous fait rêver ! Discret presque jusqu’à la transparence, potentiel offensif quasi nul, style insignifiant. Devenu incontournable toutefois grâce à son sérieux et sa solidité. Très rarement à côté de son sujet en équipe nationale. Bref, l’anti-Magnin par excellence.
Hein, quoi  ? Oh, merde. Pardon. On m’annonce qu’un chang… C’est sûr ? Bon, d’accord. Alors :
LUDOVIC MAGNIN. Ah ! Voilà un joueur qui nous fait rêver ! Extraverti sur et en dehors du terrain, presque jusqu’à l’omniprésence, bon potentiel offensif, style reconnaissable. A perdu son statut d’incontournable depuis quelques absences défensives. Plusieurs fois à côté de son sujet en équipe nationales. Bref, l’anti-Spycher, blessé et forfait, par excellence.
STEVE VON BERGEN. Auteur d’une magnifique saison à Berlin, l’ancien Zurichois a une grande qualité : il est sympa et on l’aime bien au sein de l’équipe de Suisse. Il faut aussi des types pour divertir les footballeurs. Lui aussi, comme Eggimann, a obtenu son billet avant tout grâce à la blessure de Djourou.
RETO ZIEGLER. Un petit joyau, à l’échelon suisse s’entend. Depuis qu’il a appris à défendre et à mieux respecter les consignes tactiques, le Vaudois de Genève (ou le Genevois de Gland, c’est selon) a en sa possession une palette assez complète. Peut constituer un grand apport en phase offensive. Et, surtout, brille dans l’art des balles arrêtées. Avec un peu de chance, il pourrait enfin nous débarrasser de Barnetta, qui demeure malheureusement aux yeux de Hitzfeld indéboulonnable dans le couloir gauche au milieu de terrain.

Demis

TRANQUILLO BARNETTA. Je vais faire court, parce que je m’énerve vite quand je parle de lui. Décisif dans une Bundesliga où même Demichelis est titulaire, Barnetta est depuis de trop longues années désespérant avec la Nati. Comme quoi, faire des passes décisives contre Bochum et Hambourg n’est pas un gage de réussite au plus haut niveau.
VALON BEHRAMI. Le meilleur joueur suisse avec Alexander Frei. Ce que le Tessinois a en plus par rapport à ses coéquipiers en équipe nationale ? Des qualités athlétiques qui lui permettent de tenir la comparaison sur la scène internationale. Et c’est presque l’un des seuls ! Magnifique, précieux, décisif et surtout très intelligent. Comme, en plus, il s’entend plutôt bien avec Lichtsteiner, on se dit que le flanc droit est bien paré.
GELSON FERNANDES. On ne pourra jamais lui reprocher son engagement, sauf peut-être quand son engagement se transforme en jeu de massacre à l’entraînement (Tranquillo et Valon, si vous nous écoutez…). Ne lui manque pas grand chose pour passer dans la catégorie au-dessus. Mais peine à le faire depuis quelques temps. Sa saison pleine en France lui permettra-t-elle de franchir le pas ?
BENJAMIN HUGGEL. L’homme qui mange des cailloux. Une de ces énigmes que réserve, parfois, le monde du football. Techniquement proche d’un stoppeur de Münsingen, tactiquement honnête demi de Super League et physiquement aussi décevant qu’il est imposant, le Bâlois est une pierre angulaire du système Hitzfeld. Va comprendre ! Bon, c’est vrai qu’il prend de la place, obligeant peut-être les adversaires à courir quelques mètres de plus pour le contourner. On se réjouit de le voir au marquage de Xavi ou Iniesta…
GÖKHAN INLER. A force de l’annoncer comme un futur grand, comme un patron en puissance, on espère que le poumon de l’Udinese va enfin confirmer et passer la vitesse supérieure durant ce Mondial. Plus d’excuse désormais : Inler doit prendre ses responsabilités et devenir un leader au milieu de terrain. Un leader qui manque à l’équipe de Suisse depuis l’éviction de Johann Vogel.

MARCO PADALINO. J’ai l’impression de cracher sur l’abbé Pierre. Difficile de lui reprocher quelque chose. Volontaire et ne ménageant pas ses efforts, le demi de la Samp est aussi terriblement limité. Passé l’enthousiasme de sa découverte sous le maillot national, ses lacunes sautent peu à peu aux yeux. Mais, comme Fernandes, il ferme sa gueule s’il reste sur le banc. C’est ça aussi qui fait l’équilibre d’une équipe.
PIRMIN SCHWEGLER. Plutôt doué techniquement, mais certainement pas suffisamment pour le niveau international. Qu’il revienne dans 10 kilos !
XHERDAN SHAQIRI. Une sorte de sprinter bodybuildé après réduction. Bon dans le championnat de Suisse. A voir s’il peut encore monter d’un cran dans une Coupe du Monde. Sa jeunesse n’est pas sans rappeler l’insouciance qui caractérisait, entre 2004 et 2006, les Senderos et, surtout, Barnetta. Alors laissons-nous gagner par l’espoir.

Attaquants

EREN DERDIYOK. Il a confirmé hors de Suisse le potentiel qu’on lui prêtait. Bon, il ne l’a fait qu’en Allemagne, là où l’art défensif est au football ce que la stabilité est au FC Sion. Mais il est probablement l’attaquant helvétique le plus talentueux intrinsèquement. Ne va pas rester longtemps sur le banc.
ALEXANDER FREI. Le meilleur joueur suisse depuis Stéphane Chapuisat. Il vous énerve ? C’est normal. Il n’en demeure pas moins le seul Helvète avec une véritable aura internationale. Science du jeu et science du but. Un mélange pas courant en Suisse. Certains le disent vieux et fini. Qu’ils se plongent dans les statistiques de la campagne de qualification !

BLAISE NKUFO. Partira avec les faveurs de Hitzfeld. Mais cela pourrait ne pas durer pendant tout le tournoi. Précieux en début de campagne, le Vaudois de Twente a reçu et saisi sa chance avec la Suisse sur le tard. Aura de la peine à contenir les poussées de Derdiyok. Son avantage ? La puissance qu’il dégage.
ALBERT BUNJAKU. Quoi de plus normal pour un joueur à la trajectoire si particulière que d’être retenu pour sa première Coupe du Monde dans de telles circonstances ? Pauvre Streller, heureux Bunjaku. Le buteur de Nuremberg n’est pas Rooney, ni Higuain, ni même Frei… De toute façon, il n’est que cinquième dans la hiérarchie de l’équipe de Suisse. Je reste toutefois persuadé qu’il peut apporter quelque chose que les autres n’ont pas forcément : la mobilité. Face à une formation regroupée et bien organisée, ce détail aura certainement son importance.
HAKAN YAKIN. Comme toujours, mon coup de coeur. Oui, il n’avance plus. Oui, il a des airs de diva. Mais sa patte gauche…
Photos Pascal Muller, copyright www.mediasports.ch

Écrit par Psyko Franco

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31 Commentaires

  1. « les 22 hommes, et Huggel » Enoooorme !

    Bonne analyse qui remet les joueurs à leur juste place… Il manque la polémique non ? 😉

  2. la, t’as foiré.
    Frei, le meilleur joueur suisse depuis Chapuisat.
    Mais bonne !!!
    Henry, et Fret, même combat. tu regardes justes les statistiques, mais il fait quoi Frei. RIEN, NIET, NADA.
    Vraiment Frei est une grosse M.
    Je reste poli, car ça, ça m’énerve !!!
    ABE

  3. Bonne présentation.
    Perso quelques compléments, Behrami est un de mes joueurs préféré de la Suisse mais de la à mettre ses qualités athlétiques en avant, ça reste tout de même un joueur en verre, à l’image d’un Robben.
    Pour Gelson tu dis « Sa saison pleine en France lui permettra-t-elle de franchir le pas ? »
    il faut savoir qu’il n’a de loin pas fait l’unanimité à Saint-Etienne et que plusieurs fois il a été vivement critiqué. Sa n’en reste pas moin l’un des meilleures de l’équipe de Suisse.
    Pour Huggel c’est un peu sévère comme présentation. Pour l’avoir vu jouer plusieurs fois il n’est pas aussi mauvais techniquement et tactiquement que tu veux bien le dire. Ok c’est pas un foudre de guerre mais c’est ce qui ce fait de mieux à son poste en Suisse (joueur suisse donc…) aussi non on aurait déjà naturalisé Obradovic…

  4. Jolie présentation de l’ami Psyko Franco écrite avec style et pointes d’humour bien placées ! Allez 22 points sur 23, Psyko (car pour Frei, là sois t’es pote avec lui, sois je sais pas quoi, mais en lisant ta présentation, je me suis dit « attends voir, il fait exprès le Psyko, il a envie de battre le record de commentaires détenu par Nicolet relatif à son article sur nos chers amis moustachus portugais » ) … « Frei, le meilleur joueur suisse depuis Chapuisat » –> Allons, allons, on respire un bon coup et ça aide à supporter la lecture d’une telle phrase !!

  5. article à l’image de l’équipe…
    …je me suis endormi à Grichting.

    [mode portnawak off]

    good job Mister Franco

    [mode portnawak on]

    l’avion de la Nati a atterri à 9h01 à Johannesburg, le vol s’est passé sans incident…

    … putain, que la vie est mal fichue.

  6. Frei meilleur joueur suisse depuis Chapuisat… Et ben mon ami Psyko je connais maintenant le motif de ton arrêt momentané sur carton de rouge, tu as dû te faire soigner les yeux… Et bien désolé de te dire mais l’opération a échoué… Ou alors tu t’es trompé et tu voulais dire le joueur le plus surcotté (décidement le niveau de la bundesliga).

  7. Je partage l’avis de Psyko sur Frei…

    Les gens ont tellement la mémoire courte, ça fait peur… Je vais pas faire la liste du nombre de fois qu’il a sauvé l’équipe, sinon je dépasserais le cota de signes autorisés pour poster des messages….

  8. J’ai oublié: @ Chrimani

    « tu as dû te faire soigner les yeux… Et bien désolé de te dire mais l’opération a échoué… Ou alors tu t’es trompé et tu voulais dire le joueur le plus surcotté (décidement le niveau de la bundesliga). »

    Demande toi qui est l’aveugle de l’histoire…. Frei a marqué bon nombre de buts dans TOUS les clubs où il a passé… Quand tu joue n°9, désolé de te dire que seul les stats comptent…

  9. Une question que je me pose à propos des personnes qui rigolent sur le fait de dire que Frei est le meilleur joueur Suisse depuis Chapi-Chapo mais vous, vous pensez à qui alors?

    Alexandre Rey?

  10. « l’art défensif est au football ce que la stabilité est au FC Sion »

    MAGNIFIQUE !!!!

    Frei et Behrami sont tes favoris, ils sont tous deux blessés… ça va être dur le mouuuundial 😉

  11. C’est vrai, Frei est le meilleur joueur suisse depuis mini-gabet… Ses stats tant en L1 qu’en Bundesliga sont impressionnantes et s’il n’avait pas été blessé aussi souvent, il aurait pulvérisé bien des records et serait devenu un des meilleurs attaquants du continents..
    Sinon tu es sévère avec Huggel mais c’est pas tout faux, d’ailleurs Hitzfeld a comme Kuhn, comme la TSR, comme les suisses oublié un tout bon suisse Fabio Celestini! Et c’est bien dommage… M’enfin

  12. j’ai lu les commentaires de certaines mauvaises langues qui considèrent que la nati est le cancer du football.

    franchement, c’est exagéré.

    le cancer évolue, lui.

  13. Frei probablement out contre l’Espagne…

    cela dit, le joueurs de la Roja vont tellement vite qu’il aurait eu beaucoup de mal à leur cracher dessus.

  14. Sympa la présentation, j’aime bien le « Incarne à merveille les valeurs helvétiques. Pas un grand talent, mais un travailleur humble qui a su attendre son heure ».

    Faut pas se voiler la face: la Suisse n’est pas une équipe de galactiques, et c’est pour ça qu’elle est si sympathique à mes yeux: pas 11 stars sur le terrain, mais des gars honnêtes qui luttent avec leur arme principale, la solidarité. Et malgré tout, elle se qualifie (assez) régulièrement pour des grandes compétitions (même après avoir perdu contre le Luxembourg à domicile, qui a réussi cet exploit??)

    Espérons que les humbles travailleurs suisses feront des étincelles, comme en Allemagne.

    Forza Svizzera

  15. Henchoz meilleurs joueurs suisse en club depuis chapuisat!
    C’est qui Henchoz?:Vainqueur de la Super Coupe d’Europe en 2001 (Liverpool FC)
    Vainqueur de la C3 en 2001 (Liverpool FC)
    Vainqueur de la Coupe d’Angleterre en 2001 (Liverpool FC)
    Vainqueur de la Coupe de la Ligue en 2001, 2003 (Liverpool FC)
    Vainqueur de la Charity Shield en 2001 (Liverpool FC)
    Finaliste de la Coupe de la Ligue en 2006 (Wigan Athletic)

    Vogel:Vainqueur de la Super Coupe de Pays-Bas en 2000, 2001, 2003 (PSV Eindhoven)
    Champion de Pays-Bas en 2000, 2001, 2003, 2005 (PSV Eindhoven)
    Champion de Suisse en 1995, 1996, 1998 (Grasshopper Zurich)
    Vainqueur de la Coupe de Pays-Bas en 2005 (PSV Eindhoven)
    Vainqueur de la Coupe de Suisse en 1994 (Grasshopper Zurich)
    Finaliste de la Coupe de Pays-Bas en 2001 (PSV Eindhoven)

    Müller:Vainqueur du Trophée des champions en 2002, 2003, 2006, 2007 (Lyon)
    Champion de France en 2002, 2003, 2004, 2006, 2007, 2008 (Lyon)
    Champion de Suisse en 2005 (FC Bâle)
    Vainqueur de la Coupe de la Ligue en 2001 (Lyon)
    Finaliste de la Coupe de Suisse en 1999 (Grasshopper Zurich)

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  17. Oh un post de ATBN !

    Tiens…en plus d’être un asocial, c’est un mytho…

    Mais svp arrêter de lui répondre, d’ailleurs ne lisez même pas ca n’en vaut pas la peine…

  18. C’est pas parce que Frei a fait de bon truc les années précédentes qu’il a un bon niveau…
    Il AVAIT un bon niveau. Maintenant c’est une pive. Regarde tout ce qu’il s’est efforcé de loupé contre l’Italie cet emplâtre… Un vrai buteur aurait concrétisé au moins une seule de toutes ces occasions…
    Je préférerai de loin voir Derdyiok en pointe, mais c’est dommage qu’ Hitzfeld ne voie que ce connard de Frei… Mais bon, on comptera sur les milieux et les défenseurs pour scorer ma fois.

  19. @ Jo

    Le Community Shield s’appelait Charity Shield jusqu’en 2001…

    Comme l’Europa League s’appelait Coupe de l’UEFA il y a peu

  20. les modos vous faitent quoi ? virez les commentaires svp de l’autre taré (références au cancer, au nazisme, etc..).. ca vous suffit pas ?

  21. @ Rio : c’est quoi le Charity Shield ?

    🙂

    A propos de Frei : quand il (re)marquera sous le maillot national, tout le monde l’adorera. ModeFans …

  22. Tout dépens si l’on prend les prestations avec la Nati ou en club, là oùi il faut être régulier pour jouer au top niveau…

    Henchoz ne serait-il pas le meilleur joueur suisse après Chapuisat… ?A mon avis, en tous cas au niveau des clubs…

    Supercoupe de l’UEFA 2001, Coupe UEFA 2001, Vainqueur de la Coupe d’Angleterre 2001, Vainqueur de la Coupe de la Ligue d’Angleterre 2001 et 2003 Liverpool, Vainqueur du Charity Shield 2001 et quart de finaliste de la C1 en 2001-2002, si ça ne ressemble pas au palmarès du meilleur joueur suisse après Chapuisat, je me demande quel suisse a un meilleur palmarès…Sforza ? Jolie charnière avec Hyypia pendant plusieurs années en Premier League…pas en Ligue 1 ou en Bundesliga

  23. « Techniquement proche d’un stoppeur de Münsingen » 🙂 et encore…sa présence dans l’équipe est la preuve qu’on est à la ramasse

    @any team but edf

    J’ai aussi lu qu’on te traitait de cancer…c’est faux, toi tu fais que régresser

    AFP 14h58

    « any team but edf continue son taitement psy sur carton rouge et il a aussi fait un beau caca bien dur »

    RAS

  24. Vous n’êtes que des petits jaloux qui auraient tellement voulu être à la place de ces joueurs qui vivent (très bien) de leur passion. Vous pauvres types, devez vous contenter de les regarder à la télé et les critiquer, c’est tout ce que vous savez faire!!! Vous faites pitié….

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