Présentation de la saison 2008-2009 – 1ère partie

La saison 2008-2009 du Calcio reprend ses droits ce week-end. Le moment est donc on ne peut plus indiqué pour brosser un portrait des principales forces en présence, à la sauce Carton Rouge car, on le sait chers lecteurs, c’est celle-là que vous aimez. Préparez la grappa et le limoncello, cette saison s’annonce relevée !

Aujourd’hui, les quatre grandes puissances, Inter, Roma, Juve et Milan, plus le potentiel trouble-fête, la Fiorentina. Demain, survol des autres clubs et quelques réflexions en marge.

Internazionale

Comme il se doit, honneurs au champion. L’Inter de Roberto Mancini avait survolé la saison passée, en tout cas le début, pour s’adjuger un scudetto particulièrement goûteux, puisque gagné sur le terrain (celui-là) l’année même d’une déconfiture légendaire du rival local, l’AC. Mais l’habituelle débandade intériste en Champions League et la défaite en finale de Coupe d’Italie contre l’AS Roma (la seconde en deux ans) ont pesé dans la décision du club de remplacer Mancini par le fameux José Mourinho, chantre du beau jeu et de l’attaque à outrance (haha elle est bien bonne). On peut déjà parier sur quelques concerts de sifflets à San Siro, à l’issue des triomphants 1-0 qui ne manqueront pas d’émailler l’exercice – le public milanais est en effet connu pour son exigence, disons. On se réjouit en tout cas de voir de quelle façon les ultras nerazzurri manifesteront leur mécontentement : fumigènes, avalanche de papier-Q, caillassages de bus et autres jets de scooters font en effet partie de la panoplie du coin.
Côté terrain, c’est sûr, avec Mourinho l’Inter récupère un coach qui sait gagner. En championnat, la troupe du capitaine Javier Zanetti a ce qu’il faut pour garder sa couronne, même si la concurrence sera féroce. Le problème, ce sera de réussir à gagner sur le terrain devenu le plus important aux yeux du club de Massimo Moratti : celui de la Champions League. Et là, on se souvient que Mourinho avait gagné avec Porto, pas avec Chelsea. L’effet de surprise ne comptera plus. Mais comme jusqu’à nouvel ordre ce ne sont pas les coaches qui courent en short après la baballe, il convient de se tourner vers l’effectif.
L’effectif de l’Inter a ceci de particulier que, saison après saison, il reste pléthorique, titanesque, impressionnant – mais il change néanmoins chaque été d’un bon tiers (dans les années sages, sinon c’est plus). Durant ce mercato pas encore terminé et qui pourrait encore amener quelques surprises, l’Inter s’est montré carrément sage, n’attirant que le Brésilien de la Roma Amantino Mancini (il fallait bien en garder un, question de continuité) et le musculeux Ghanéen Sully Muntari (ex-Portsmouth) tout en laissant partir quelques gros contrats pas très productifs : Maniche, Cesar, Solari notamment. Mais le «clou» est bien l’attendu retour d’Adriano, l’imposant attaquant brésilien parti en voie de garage dans sa terre natale, en proie à une «saudade» assortie de crise de confiance et de surpoids. La force de la nature clame qu’il revient motivé, en forme et prêt à enquiller les buts comme jamais, mais après tout c’est aussi ce qu’il disait pile il y a un an. A voir, donc, mais quoiqu’il en soit, de son rendement et de la résistance aux blessures de la véritable star de l’équipe, Zlatan Ibrahimovic, dépendront en grande partie les heurs et malheurs du club lombard.
A suivre : Mourinho, Ibrahimovic, Adriano, Cambiasso, Zanetti, Muntari, Balotelli…
Pronostic : Champion ou dauphin. Jeu soporifique au possible mais efficace, record de 1-0 en une saison.


Mourinho vise le doublé scudetto-CL !

AS Roma

La Roma en a sûrement marre. Marre des deuxièmes places en championnat, marre que tout le monde dise qu’elle pratique le plus beau jeu d’Italie et l’un des plus beaux d’Europe sans pourtant accrocher de titre national depuis perpète, marre de devoir faire avec un budget rachitique en comparaison avec les autres grands clubs du pays. Et pourtant, tout semble indiquer que la saison à venir s’inscrira clairement dans la lignée des précédentes.
La Roma est belle, sur le papier, mais probablement pas assez profonde au niveau de l’effectif pour pouvoir rivaliser sur la durée et avec la variable qu’introduit dans cette durée une compétition aussi intense et difficile que la Champions League. Sur un match, la troupe de Luciano Spalletti peut regarder n’importe quelle équipe droit dans les yeux, mais on peut émettre quelques doutes sur la continuité. Les arrivées de poids (Julio Baptista, John Arne Riise) masquent à peine les départs de poids (Giuly, Mancini, Ferrari) et l’on est franchement en droit de douter de la capacité des Romains de faire mieux que l’année passée, puisque le club du président Sensi (décédé il y a peu) n’a pas pu apporter les grands renforts réclamés par le mythique capitaine Francesco Totti. Gageons alors que la Roma enthousiasmera, se battra, créera des surprises, verra Totti se blesser puis fera une énorme remontée dès janvier comme d’habitude, et terminera l’exercice dans les cimes de la Série A, mais pas exactement au sommet. Rageant d’avance mais hautement probable.
Chapeau tout de même à ce club pour lequel «joueur du crû» veut encore dire quelque chose, puisque malgré les habituelles sollicitations estivales et multimillionnaires de clubs plus riches, y compris à l’étranger, la Roma est encore parvenue à conserver ses pépites Totti, De Rossi et Aquilani, formés au club et élevés au grain, des gamins de Rome qui acceptent de toucher moins ici plutôt que plus ailleurs, et qui font se lever les foules dans «leur» stadio Olimpico. Dans notre foot moderne, rares sont les clubs comme celui-ci, puissent-ils gagner à la fin (haha).
A suivre : Totti, De Rossi, Perrotta, Baptista, Riise, Vucinic…
Pronostic : Top 3 avec le meilleur bilan pour 2009. Totti rate la moitié de la saison, Mexès retrouve l’équipe de France et le club se console de sa bonne mais infructueuse prestation en championnat avec une belle victoire en coupe d’Italie, comme d’hab.


Se blessera, se blessera pas ?

Juventus

La Vieille Dame est de retour. Après une année de purgatoire suite aux affaires que l’on connaît, la Juve a tiré un trait sur l’arrogante et pourrie période Moggi, et a retrouvé du lustre en accrochant une belle 3e place l’année passée, qui lui ouvre cette année les portes de la CL. Mieux encore, et celle-ci est une nouvelle qui a clairement réjoui le peuple bianconero, Alessandro Del Piero semble avoir retrouvé ses vingt ans et son association avec Trezeguet fait toujours du bruit (41 buts à eux deux en Série A l’année passée). Un recrutement ambitieux mais pas pharaonique masque le départ du prometteur Nocerino (parti à Palerme) avec des noms comme celui de l’expérimenté Mellberg, du jeune et explosif Giovinco ou du roublard Poulsen. Mais surtout, le coup majeur de la Juve est d’avoir su doubler ses concurrents italiens pour s’approprier le Brésilien Amauri (ex-Palerme), l’une des grandes révélations de la saison passée. Complet et redoutable, l’attaquant sera appelé à jouer un grand rôle au sein de l’attaque de Claudio Ranieri, surtout qu’elle semble trop dépendante des fantaisies de Del Piero, qui ne tient jamais une saison complète, et de celles de Giovinco, époustouflant mais quelque peu irrégulier.
La Juve est de retour, donc. Les cadres sont toujours là (Buffon, Nedved, Chiellini, Camoranesi, etc.) et quelques jeunes et autres «semi-nobodies» comme leurs recrues nordiques viennent compléter le tableau et ouvrir de belles perspectives, y compris en Europe. L’ambition clairement affichée est de replacer la Juve au sommet de la pyramide, et cette Vieille Dame-là pourrait très bien en avoir les moyens. Reste à savoir si ce club-là est capable de remplir son stade à domicile dans d’autres confrontations que celles contre le Torino, l’Inter ou le Milan (et encore…).
A suivre : Del Piero, Trezeguet, Amauri, Nedved, Camoranesi, Giovinco, Chiellini.
Pronostic : Champion ou dauphin. Bon parcours en CL. Le club organisera à la fin de la saison un pèlerinage dans les usines Fiat de Sicile, et réfléchira à y déménager et de s’appeler la Juventus de Caltanissetta, parce qu’au moins, là-bas, il a des supporters, et même beaucoup.


Le duo de choc !

AC Milan

Le Milan misait, jusqu’à il y a peu, sur la continuité, retouchant son effectif durant l’été sans le chambouler fondamentalement, et se gaussant de ses voisins intéristes, toujours enclins à claquer les millions pendant les vacances. Or, avec la domination récente de leurs voisins et la pitoyable campagne rossonera la saison passée (faut-il rappeler que le Milan, deuxième club le plus titré d’Europe, sera absent cette fois-ci de la CL?) il semble que les rôles se soient inversés. Le club du mafieux en chef Berlusconi n’a pas regardé à la dépense cet été pour remplacer les partants Ronaldo, Gilardino, Simic, Serginho, Cafu et autre Gourcuff.
Déjà, dans sa volonté de rajeunir ses cadres vieillissants, l’AC a resigné Paolo Maldini. Respect pour le meilleur défenseur de l’histoire, mais franchement, à son âge il serait peut-être plus indiqué de s’inscrire dans un club de pétanque. Comme on ne met pas un joueur de sa classe et de son envergure sur le banc toute la saison, on peut parier que le beau Paolo pourrait bien devenir une sorte de poids mort dans l’effectif milanais si le physique ne suit pas. Les rouge et noir se consoleraient en disant qu’il apportera son aura et son expérience dans le vestiaire.
Car c’est bien là que le Milan risque de rencontrer ses principaux problèmes. Galliani et Berlusconi devaient avoir fumé du crack, car on ose à peine imaginer comment LA nouvelle recrue, Ronaldinho, pourra s’entendre avec LA star milanaise, Kaka. On savait leur cohabitation (sur le terrain et dans les vestiaires) difficile déjà en équipe du Brésil, on ose à peine imaginer comment ils vont faire dans le quotidien de la vie de club. Sûrement que les pontes milanais se sont dit que c’est encore plus beau quand c’est compliqué. Mais bon, avec l’arrivée de Ronaldinho, c’est sûr, le Milan n’aura pas à regretter Ronaldo : ses joueurs resteront toujours très performants en discothèque…
Autre point incroyable du recrutement milanais : l’arrivée de Shevchenko et le contexte de la rocade Gilardino-Borriello. On savait qu’à Milan, le divin Ukrainien a ses admirateurs, et on ose espérer que comme Dinho, il a quelque chose à prouver au monde du foot et vient en Lombardie en quête de rachat. Mais des doutes sont permis, franchement : pour l’un comme pour l’autre, les plus belles années sont peut-être déjà derrière… On sourit en tous cas en se rappelant qu’au début de l’été, Galliani ne jurait que par le concept de rajeunissement… même si, techniquement, remplacer des gars de 35 ans par des gars de 31, ça reste rajeunir…
Quant au cas Borriello, il semblerait que l’ex-buteur du Genoa (époustouflant la saison dernière) puisse d’ores et déjà se mordre les doigts, lui qui espérait prendre la place laissée dans l’effectif par les départs de Ronaldo et Gilardino et continuer à faire trembler les filets avec cette fois un maillot plus prestigieux. L’arrivée de Sheva le barre, clairement. Qui veut parier que comme Gila à l’époque, il va chauffer le banc, se ratatiner et perdre confiance, pour se faire transférer à l’été 2009 dans un plus petit club où il recommencera à jouer les terreurs ?
Bon, Milan a tout de même des arguments au niveau jeunesse, notamment avec le prodige imberbe Pato. Mais la pression et la fatigue seront-elles suffisamment bien gérées par ce jeune gars qui sort, osons-le, d’un tournoi olympique pitoyable au niveau personnel ? C’est sûr, il détonne au milieu de la collection de fossiles du Milan, mais la saison de la confirmation est souvent la plus dure…
On dit que la défense milanaise est son principal chantier, et on a peine à croire que le plus gros renfort dans ce compartiment est… Philippe Senderos. On aime bien le Genevois, mais si tel est le renfort pensé pour redonner rigueur et sérénité à la défense milanaise, on se dit que oui, définitivement, Galliani et Berlusconi fument du crack…
Bien des éléments pour être sceptique quant au Milan cette saison. Mais parfois les grands clubs surprennent… en tout cas cette fois, Milan surprend en pré-saison : il arrive à être encore plus médiocre que lors du championnat dernier… Pas de bon augure pour Ancellotti, qui dégagera de son banc à coup sûr s’il ne remporte pas de trophée majeur cette saison. Je parie qu’il dégagera avant la fin de saison.
A suivre : Pato, Kaka, Ronaldinho, Shevchenko, Zambrotta, Pirlo, Senderos…
Pronostic : brillant 4e, place arrachée avec un match nul à domicile lors de la dernière journée, en usant trois coaches. De rage, Berlusconi se refera un lifting et décrétera une nouvelle loi pour interdire aux coaches des autres équipes de s’approcher à moins de 400 mètres de leurs joueurs.


Supportera-t-il Ronaldinho ?

Fiorentina

Le club violet retrouve l’orgueil et le lustre de l’époque Batistuta-Rui Costa-Toldo grâce à Cesare Prandelli, probablement le meilleur coach d’Italie, et une 4e place chipée au Milan la saison dernière, et peut-être la grande scène européenne dès septembre. Et surtout, grâce à son jeu, agréable et efficace, qui a ressoudé toute la ville de Florence derrière ses «viola».
On pouvait craindre que le club se fasse «piller» à l’intersaison, et effectivement certains éléments cruciaux sont partis, notamment les piliers de la défense Ujfalusi (vers l’Atletico) et du milieu de terrain Liverani (vers Palerme). Mais le recrutement a été particulièrement fructueux, avec les arrivées de Zauri, Storari, Almiron, Vargas et surtout de Gilardino, qui a enfin réussi à s’échapper du cimetière des éléphants milanais et vient à Florence avec une ferme volonté de se racheter et de rappeler à tous qu’il est capable de marquer des buts, et beaucoup. Son association en attaque avec le Roumain Mutu, ex-enfant terrible désormais assagi et élevé au statut de vedette, devrait faire des étincelles.
Si la sauce prend vite, et gageons qu’elle prendra sous les ordres de Prandelli, la Fiorentina devrait jouer les tout premiers rôles en championnat, voire même effectuer un bon parcours en CL. Mais les forces laissées en Europe pourraient bien, au final et comme pour la Roma, peser dans le décompte en Série A : il sera difficile, mais pas impossible, aux violets de confirmer leur campagne passée et de se qualifier deux fois de suite en CL.
A suivre : Mutu, Gilardino, Frey, Montolivo, Almiron, Pazzini…
Pronostic : 4e ou 5e, à la lutte avec Milan ou un autre des quatre gros bras. Une statue de Prandelli sera installée devant le stade en cas de bon parcours en CL. Frey titulaire en équipe de France et Gilardino de retour dans les hautes sphères du classement des buteurs – Ancellotti en fera une dépression et Galliani fera une offre pour le récupérer en 2009 (évidemment ensuite il retournerait sur le banc jusqu’en 2010, puisqu’il n’est pas encore assez vieux pour jouer titulaire à l’AC).


Mutu, le bijou de la Fiorentina

Écrit par Gian del Mulo

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16 Commentaires

  1. a vous entendre on dirait que vous etes interistes.Tres critique envers le MILAN AC je vous rappalle club le plus titré de la planete,vous avez oublié un phénomene, celui de la culture des clubs.MILAN LIVERPOOL AU LE REAL sont des clubs qui cultivent cet esprit de gagne c est ce plus que n a pas l inter ou la roma,raison pourlaqu elle ils ne peuvent gagner la c1.

  2. Sauf erreur, Frey a pris sa retraite internationale.

    Bien quétant fan du Milan AC, il est difficile de lui donné tord sur le mercato milanais…

  3. Superbe article, très bien ficelé, me suis régalé. Je suis totalement daccord avec lauteur concernant le Milan AC : ils vont de nouveau se planter cette saison !

  4. Voici mon pronostic pour le calcio :
    1. Inter
    2. Milan
    3. Roma
    4. Juve

    En ligue des champions (je vois les 4 mêmes clubs que cette année, mais dans un ordre différent) :
    1. Barça
    2. Liverpool
    3. Manchester
    4. Chelsea

  5. Tout comme François Fellay (qui soit dit en passant fait partie des quelques lecteurs-posteurs de commentaires sur ce site qui signent de leur nom, bravo à lui) , je félicite ce (nouveau?) rédacteur pour son excellente présentation des équipes supposées phare cette saison en Italie. Y-a juste avec Gilardino que je trouve lauteur très gentil ( cest peut-être son cousin 🙂 ) parce moi jai beaucoup de peine avec ce joueur, mais bon cest une question davis…

  6. voici mes pronostics:
    a s roma championne
    as roma finaliste en coupe ditali
    as roma se discalifi en champions league face au man utd encore une fois . lol
    totti jespere kil ne se blessera pas cette anner
    pfffffffff mais moi jadore la roma . et je suis au maroc lol. tchao .oujdaaaaaaaaaa

  7. bonjourneaux je ne vois pas en quoi cet articolo e anti interiste…mais bon je pense que GROSSETO(tres belle ville de la Toscane) va monter….

  8. Quelque precisations sur la Fiorentina:

    1. Frey a bien pris sa retraite internationale.

    2. Sans compter les penalisations, la Fiorentina sest qualifiee pour la CL depuis 3 ans (voire points effectives) et va se qualifier encore.

    3. Le joueur a suivre est sans doute Felipe Melo, il sera le meilleur joueur du championnat! Vargas, bien quil a ete mentionne dans larticle, apparait nonplus sur la liste des joueurs a suivre…

    4. Liverani netait pas un pilier de lequipe. Ils lont laisse partir car, meme sil est tres fort avec les pieds, il est le joueur plus lent de lemisphere nord. En plus il a rate le penalty an demi-finale de la UEFA lanne passe.

    FORZA VIOLA!

  9. Chers amis lecteurs, merci pour vos commentaires.
    Pêle-mêle et en réaction, quelques précisions:
    – Oui cest vrai, Frey a pris sa retraite internationale. Mea culpa. A ma décharge, je rappellerai quà un moment donné, Makelele, Zizou ou Thuram avaient également dit stop… On sait ce quil en est advenu. Perso, je considère Frey comme le meilleur gardien français depuis plusieurs années…
    – un article qui semble anti-milaniste nest pas forcément bidon. Les Milanais en ont apporté la preuve brillante la saison passée…
    – être critique envers lAC ne veut pas dire quon est pour lInter. Jen suis la preuve vu que chaque saison je frustre de voir ma Roma échouer au poteau – dernière occurrence, le week-end passé en Supercoupe dItalie, avec une victoire aux penalties de lInter…
    – Scopaz tu as raison, jai omis Melo qui devrait être parmi les grandes explosions de la saison. Mea culpa…
    – quant à Gilardino, le débat est ouvert. Perso je mets un billet sur une saison à au moins 18 buts, comme avant darriver au Milan. Il y a des joueurs dont la confiance souffre plus que dautres dêtre dans lombre de plus grosses stars. Je pense que Gila va rebondir chez Prandelli…
    – enfin, last but not least, je tiens à préciser aux Milanistes qui se sont offusqués du ton de larticle envers leur (très) grand club que oui, Milan est un (très) grand club, mais que cette saison il ne sera pas en CL, quil a tout à prouver cette année et beaucoup à perdre encore. Dailleurs, le sujet de cet article était la Serie A, pas la CL. Je ne sens pas, mais alors pas du tout, les Milanais cette saison. Mais tout le monde peut se tromper…
    Merci encore pour vos réactions, et bonne fin de semaine à tous!!!

  10. je trouve que le ga ki a cri cet article est vraimen une m**** car lac milan semble tres competitif en uefa et serie a cette saison apres le retour de blessure de nesta lac milan aura renforcé son equipe dans tout les compartiments de jeux avec les arrivés de senderos zambrotta flamini ronaldinho shevschenko et borriello

  11. voici mes pronostics:
    a s roma championne
    as roma finaliste en coupe ditali
    as roma se discalifi en champions league face au man utd encore une fois . lol
    totti jespere kil ne se blessera pas cette anner
    pfffffffff mais moi jadore la roma . et je suis au maroc lol. tchao .oujdaaaaaaaaa

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