6-2 3-6 4-4 0-40, et le match bascule…

Même si Rafael Nadal a survolé les première et quatrième manches, force est de constater que cette finale s’est peut-être joué en l’espace d’un jeu, le neuvième du troisième set. Agressif et inspiré, Novak Djokovic mène alors 40-0 sur le service de la Momie et se voit donc offrir 3 balles de break, pour ne pas dire 3 balles de set. On le voit, on le sent : Rafa est mal, au bord du précipice. Et c’est là que le match va définitivement basculer du côté du Majorquin… Popeye sauve avec brio ces trois opportunités, fait son traditionnel show de taureau hystérique et… assomme pour de bon le coton-tige. Ce dernier ne s’en remettra jamais, craquant ensuite dans tous les domaines – mental, tactique, physique – et perdant sept des huit jeux suivants. Impitoyable !

Écrit par le vrai-faux blog de Marc Rosset

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Un p'tit shot ?

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