Portugal – Islande : Le derby de la morue

Le chaudron stéphanois a été le théâtre d’un affrontement entre deux des principaux producteurs et consommateurs de morues : un match spectaculaire sans vainqueur au résultat flatteur pour Cri-Cri et ses ami(e)s.

1. Le résumé.

Le Portugal, archi-dominé, marque contre le court du jeu en première mi-temps. Heureusement, justice est faite lors de la seconde période : l’Islande, impressionnante techniquement, pousse tant et plus ; elle est finalement récompensée.

What he said !! https://t.co/CVmRyLwNbn

— RockSport Radio (@RockSportDAB) 15 juin 2016

2. L’homme du match.

Les filles du FC Lancy invitée sur le plateau de la RTS : pour remplacer les pots de fleurs ?

3. La buse du match.

Mon chat. Il n’est pas resté à côté de moi sur le canapé pendant tout le match. Il a préféré aller bouffer sa morue en boîte – oui, c’était soirée thématique – et poser sa pêche que d’admirer la subtilité du jeu islandais.

4. Le tournant du match.

3ème minute, Sigurdsson ne marque pas sur la première action islandaise. Si les hommes de Lagerbäck avaient ouvert la marque, les Portugais n’auraient probablement pas existé.

5. Le geste technique du match.

Après 15 secondes de jeu, le premier tacle islandais sur Ronaldo.

6. Le geste pourri du match.

Le but de Nani ou les sourires de Ronaldo ?

7. Ce match m’a fait penser à…

Un délicieux moment de bonheur.

8. L’anecdote.

Deux reportages sur Ronaldo en slip pour présenter le match sur la RTS. Deux de trop ?

9. La minute Pierre-Alain Dupuis.

Stéphane Rinaldi au commentaire pour la RTS: « Ces Vikings sont assez virils. » #FuckingBlueBoy de Cormoret

10. Le tweet à la con.

Il sourit moins Cri-Cri, hein ?

11. La rétrospective du prochain match.

Après cette entrée difficile dans le tournoi, l’Islande affrontera la Hongrie dans ce qui sera probablement le match référence de cet Euro : on s’attend à du football champagne ! Portugal-Autriche ne sera probablement pas aussi intéressant ; il vaudra toutefois la peine d’être vécu puisque la victoire de la bande à Marcel fera taire les klaxonneurs lusitaniens.