Oui, tu as raison, mon pote ! Dans mon emportement j’avais oublié le Djokobite – De La Poutre qui valait son pesant de cacahuètes. On a vu l’Argentin régler la mire durant un set pendant que Djoko marchait sur l’eau, et ensuite, c’était le feu d’artifice des fêtes de Genève ! Avec des pains de coup droit de la poutre de Tandil qui nous rappellent ses plus belles années, ou plutôt ses plus beaux mois… Bref, on était tout excités face à un tel spectacle… jusqu’à ce que la nuit tombe.
Écrit par le vrai-faux blog de Marc Rosset
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