En préambule, je tiens à dire qu’entre la Grèce et moi, ça n’a jamais été une histoire d’amour. Déjà au lycée, un camarade de classe d’origine grec avait eu le don de m’agacer durant plus de 3 ans. Tu sais, le mec habillé en Chevignon de la tête aux pieds, heureux de crapoter ses clopes durant les pauses parce que ça fait «cool» et affublé d’une coupe à la Leonardo Di Caprio dans Titanic parce que ça plaît aux filles. Sans surprise, ce mec travaille désormais dans une banque à Genève, passes ses vacances entre St-Trop et Verbier et se prend pour Dieu le Père.
Écrit par le vrai-faux blog de Marc Rosset
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