Cyclisme

Le peloton, sous l’influence de Fabian Cancellara, avait attendu les frères Schleck lors de la fin d’étape hallucinante en direction de Spa.

Je vous avais parlé l’autre jour de l’A.U.T. de notre sprinter Mauro Mavazi à la suite de sa piqûre de guêpe, non ? Et bien je m’en suis donné à coeur joie.

Depuis mon dernier compte rendu, il y a eu trois étapes aux profils radicalement différents : un sprint remporté par ce vilain Cavendish, une arrivée en côte dans le Jura et le col en direction de Morzine-Avoriaz.

Mardi, pour l’étape si redoutée des pavés, on avait une tactique.

Samedi, à l’occasion du contre-la-montre inaugural, un défi de taille se dressait devant nous. Nos spécialistes Zidaunas Galakankas et Craig Van der Moore devaient essayer de rivaliser avec le maître absolu du chrono : Fabian Cancellara.

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Hé oui, suivre le vélo en tant que journaliste est clairement le job le plus terrible du monde.

Et pourtant, Dieu sait que son image n’était pas sortie grandie d’un début de Tour où son ambition dévorante a failli coûter cher à son coéquipier Alberto Contador.

Et pourtant Dieu sait que l’UCI et les organisateurs ont tenté de pimenter la chose en interdisant les oreillettes…

Le coureur Astana est connu pour son machiavélisme extrême.