Je n’avais pas forcément envie d’écrire un papier sur cette finale que j’ai regardé d’un quart d’œil, en baillant et sans la moindre once de passion. Mais voilà, pour mon ami Goran Ivanisevic et pour la démonstration de force de l’impressionnant Marin Cilic, je me dois de les saluer comme il se doit ! D’ailleurs, connaissant le Goran, j’imagine qu’ils sont encore à moitié ivres dans une boîte de Big Apple… Et j’ose pas imaginer non plus l’accueil triomphal et ô combien mérité qu’ils recevront à l’aéroport de Zagreb !
Écrit par le vrai-faux blog de Marc Rosset
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