Appelez-moi le chat noir…

Mais quelle poisse ! Quelle guigne ! Quel manque de bol… Après avoir commenté ce Roland Garros catastrophique (et je pèse mes mots), voilà que je me suis tapé les trois derniers jours de Wimbledon au micro de la TSR. Résultat des courses : deux demi-finales à sens unique et sans Federer, la victoire du bulldozer Williams samedi et, cerise sur le gâteau, le triomphe du taureau des Baléares au terme d’une finale aussi excitante qu’une altermondialiste au camping du Paléo ou qu’un gang-bang chez Fabien Richard !

Écrit par MR

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