Le carnet de notes des joueurs du LHC

Il est l’heure du traditionnel et très objectif bulletin scolaire intermédiaire des hockeyeurs lausannois notés sur une échelle de 1 à 6 ! Après trois tours et demi, le bilan du LHC est peu reluisant et, sans surprise, la moyenne de classe n’est pas franchement exceptionnelle.

Sandro Abplanalp : 4

En n’ayant joué que huit rencontres, il est difficile de juger l’ancien joueur de Gottéron. Ce beau bébé sera-t-il en mesure de remplacer Baumann suite à l’erreur de casting des dirigeants lausannois qui ne l’ont pas prolongé ? Suite à sa blessure, il est encore trop tôt pour le dire. L’attaquant lausannois possède naturellement une grosse présence physique et avait fait des rencontres plutôt honorables avant qu’il ne se blesse et que le LHC ne commence à couler (n’y voyez aucun lien de causalité). Toutefois, il a gratifié l’assistance de Malley de jolies pertes de puck à la bleue lorsque Terry Yake l’utilisait comme «blueliner» dans une organisation de jeu de puissance à quatre attaquants.
Cadeau : la gratitude du public lausannois. Grâce à l’affaire dont il a été le héros malgré lui, le LHC avait pu prolonger son séjour dans l’élite de deux saisons de plus.

Gaëtan Augsburger : 2.5

Considéré il y a trois ans comme le nouveau Kevin Romy, le Jurassien n’a pas confirmé les énormes attentes placés en lui du côté de Genève. Possédant un très bon patinage et de bonnes qualités techniques, l’attaquant avait été immédiatement propulsé dans le premier trio du LHC avant d’être implacablement et logiquement rétrogradé. Actuellement blessé, son absence est naturellement passée inaperçue…
Cadeau : un livret intitulé «ce qu’il ne faut pas faire pour foutre sa carrière en l’air». Préface dédicacée par Raphael Zeller.

Jérôme Bonnet : 4.5

A défaut de se montrer décisif, on ne pourra jamais lui reprocher ses qualités de battant. Patinant à la confiance, Jérôme est souvent à son avantage lorsqu’il se voit conférer de plus grandes responsabilités. Ayant le profil et les qualités pour évoluer aux côtés des étrangers et faire le ménage devant le but, il fait partie des nombreux joueurs du LHC à être mal utilisé. Néanmoins, avec un peu plus d’humilité sur la glace, il pourrait être mieux noté et il prend encore trop de pénalités inutiles.
Cadeau : un nouveau contrat rédigé de manière lisible.

Benjamin Chavaillaz : 4.5

Au terme d’une saison 2008-2009 prometteuse – malgré une série contre Bienne qui fut difficile pour lui –, le jeune Lausannois démontre qu’il est reparti sur les mêmes bases sans toutefois crever l’écran. Pourtant, sa relégation dans le 3e, voire le 4e duo défensif tend à montrer qu’il ne figurait plus vraiment dans les bons papiers de Terry Yake. Cantonné dans un simple rôle de faire-valoir, Benjamin se contente de remplir son rôle comme il faut. Il se fait du coup nettement moins remarquer mais compte tenu du contexte actuel, cela constitue un indéniable point positif.
Cadeau : un set de rasage complet, à utiliser trois fois par jour dès Noël, afin d’être solidaire avec ses coéquipiers au moment d’aborder les play-off.

Igor Fedulov : 4

Dans l’imagerie populaire, Igor Fedulov est le joker par excellence. Celui qui peut montrer la voie durant les play-off. Doté d’une extraordinaire vision de jeu et d’une expérience indispensable, on a tendance à oublier que l’Helvético-Russe a déjà 43 ans au compteur et qu’en tant qu’attaquant, il est impossible de lui accorder un temps de glace conséquent malgré son très bon niveau de jeu. S’illustrant particulièrement en jeu de puissance, Igor Fedulov justifie pour l’heure les attentes placées en lui, au point de revêtir le maillot de Top Scorer durant un certain nombre de matchs. Mais à l’instar de Jérôme Bonnet, il n’est clairement pas utilisé comme il le faudrait.
Cadeau : un dispositif d’oxygénation portatif de sorte à pouvoir survivre à des shifts de plus de 20 secondes, échangeable contre le troisième poumon que Yake n’utilise plus.

Marvin Frunz : 4

Le numéro 88 s’illustre particulièrement lorsque le bateau LHC prend l’eau de toutes parts. Mais son niveau général ne lui permet pas de renflouer l’équipe, à défaut de mettre un hat-trick. Le jeune attaquant manque également de constance et on devrait attendre bien plus de lui. Il faut avouer que Marvin Frunz était meilleur il y a trois ans lors de sa première pige lausannoise même s’il est en progrès par rapport à la saison dernière.
Cadeau : un nouveau maillot floqué du numéro 20.

Jérémy Gailland : 4

Une chose apparaît désormais évidente : le Valaisan ne s’installera jamais durablement en LNA à moins de se montrer bien plus altruiste et d’enlever le velcro qu’il a sur sa palette. Depuis son éviction du groupe genevois, Jérémy Gailland plafonne malgré de bons play-off réalisés le printemps dernier. Véritable expert en tricot, il a déjà confectionné une quantité de pulls susceptible de pouvoir vêtir l’intégralité de la descendance – incestueuse ou non – de Josef Fritzl. De plus, le concept de passe semble lui être toujours étranger. Peu enclin à aller là où ça fait mal, il compte tout de même de manière régulière et reste potentiellement l’un des meilleurs éléments lausannois.
Cadeau : un set de palettes en téflon spécial anti-adhésif.

Eric Himelfarb : 1.5

Ayant effectué sa préparation au sein des Florida Pathers et évoluant dans le deuxième trio de cette franchise lors des matchs de préparation. Recalé avant de début de la saison, le Canadien n’avait pas retrouvé de l’embauche dans un club digne de ce nom. Maintenant, on comprend mieux pourquoi. Fumiste invétéré, Eric Himelfarb a débarqué à Malley les pieds en éventail comme s’il était chez lui, mais son bilan fut tout simplement scandaleux. Après deux misérables assists en dix rencontres, le numéro 90 a été voir du côté de l’ambitieux Langenthal. Et personne ne le regrettera.
Cadeau : pas de cadeau pour lui, il ne le mérite pas. De toute façon, les Juifs ne fêtent pas Noël.

Jérémie Kamerzin : 3

Selon les Biennois, chaque joueur de LNB transitant par Bienne fait une excellente saison au Eisstadion avant de redevenir inexorablement une bille sitôt l’aventure seelandaise terminée. Jérémie Kamerzin ne déroge pas à ce principe : considéré à tort comme un renfort provenant d’un club de LNA en occultant le fait qu’il vient de feu les redoutables jeunes sprinters, le Valaisan n’a pas l’étoffe d’un défenseur dominant. Possédant un gabarit pour le moins imposant, il peut cependant prétendre à jouer le rôle du «tough guy» lausannois mais sans en avoir le talent. À sa décharge, le faire évoluer avec un défenseur au même profil (Olivier Keller) constitue toujours un non-sens complet.
Cadeau : un passeport sud-coréen, seule solution pour qu’il soit un jour international.

Olivier Keller : 3.5

Annoncé à grands fracas comme LE renfort défensif du LHC cette saison, le bilan du citoyen de St-Prex est pour le moins mitigé. Ayant perdu son aura et son flegme d’international, Olivier a plus brillé par sa nervosité et son constant agacement lorsque les événements ne tournaient pas en sa faveur. Symbole de cette décadence, la perte du capitanat (qui n’est de toute manière pas son truc) et ses dix minutes récoltées contre Viège en ayant cédé aux provocations de… Cory Pecker. Toutefois, le Genevois est en regain de forme. Constatant que si l’équipe doit atteindre son objectif ouvertement cité, il faudrait éventuellement bosser la moindre pour y arriver. A sa décharge, Olivier doit assumer un tout nouveau job où son rôle est totalement différent de ce qu’on lui demandait ces 10 dernières années.
Cadeau : un lot de 128 crosses en titane renforcé. Ça devrait aller pour tenir jusqu’à la fin de la saison.

Larry Leeger : 3.5

La déliquescence totale du défenseur lausannois constitue toujours pour l’heure une énigme. En mode Lardi sous effet Gélinas, son impressionnant manque d’implication et ses approximations créent le désespoir du public de Malley. Collectionnant les mauvaises passes et les mauvais placements avec la même dextérité que les liaisons extraconjugales de Tiger Woods, il est difficile de croire qu’il s’agisse du même joueur qui fut champion suisse en 2008 avant d’être un leader de la défense lausannoise. Mais pour un jeune ayant peu d’expérience, le public de Malley l’attend peut-être un peu trop comme le messie. Mais avec un nouveau coach qui coache, Larry se métamophosera-t-il ?
Cadeau : un bon pour dix sirops de grenadine, valable au Darling les lundis et mercredis.

Anthoine Lussier : 4

L’attaquant suisse, enfin franco-canadien… enfin bref : le numéro 38 du Lausanne Hockey Club est l’un des attaquants les plus véloces de l’antichambre de l’élite. Encore faudrait-il l’utiliser à bon escient et non dans une sorte de check-line bricolée à la sauvette. N’appréciant que modérément le jeu physique, il doit évoluer dans un registre dans lequel il est peu à l’aise. Le placer aux côtés des mercenaires pourrait être une solution : depuis qu’il a quitté Sierre, plus personne ne l’a placé régulièrement avec les étrangers alors qu’il avait cartonné dans la cité du Soleil dans cette position.
Cadeau : un poster de La Chaux-de-Fonds, édition UNESCO collector, dédicacé par le président de la cité horlogère.

Alain Miéville : 3

Le Fribourgeois fait incontestablement partie des joueurs qui ont certainement cru qu’il n’était pas nécessaire de patiner, puisque tous les spécialistes voyaient le Lausanne HC survoler le championnat. N’étant que l’ombre de lui-même, Alain Miéville a livré des prestations indigestes pour un joueur de son rang. Peu concerné et résolument apathique, l’attaquant du LHC devra se flageller l’arrière-train s’il compte retrouver son niveau. Pourtant, son entente avec Gailland et Fedulov semblait bien fonctionner avant que Terry Yake ne décide de casser cette ligne. Cela dit, cette triplette ne s’avère pas viable sur le long terme. Autre problème, Alain Miéville n’est pas réputé pour être un gros bosseur et il s’autosuffit rapidement.
Cadeau : une option contractuelle portant sur une entente avec un club de LNB, activée qu’en cas de promotion du LHC.

Gianluca Mona : 5.5

Cela fait depuis le printemps dernier que le poste de gardien numéro 1 était vacant. Prenant le problème à bras le corps avec une efficacité époustouflante, le directoire lausannois est parvenu à combler ce manque au mois de novembre déjà. Suite à un improbable imbroglio litigieux avec le Dieu des Vernets, le portier tessinois a finalement posé ses valises à Lausanne. Malgré son manque de compétition, le gardien fait preuve d’une grande assurance. Livrant la marchandise et sauvant à plusieurs reprises les meubles, le dernier rempart de Lausanne devra toutefois veiller à ne pas trop la ramener s’il veut conserver son poste de titulaire, condition sine qua non à une promotion du LHC. Le licenciement de Yake devrait alors le placer en position de force.
Cadeau : un nouveau casque aux couleurs du club.

Jonathan Roy : 4

S’est pour l’heure davantage illustré dans un rôle plus défensif, et sur ce point il n’y a rien à redire. Mais soyons clairs : le rôle d’un étranger en LNB est d’enfiler les points et d’être capable de faire seul la différence. Et c’est là que ça coince. L’autre problème est que le Québécois résiste très mal à la pression et ceci pourrait bien s’avérer problématique au moment où il faudra répondre présent. Tout le monde était au courant de cet aspect précis sauf nos bien-aimés décideurs. Au fait, c’est qui ?
Cadeau : une galette des Rois à 86 fèves. Ça serait con de passer à côté…

Sebastian Schilt : 3

Il paraîtrait que le défenseur bernois ait évolué durant plusieurs saisons dans l’élite ; et encore il faut le dire vite. Les attentes placées sur le SDF des Vernets étaient-elles trop grandes ? Toujours est-il que les performances de l’ex-nouveau prochain ancien Servettien ne sont clairement pas suffisantes et sa venue n’a pas permis de significatives améliorations dans l’arrière-garde vaudoise. Le comble est que son club d’origine, Langnau, tient à le récupérer afin de stopper l’hémorragie dans les rangs emmentalois.
Cadeau : un abonnement général valable 1 année, mais uniquement sur le tronçon Lausanne-Genève.

Stefan Schnyder : 5.5

Le faire évoluer aux côtés des mercenaires lausannois constitue toujours une hérésie totale compte tenu de son profil. Mais le pire, c’est que cela fonctionne ; le crocheur attaquant de Malley tourne à près d’un point par match. Travailleur énorme, Stefan mériterait presque la note maximale pour son abnégation infaillible, quelle que soit l’issue d’un match. Le numéro 13 lausannois possède une attitude dont certains feraient mieux de s’en inspirer.
Cadeau : une série de douze cours de self-control, échangeable contre des cours de Yoga sous certaines conditions.

Ralph Stalder : 5.5

Le défenseur du LHC constitue la meilleur surprise du groupe ; un renfort inattendu car on attendait rien de spécial de sa part. Heureusement pour Lausanne, l’ex-Biennois n’avait pas été retenu par Genève au terme de la préparation estivale. Sobre, Ralph ne commet que très peu d’erreurs et se montre très serein. On peut tout lui demander (enfin pour cela, il faudrait encore qu’on lui demande quelque chose).
Cadeau : un nouveau coach…

Julien Staudenmann : 4.5

Privé de ses comparses de feu la 747 qui lui faisait de la place, il est devenu beaucoup plus difficile pour lui de s’affirmer dans un rôle plus offensif et lorsqu’il doit créer le jeu. Toujours intraitable dans les duels face au gardien adverse, le meilleur Helvète de la dernière série de promotion-relégation manque toujours d’impact. Il fait des erreurs, mais Julien est un infatigable bûcheur. Ce capitaine idéal présente en outre un état d’esprit dont tout le monde devrait prendre exemple. Petit bémol : son placement. Julien ne lit pas assez le jeu et n’est pas toujours dans le bon timing.
Cadeau : un tournevis de 2 pour des petits réglages qui en feraient un joueur dominant de la ligue.

Michael Tobler : 3.5

De gardien de cristal, Michael a évolué au gardien de plexi : plus souple, mais toujours cassant. Il est toutefois un bon numéro deux sur lequel compter, mais il n’est pas rassurant dans une équipe qui doute. Au moins, les défenseurs se sentent davantage concernés dans ces circonstances.
Cadeau : une copine majeure.

Alexandre Tremblay : 4

Moteur de cet effectif, le Canadien semble souffir du complexe du «Pourquoi lui, mais pas moi». Alexandre a peur de s’investir plus, de peur que les autres en profitent trop. Ayant un jeu trop lisible, il n’arrive pas à réaliser pour l’instant de coups d’éclat. Le Québécois s’apparente à un dragster : au départ, il fonce et atteint vite sa vitesse maximale, mais reste en vitesse de croisière avant de s’éteindre irrémédiablement en fin de rencontre. Il n’est également pas assez combatif en back-check.
Cadeau : un stage d’initiation chez un maquereau, de sorte à ce qu’il puisse faire une passe.

Nicolas Villa : 5

Jusqu’à présent, il fait correctement son job. Plus mobile et toujours autant travailleur, Nicolas cherche toujours à trouver des solutions malgré ses lacunes techniques. Ayant invariablement une bonne attitude sur la glace, il prend peu de pénalités et fait peu d’erreurs.
Cadeau : une sélection en équipe nationale de Colombie, vu que ça semble tout de même foutu pour la Nati.

Dan Weisskopf : 4

Alors que certains se sont traînes sur la glace d’une manière éhontée, le polyvalent junior aurait certainement mérité d’avoir une présence plus conséquente dans l’effectif lausannois. Lorsqu’il fut aligné, Dan Weisskopf – visiblement affamé de glace – s’est battu avec une remarquable volonté. Jouant de manière simple et efficace, Dan a bien fait son boulot jusqu’à présent.
Cadeau : une tête de nègre.

Zarley Zalapski : 5

Sans compétition depuis plus de six mois et présentant une condition physique relativement douteuse, le débarquement de l’expérimenté défenseur a fait un bien remarquable dans le secteur défensif et il s’est tout de suite affirmé comme l’un des meilleurs éléments vaudois jusqu’à présent. Sachant parfaitement ce qu’il peut et ne peut pas faire, il se contente d’apporter de la stabilité dans l’effectif du LHC sans trop prendre de risques inconsidérés. La qualité de sa première passe faisant le reste.
Cadeau : un pantalon noir pour le prochain repas de soutien.

Raphael Zeller : 2

Après un début d’exercice catastrophique, le longiligne attaquant lausannois a finalement décidé de flinguer sa carrière sportive en reprenant des études outre-Sarine. Certes, il est difficile de voir à quel niveau son mystérieux mal contracté la saison dernière a influencé son rendement jusqu’alors, mais le jeune fut totalement fantomatique depuis le début de la saison alors qu’il avait déjà peiné à montrer tout son potentiel l’année dernière. En soi, son départ ne constitue donc pas du tout – pour une fois – une perte pour le club vaudois.
Cadeau : l’écolage de son premier semestre.

Bonus : Terry Yake (1 de présence)

Et encore, parce qu’il est sympa. Viscéralement incapable de trouver de solutions, il avait presque tout ce qu’il fallait pour bien faire, mais c’était un pseudo-maître d’orchestre sans baguette. Tel une soprano fumant trois paquets de clopes par jour ou un végétarien s’envoyant un T-bone de 500 grammes, Terry Yake a tout fait à l’envers. L’homme de paille en herbe fut protégé jusqu’à maintenant par des propriétaires portant des lunettes noires en pleine obscurité, mais le siège éjectable sera enfin actionné. Malheureusement pour lui, le Canadien n’était clairement pas mûr pour assumer ce rôle.
Cadeau : le livre «le Coaching pour les Nuls».

Épilogue

Pour ceux qui en doutaient encore, c’est bel et bien Kossmann qui coachait la saison dernière. Tactique, plan de match et système de jeu, il n’y a rien de tout cela dans l’équipe actuelle. Aucun joueur ne possède de rôle spécifique et chaque match est abordé de la même manière sans tenir compte de l’adversaire. Capable de tomber cinq fois dans le même piège, Terry Yake n’avait pas compris que c’est au LHC de faire de jeu. Finalement, il subsiste d’autres interrogations : quel est le vrai rôle de Perroton et qui sera le futur entraîneur du LHC après le brillant exemple de communication offert par le club lors de la divulgation des pistes ?

Photos Pascal Muller, copyright www.mediasports.ch

Écrit par Mathieu Nicolet, Bernard Anturi et Yves de St-Aÿ

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10 Commentaires

  1. Pas trop trop d’accord sur certaines notes:

    Trop sévère pour Gailland, Miéville, Tremblay, Keller, Fedulov.

    Pas assez sévère pour Staudi, Zalapski, Chavaillaz.

    Après, chacun son avis. Mais le 4 de Gailland et Fedulov, je capte vraiment pas!

  2. Perso, je ne comprends pas comment on peut mettre 4.5 à Chavaillaz (bien que j’adore ce joueur…) et 3 à Mieville.
    Ce joueur n’est pas tape à l’oeil mais diablement efficace. Il suffit juste d’avoir un Gailland ou Fedulov dans sa ligne…

    Himmelfarb « Cadeau : pas de cadeau pour lui, il ne le mérite pas. De toute façon, les Juifs ne fêtent pas Noël.  » Mort de rire!!

  3. Pour Kamerzin… « un passeport sud-coréen, seule solution pour qu’il soit un jour international »

    Non, je ne pense que cela ne suffira pas..

  4. Pas d’accord avec les notes des joueurs:

    7/18/19/22/23/28/38/44/81 qui méritent un peu mieux
    54 qui mérite beaucoup mieux

    15(beaucoup)/25(un peu)/33(un peu) qui méritent moins bien…

    Mais mise à part ça cet article est terriblement drôle…
    Et pour les allusions à la religion d’Eric Himmelstein/mann/berg/farb/eyfuss, je vois pas le soucis, CR est un sites ou on se moque de tout, et faire une différences(rire de tout sauf des juïfs) deviendrait discriminatoire…

  5. Assez bien vu dans l’ensemble!

    Il manque la note de Barry Alter pour sa tentative infructueuse de vendre le club à un Kita canadien! Allez, 1 de présence!

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