Aucun but inscrit au Westfalenstadion depuis 2006 et un bilan depuis l’arrivée de Jürgen Klopp à la tête du Borussia Dortmund de deux matchs nuls pour sept défaites sur un goal average de 3-19 : les chiffres ne parlaient pas vraiment
Ce n’est un secret pour aucun de nos lecteurs réguliers : je n’aime pas le Bayern Munich, la vision du football qu’il incarne, ses méthodes, son fric, son arène pour VIP, ses dirigeants peu scrupuleux et imbus d’eux-mêmes… La simple lecture
Trois roulements de tambours, quelques claquements de mains et un «Sieg» repris par des dizaines de milliers de voix : c’est par ce rituel immuable que se conclut un match victorieux du Borussia Dortmund au Westfalenstadion.
Le récit du week-end débute dans une chambre d’un hôtel quatre étoiles de la bucolique cité de Mönchengladbach. Je suis en train de me préparer pour la soirée lorsque des coups sont frappés à ma porte.
Dans la première décennie du XXIe siècle, le Werder Brême était considéré comme la deuxième puissance du football allemand, celle qui semblait le plus à même de contrecarrer sur la durée la suprématie du Bayern Munich, avec un titre en
Une page s’est tournée à Hanovre durant la trêve hivernale avec le départ de Mirko Slomka. Celui-ci avait repris un Sechsundneunzig alors en perdition et en grand danger de relégation, au début de l’année 2010.
A l’exception d’un déplacement tropical à Francfort en Pokal, auquel je dois renoncer la mort dans l’âme, le Borussia Dortmund va mettre résolument le cap au nord en ce mois de février, avec des déplacements à Braunschweig, Brême, Hambourg et
Le 1er novembre dernier, le Borussia Dortmund explosait le VfB Stuttgart 6-1 dans l’ambiance survoltée du Westfalenstadion et reprenait, l’espace d’une nuit, la tête de la Bundesliga.
Tu t’es sans doute rendu compte que j’étais vaguement enragé avec ma Bundesliga, alors, approche des Fêtes ou pas, il était hors de question de rendre les armes avant que le dernier match de l’année ne soit joué.