Dans mon dernier post, j’écrivais naïvement : «mon petit doigt me dit qu’on pourrait bien vivre une semaine de folie…» Comme l’a signalé un lecteur dans les commentaires : «ton petit doigt c’est plutôt dans l’oeil que tu as dû te le mettre en voyant ce que nous avons tous vu». Oui, un doigt dans l’œil, l’autre dans le cul et le troisième pour éteindre abruptement ma putain de télévision ! D’où les analyses de Jean-Marc Rossier n’ont pas toujours été très pertinentes, notamment lorsqu’il a osé dire que Nishikori n’avait quasiment rien montré dans ce match alors qu’on jouait le cinquième set… Mais bon, vu qu’on est plus ou moins collègues, je vais éviter de tirer sur lui à boulets rouges.
Écrit par le vrai-faux blog de Marc Rosset
Soyez le premier à commenter