Entrée sur le terrain la peur au ventre (enfin surtout nous), la Suisse a fait ce qu’on attendait d’elle : gagner contre l’Albanie. Sans y mettre leurs tripes, les hommes de Petkovic ont failli en apprendre beaucoup sur la fine frontière entre gérer un match et jouer avec le feu. 1.
Après la déception de ne pas voir Kasami ou Abdi dans la présélection de Petkovic, on a fait un gros «ouf» de soulagement quand il a pris la décision de ne pas emmener Senderos.