Ligue des Champions

Les millionnaires à succèsLes quatre plus gros budgets de la compétition ont fait le plein de points lors des deux premières rencontres de la compétition, à l’exception de Barcelone.

C’est pas comme si on n’était pas au courant : statistiquement, un match avec une équipe italienne a plus de chances de se terminer sur un score de 0-0 qu’un match sans équipe italienne.

Entame prometteuseSans complexes, la bande à Bernard débutait la partie en rivalisant d’audace avec le pro-chrétien ou la danseuse portugaise. La partie était étonnement équilibrée malgré une aisance technique incroyable pour l’équipe du nouvel entraîneur Pellegrini.

Gardien : Helton (FC Porto)Depuis que le malheureux Barbosa eût fait perdre le titre mondial au Brésil contre l’Uruguay à Maracana en 1950, le football auriverde a instauré une longue tradition de portiers passables.

Le match aller m’avait laissé un drôle de goût… L’impression qu’a un amateur de beau jeu déçu tant par le résultat nul et vierge que par le non-jeu constant pratiqué par les Anglo-Russes de Chelski.

Barcelone – ChelseaEn devenant propriétaire de Chelsea en juin 2003, Roman Abramovitch n’avait qu’un seul réel objectif en tête : gagner la Ligue des Champions.

Manchester United – FC PortoCe qu’en dit la presse
Les grands penseurs de notre époque sont catégoriques : il s’agit de la rencontre la plus déséquilibrée de ces quarts de finale.

Juventus – Chelsea (mardi ; 0-1 à l’aller)Alléchante sur le papier, cette confrontation est en fait la plus inintéressante de toutes. La faute à deux équipes fidèles à elles-mêmes, c’est-à-dire résolument tournées vers la défensive.