On retrouve Bertrand Duboux, auteur du livre «Chroniques d’un insoumis» (éd. Slatkine), dans un bistrot de Genève. Le commentateur émérite de la TSR, figure emblématique des 30 dernières années télévisuelles romandes, voix du cyclisme surtout, revient sur son ouvrage et sur certaines questions qu’il soulève. Place des Grands Hommes.
Écrit par Psyko Franco
A propos dArmstrong, quand on pense que ce salopard va revenir, ça me gonfle !
« Chroniques dun insoumis » va faire partie de ma bibliothèque tout soudain.
Interview très sympathique.
Merci
Psyko: il fait quoi Duboux depuis quil est parti de la TSR ? un gachis quun gars avec de telles connaissances et relations sportives ne contribue a aucun média ?
@CC :
Ouais, une contribution à CartonRouge.ch par exemple, comme je le relevais hier sous lautre article lui étant consacré ? Allez, rêvons tous, chers collègues lecteurs, ça serait formidable en tout cas…
Et joubliais de préciser que lexcellent Yves Martin a aussi commencé sa carrière à CartonRouge.ch en étant interviewé dans cette rubrique, si je me rappelle bien…un tremplin je vous dit 🙂
Dommage que linterview soit si courte!
pas rancunière la TSR puisque on peut acheter le livre à Duboux dans leur boutique!
http://www.tsrboutique.ch/product_info.php?products_id=661
…bon faut dire que son livre fera pèter le jackpot de la TSR bien plus que les CD de cythares à Wuillemin ou les recueils de gags à 2 balles à la Viola
Merci Bertrand pour les grands moments. A propos de bouquin, à quand un recueil de « Romaine fait ses courses à la Migros »
Jaimerais egalement svaoir ce que B. Duboux fait en ce moment : Heureux retraite ? journalisme ?
La TSR nest pas rencunière, le livre peut sacheter sur son site … ??? IL A ETE RETIRE ET NEST PLUS DISPONIBLE ! Quelle bande de couillons ces dirigeants de TV régionalo-régionale!
Bien sur que cétait mieux avant !
Votre générosité verbale à la prériode faste du cyclisme suisse et lors des directs de boxe à 4h du matin – Mike Tyson VS les autres.. a marqué une époque et je vous en remercie.
Chapeau bas M. Duboux. Bonne continuation.