Bordine de bordine ! J’suis fin chaud bouillant que je t’explique pas. Même l’apéro-marathon d’avec l’ami René en-bas au Bourg n’y a pas suffi pour me rafraichir le ciboulot. Déjà qu’y avait de quoi festoyer vu qu’on avait gagné la qualif des Feinduno et compagnie à plat la couture en-haut dans l’étable du Tribunal de Sembrancher.
Écrit par le vrai-faux blog de Christian Constantin
Soyez le premier à commenter