Depuis les premiers jours de 2014, j’ai l’habitude de sortir toutes sortes de propos dithyrambiques pour saluer les performances de nos champions olympiques. Et c’était évidemment largement mérité. Mais voilà, comme dirait Leo Di Caprio dans Le Loup de Wall Street après avoir passé la nuit avec cinq escort girls, toutes les bonnes choses ont une fin et, ô tristesse, ô désespoir, nos deux compatriotes viennent méchamment de retomber de leur nuage… Une double baffe à la hauteur des espoirs qu’on plaçait en eux : gigantesque !
Écrit par le vrai-faux blog de Marc Rosset
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