Ligue des Champions

Arsenal – Rome, ManU – Inter, Real – Liverpool Lyon – Barça et Chelsea – Juve… D’habitude, ce n’est que sur Playstation qu’on peut voir de tels matches. Une constellation de stars, des stades magiques, des spectateurs en folie…

Après vous avoir compté les malheurs et le manque de compétitivité des clubs suisses en Coupe d’Europe, avec comme point d’orgue la nullité extrême du FC Bâle en C1, voici le temps de faire un petit tour d’horizon de la

Les mauvaises langues vous diront qu’avec une charnière centrale Marque-Abraham, vous n’avez rien à foutre en Coupe de l’UEFA. Comme j’en suis une et bien c’est exactement ce que je dis.

Bon, disons-le d’entrée de jeu, Barcelone était à peu près autant virulent face à Bâle qu’un journaliste de TF1 face à Sarkozy. Si les Catalans avaient vraiment joué, le FCB en aurait pris une dizaine par quart d’heure.

Franchement, la Suisse c’est classe. Plus que Barcelone. Bon, je ne me plains pas. Vous vous doutez bien que je peux jouir d’un certain confort de vie avec mon salaire.

Je sais, je me répète un peu, même beaucoup. Mais j’avoue que j’ai de la peine à digérer la sentence de la présidente de notre cher Farma Cie Basel 1893. Que voulez-vous, il m’arrive parfois d’avoir la rancune tenace.

Mettons en parallèle la formation qui a fait rêver tout un pays – celle de 2002/03 – et celle qui est tout juste assez performante pour faire sauter la Muttenzerkurve en Super League.

Bon, on ne va pas la jouer «Merci les héros». Bâle s’en sort plutôt bien, l’arbitre néerlandais Pieter Vink annulant de manière incompréhensible un but de Roberto à la 87e en suivant son assistant au drapeau levé.

Et ça, ça rend la rédaction de CartonRouge.ch folle de joie ! Mais oui !

Il faut se replonger un instant dans le parcours du Pélican cervical pour comprendre ce qu’il s’est réellement passé sur la pelouse du Dom Alson Henriques.