Ligue B

La sentence était pourtant unanime au terme de l’exercice régulier. Le Lausanne Hockey Club n’avait jamais été aussi fort depuis sa (nouvelle) culbute en LNB en 2005. Comme d’habitude, le bon peuple vaudois y avait cru.

Le LHC était une machine de guerre. Imbattable sur le papier, il était devenu l’ogre de la saison, laissant tous ses prétendus rivaux à des années-lumière.

Lausanne, Musée Olympique, janvier 1998C’était il y a presque quinze ans, en janvier 1998.

Les gagne-petit pourront toujours dire que le score de 6-1 est une bonne opération. Mon cul oui ! Car il a fallu huit interminables minutes (!) pour que les Lions trouvent enfin la faille.

Cette fois pourtant, pas de traîtrise, le coup de grâce a été asséné par le trio infernal Kelly, Tschannen, Campbell qui aura inscrit 2/3 des points bernois durant cette demi-finale.

Tout laissait pourtant suggérer une demi-finale piège, un écueil dissimulé en vil traquenard, voire même un chausse-trappe sournois camouflé en guet-apens. Ou un attrape-couillon.

Or, comme l’avantage de la glace appartient depuis les demi-finales à ses adversaires, c’est vite vu, le HCC va gagner tous ses matchs à l’extérieur et donc accéder à la LNA en fin de compte.De toute façon, avec un public

C’est pourtant bien le sieur Wehrli qui pénalise Stephan Moser, en étant à 30 mètres de l’action, alors que con compère Philipp Clément laissait jouer.

Mais avant d’en arriver à la fameuse buvette, il aura aussi fallu passer par le centre-ville (ou centre du village pour les citadins qui ne manquent pas de me lire assidûment) et passer un service de sécurité plus prompt à

Difficile de croire qu’il s’agissait réellement de l’équipe qui a inquiété Ambrí la saison passée en finale de promotion-relégation.