LHC: un bien long week-end…

Ridicule vendredi face à Young-Sprinters, le LHC a rectifié le tir deux jours plus tard face à Thurgovie mais sans y ajouter la manière. Un bilan lausannois plutôt mitigé alors que le club reste scotché à la quatrième place du classement. Retour sur un week-end qui laisse un sentiment général d’incrédulité teinté de perplexité.

En perpétuel ballottage, Lausanne nous a refait vendredi un krach hockeyistique du plus bel acabit en trouvant le moyen de s’incliner contre «Youcheprint». Plus grave encore, les Neuchâtelois du bas ont réalisé un véritable siège des buts lausannois, rendant ainsi le score final bien flatteur. Une profonde introspection semble nécessaire: comment le club vaudois peut-il accomplir une performance en tout point remarquable contre les Chaux-de-fonniers, puis servir un menu aussi avarié contre leurs voisins lacustres le match suivant ? Scénario classique d’un protocole suranné, certes, mais ce dernier suscite toujours de rémanentes interrogations dans les esprits de chacun.

Progression régressive

Il paraît que dans toute défaite, il est toujours possible d’y trouver du positif. Sur ce coup, on a beau chercher, rien ne vient. La défaite en elle-même ne peut être considéré comme dramatique, à part le fait qu’une fois de plus, Lausanne rate une splendide occasion de se rapprocher de la deuxième place. Mais l’absence totale de lutte fut proprement scandaleuse et indigne d’une équipe qui prétend jouer la gagne dans le championnat. Certes, il est louable de vouloir réduire la consommation de gaz carbonique en limitant au maximum les efforts physiques dans le contexte climatique qui prévaut aujourd’hui. Mais je doute que les spectateurs présents au Littoral (les Lausannois ayant fait le déplacement, donc) aient accepté ce geste plein de bon sens à sa juste valeur. Dans cet élan de générosité, il devient donc possible d’être particulièrement succinct pour décrire les occasions dangereuses que les joueurs du LHC se sont procurés lors de ce non-match: Il y eut un tir de Miéville, un de Staudenmann, ainsi que les conclusions de Frunz et Gailland. Nous nous arrêterons là pour ce soir. Il y eut encore un autre tir; cette situation sera décrite plus en détail dans le paragraphe suivant.

A la vitesse du çon

L’action de la 42e minute illustre à elle seule la belle farce à laquelle nous avons eu la chance d’assister: Premier fait étonnant, les Lausannois entrèrent dans la zone défensive neuchâteloise. Pire: ils eurent l’outrecuidance d’adresser un tir en direction d’un Ciaccio cryogénisé. Luxe ultime: le tir fut cadré ! Le portier de Young-Sprinters dévia le tir dans l’arrondi. Dans la continuité de l’action, l’arbitre dicta une pénalité différée en faveur de l’attaquant lausannois ayant récupéré la rondelle, accroché qu’il fut par son vis-à-vis neuchâtelois. Walter sortit donc (lentement) de sa cage alors que l’attaquant vaudois tenta une passe en retrait pour… personne. Vous la voyez venir n’est-ce pas ? Ç’a n’a pas manqué: le puck fila gentiment dans le but du LHC, Walter se rendant compte bien trop tard de l’éventualité d’occurrence du but-gag de la soirée. Etant donné que Ciaccio fut le dernier joueur de Young-Sprinters à avoir touché la rondelle, le but lui fut accordé !  On croyait avoir tout vu avec Lausanne; il manquait encore ce genre d’autogoal.
La victoire fut donc totalement méritée pour Young-Sprinters (ndlr: le nom «Neuchâtel» ne figurant plus dans la dénomination officielle du club, bien que leur chandail arbore fièrement les logos d’Ambri, de Fribourg et de Berne au bas du dos…). Bien qu’inconstante, les pensionnaires du Littoral possèdent une équipe jeune et prometteuse à l’instar du très talentueux Löffel. S’il fut difficile d’élire le meilleur Neuchâtelois sur la glace, tant cette équipe fut collective et solidaire, ce problème fut identique côté vaudois: on n’a vu personne. Sauf peut-être Villa qui est parvenu à faire deux passes. Le dernier moment comique survint en fin de rencontre, au moment de la distribution des prix, lorsque Grieder tailla un costard à Lardi en lui faisant la morale. Mythique !

Bis repetita ?

«Gélinas: Combien l’amende pour une défaite sans lutter ?» La judicieuse banderole déployée par la Section Ouest (en référence à l’article paru dans le 24 Heures) avait le mérite de parfaitement résumer la situation. Les Lausannois se devait de se faire pardonner après la muflerie éhontée produite deux jours auparavant. L’histoire ne dit pas si l’entraîneur lausannois a prié ses joueurs de rentrer à pied et d’être sur la glace le lendemain à six heures du matin pour remettre les choses au point, mais certains joueurs devraient absolument arrêter de se voir plus beaux qu’ils ne le sont. L’occasion était donc belle de se racheter contre le surprenant Thurgovie à qui l’on prédisait un long et pénible pensum lors de cette saison.
Autant dire que les choses commencèrent mal. Armés d’une volonté de mieux faire, mais toujours aussi constants dans la médiocrité, les locaux furent menés d’une longueur après vingt minutes contre des Thurgoviens bien limités. Souvent maladroits dans le dernier geste, les Vaudois ne pouvaient égaliser que sur un coup du sort à ce stade du match. Ce fut chose faite à la 25e minute lorsque Flückiger se fabriqua tout seul un but bien cocasse. Peu avant, Lüssy rata comme à l’accoutumée une cage complètement délaissée. Toutefois, les actions lausannoises progressèrent dès la mi-match. Staudenmann ajusta la latte du portier thurgovien avant que Lüssy – expert en ratés monumentaux – ne réussisse à loger le puck dans un trou de souris pour marquer le 2-1.
La troisième période vit une équipe de Thurgovie totalement à côté de la plaque et incapables d’aligner deux passes consécutives; le LHC de vendredi en fin de compte. Les Vaudois n’ont juste eu qu’à gérer tout en commettant un minimum d’erreurs. Lausanne se mit définitivement à l’abri à la 45e minute sur un superbe but de Bonnet (meilleur homme sur la glace en ce dimanche soir), magnifiquement servi par Gailland. Le coach thurgovien Erwin Kostner a bien tenté de murmurer à l’oreille de ses joueurs durant son temps-mort, mais sans succès. Silvan Lüssy, s’obstinant à refuser de marquer dans un but vide, laissa ce soin au tank Baumann pour sceller le score final.

A psy to spy

Trois points lors de ce week-end, c’est un tarif minimal. Au niveau des mercenaires, ce fut bien insuffisant: si Yake – physiquement très émoussé – a compensé tant bien que mal par de jolis services et une bonne vision de jeu, Mikkola fut, lui, totalement transparent. La ligne des jeunes ne possède toujours pas le rendement escompté. Si le physique de Zeller (le Sprunger du pauvre) se révèle par moments utile pour s’installer en zone défensive, Frunz et Suri sont hélas trop tendres pour permettre à cette ligne d’être réellement percutante. Il est dès lors très pénible de voir Mano relégué au bout du banc alors qu’il mériterait incontestablement sa chance au vu du niveau présenté par certaines individualités. Quitte à réaliser un tournus. En défense, la présence d’un arrière de bon niveau permet souvent à un coéquipier intrinsèquement plus faible d’élever son niveau de jeu. A Lausanne, c’est le contraire: affublé de Grieder, Leeger a montré un niveau de jeu indécent par rapport à ses meilleures sorties, avec d’exécrables relances et un placement plus que douteux. Il faudrait aussi se renseigner pour savoir à quel moment Trunz aura à nouveau le droit de tirer (au but donc…). Cette punition s’avère bien contre-productive et l’impact de l’ex-Ajoulot dans le jeu frise le néant. Ce week-end a parfaitement mis en évidence les problèmes récurrents du club vaudois au niveau du mental. Ceci de traduit par des détails: un temps de retard, un contrôle de trop, des tirs sans convictions et un manque général de lucidité dans le dernier geste. Ce sont hélas ces détails qui font souvent la différence, dans un sens comme dans l’autre.
Photos Pascal Muller, copyright www.mediasports.ch

Young-Sprinters – Lausanne 4-2 (0-0 2-1 2-1)

Littoral : 557 spectateurs.
Arbitre : M. Clément.
Buts : 26e Genazzi (Berger, C. Girardin/5c4) 1-0, 30e Frunz (Zeller) 1-1, 32e Beer (Merzaghi, Personeni) 2-1, 42e Ciaccio (!) 3-1, 48e Isabella (Perrin, Ch. Bielmann) 4-1, 53e Gailland (Miéville, Bonnet) 4-2.
Pénalités : 7 x 2’ contre Young-Sprinters, 6 x 2’ contre Lausanne.
Young-Sprinters : Ciaccio; Löffel, A. Bielmann; Ryser, C. Girardin; L. Mano, Beer; L. Girardin; Vostrak, Hasani, Dlouhy; Berger, Genazzi, Krebs; Isabella, Merzaghi, Personeni; Abplanalp, Ch. Bielmann, Perrin.
Lausanne : Walter (48e Tobler); Trunz, Lardi; Leeger, Grieder; Heynen, Villa; Rüfenacht, Yake, Mikkola; Lüssy, Staudenmann, Baumann; Bonnet, Miéville, Gailland; Frunz, Zeller, Suri; J. Mano.
Notes : Lausanne sans Tremblay, Sigrist ni Schäublin (blessés).

Lausanne – Thurgovie 4-1 (0-1 2-0 2-0)

Malley : 2766 spectateurs.
Arbitre : M. Schmutz.
Buts : 15e Helfer (Hogeboom, Plankl/5c3) 0-1, 25e Staudenmann (Lüssy, Grieder) 1-1, 37e Lüssy 2-1, 46e Bonnet (Gailland, Lardi) 3-1, 60e Baumann (cage vide) 4-1.
Pénalités : 3 x 2’ contre Lausanne, 5 x 2’ contre Thurgovie.
Tirs cadrés : 30-23
Lausanne : Tobler; Trunz, Lardi; Leeger, Grieder; Schilt, Villa; Rüfenacht, Yake, Mikkola; Lüssy, Staudenmann, Baumann; Bonnet, Miéville, Gailland; Frunz, Zeller, Suri; Mano.
Thurgovie : M. Flückiger; Helfer, Jaag; Ott, Müller; Schumacher, Kradolfer; Ruhnke, Dommen; M. Schoop, Fehr, Hendry; Schrepfer, Hogeboom, Bodenmann; Lemm, Plankl, Trachsler; Bucher, Capaul, Conte.
Notes : Lausanne sans Tremblay, Sigrist, Schäublin (blessés), Chavaillaz ni Heynen (malade). Thurgovie sans Gemperli, Ambass ni S. Flückiger (blessés).

Écrit par Mathieu Nicolet

Commentaires Facebook

13 Commentaires

  1. D’une façon générale, je trouve le ton de votre article quelque peu méprisant voire arrogant. Cela étant, je partage la plupart de vos constats.

    En exemple, je trouve un peu fort votre phrase: « affublé de Grieder, Leeger a montré un niveau de jeu indécent par rapport à ses meilleures sorties, avec d’exécrables relances et un placement plus que douteux »

    Je suis d’accord sur les manques du jeu de Leeger ce week-end mais que vient faire son partenaire là dedans!?

    Grieder ne me semble pas mériter un tel traitement de votre part… J’ai assisté aux 2 matchs du week-end et il n’a pas mal joué. D’ailleurs de façon général, je trouve que cette saison il est en progression et il serait peut-être judicieux de ne pas s’acharner sur lui et de changer de disque. Enfin ce n’est que mon avis.

    Il est un point ou je suis par contre entièrement d’accord avec vous : c’est la 4ème ligne. 1 pt depuis le début de la saison: une catastrophe… cela serait excusable s’il s’agissait de jeunes du club… mais le temps de jeu accordé à Réto Suri (du servette) est tout bonnement consternant, surtout quand on pense à Mano!

    J’aimerais vraiment que Gélinas s’explique à ce sujet car sa politique à l’égard de l’ex-chaux-de-fonniers paraît, sans ses explications, vraiment exagérée voire déplacée….

    Bierliner

  2. Très bon article qui résume assze bien ce que nous, pauvres supporters lausannois de vont endurer depuis le début de la saison !

    Quand au « cas Mano », qu’à fait ce pauvre garçon pour être perpetuellement relégué en bout de banc ? M. Gélinas il est temps de nous donner des explications, et un peu plus convaincantes que :  » j’ai trop de bons joueurs à dispositions « . Quand on voit le temps de glace de Suri, on peut se poser la question sur le terme « bons joueurs » !

  3. Connaissant Jérémy Mano, il n’a rien fait de mal pour être sur le banc ( je parle donc au niveau extra-sportif, c’est pas le genre de joueur qui va foutre la merde dans un vestiaire), mais il fait partie de ces jeunes que Lausanne prend pour affaiblire les autres équipes, plûtot que dans le but de se renforcer… On le voit la politique est très payante…

    Allez Jéré courage, ton tour viendra…

  4. Enfin un bon article sur Cartonrouge, ça faisait longtemps ! Fini les gags à deux balles et l’ironie mal maitrisée de Baudry.
    Bravo, je redeviens fan de Cartonrouge.

  5. Salut !

    Certains points dans votre articles sont corrects ; d’autres me semblent nettement moins fondés :

    – Leeger n’a de loin pas été le plus mauvais sur la glace durant ce week-end. Je suis étonné que vous ne mentionnez pas le caractère offensif qu’ont eu bon nombre de nos défenseurs notamment en remontant le puck en zone offensive à de nombreuses reprises. Rôle qui était souvent dévolu auparavant à des Bonnet, Staudenmann ou Baumann.

    – Traiter Zeller de « Sprunger du pauvre » est un manque de respect envers le joueur. Il utilise intelligemment son physique et en plus, il prend ses marques au sein de l’effectif. Hier, il a fait mal à l’arrière Thurgovienne grâce à sa puissance et sa bonne vitesse de pointe. N’oubliez pas qu’il est tout juste âgé de 19 ans : grand potentiel en perspective. Par contre, il est certain que le rendement de Frunz et Suri est décevant. L’un est inexistant, l’autre réalise rarement les bon choix.

    – Comme beaucoup, vous minimisez l’impact des étrangers sur le rendement d’une équipe. Notre finlandais a repris son mode « fantôme ». Quant à Yake, malgré une bonne technique, il manque cruellement de présence physique. Largement insuffisant lorsqu’on sait qu’un bon étranger de LNB doit provoquer au moins quatre-cinq chances de but par match, soit un ratio de deux-trois points par partie avec une réussite normale. Sur ce week-end, le duo d’étranger s’est crée au maximum deux à trois occasions nettes. Et l’impact sur le jeu a été proche du néant. Les maux du LHC se situent principalement dans cette statistique et cela depuis le début de la saison.

    – Gelinas est-il l’homme de la situation ? Je crois qu’on ne peut pas répondre d’une manière totale : il est certain qu’il a des compétences, du charisme et qu’il communique volontiers. Commet-il des erreurs ? Certainement. Mais qui n’en fait pas ? Le licencier n’est pas la solution, ces dernières années en sont la preuve. Je crois que le LHC possède une bonne paire de gardiens, une bonne arrière-garde helvétique (enfin!) et une grande qualité et diversité en offensive. Mais il est impossible de viser le haut du classement sans étrangers avec le rendement susmentionné. Il faudra patienter jusqu’au retour de Tremblay et espérer que Yake puisse retrouver un physique digne de la LNB pour voir le visage définitif de cette équipe.

    – Il est bien de soulever une interrogation quant au cas « Mano », de l’évoquer dans l’article. Effectivement, sa mise à l’écart est étrange. Mais cela reste entre le joueur et l’entraineur avant toute chose. A Lausanne, le public et les médias aiment bien s’insérer dans les débats internes du club qui ne les concernent pas directement. Surtout lorsque le club est en manque de vitesse. Lorsqu’un joueur est mis à l’écart, c’est soit qu’il est en méforme, qu’il ne travaille pas assez aux yeux de l’entraineur, qu’il s’est rebellé ou alors qu’il n’y a pas de place pour son style de jeu dans l’effectif principal (comme Gailland à Genève par exemple).

    A bientôt,

  6. A propos de la judicieuse banderole…5.- le casque à l’envers = mettre les joueurs de mauvais poil.
    3000.- pour les cannes de la saison, le solde à la charge du joueur = dans ce cas, pas de tirs au but surtout pas des mines.
    Avec cette politique….comment attirer un joueur du calibre LNA, lui demander de venir avec ses cannes.
    A revoir, car pour l’ambiance et la motivation il y a mieux.

  7. Il est vrai que le Lhc ne semblait pas tout à fait dans son assiette vendredi à Neuch, mais il serait bien que les journalistes arrêtent de dire qu’à chaques fois que Y-S Gagne que c’est grâce à l’autre équipe qui a très mal joué!!! Si Lausanne a perdu vendredi c’est parceque YS les a empêchés de poser leurs jeux et a joué l’homme! Ce qu’ils n’ont pas fait malheureusement face au HCC. Comme il est tout de même dit dans l’article YS a mérité de gagner et Lausanne peu s’estimer heureux de ne pas en avoir encaissé plus !!!

  8. Franchement, mais pour qui vous prenez vous pour jugez des qualités individuels des joueurs, avez vous mis ne serais-ce qu’une fois des patins aux pieds, M. Nicolet! Il en est d’ailleurs de même pour d’autre de vos collègues qui suivent d’autres équipes romandes.Lamentable!!!!!
    Continuez de railler Le Bernard Tapie Valaisan, lui au moins il vous donne du grain à moudre 365 jours par an!!!Mais par pitié arretez de venir dans une patinoire!

  9. Bon à trés bon article, mème si ça fait mal de lire la réalité sans les prismes de la passion pour son club.
    Je pense de plus en plus que M. Gélinas n’a qu’une emprise limitée sur l’équipe lorsque ça ne marche pas comme il veut et que comme un capitaine de super tanker qui part à la dérive, il doit anticiper un changement de cap très à l’avance. Mais je ne crois pas qu’au hockey se soit vraiment possible à cause de la rapidité de changement de situation, ce qui donne cette impression de zigzager entre le meilleur et le pire.
    Concernant Mano, je trouve vraiment dommage pour rester poli, de ne pas le faire jouer à la place de Suri ou Frunz qui n’apportent pas grand chose si ce n’est de laisser Zeller un peu seul lorsqu’il perce la défense adverse. Un Mano vif et rapide pourrait apporter un plus à cette ligne en y joignant Chabloz qui a montré qu’il peut jouer à ce niveau.
    Faire jouer Suri, pour ce qu’il montre, ne le ferra pas repartir à Genève, ça c’est certain et ça n’améliore en tour cas pas le 4e bloc.

  10. Affaire Mano et montrer à Monsieur « casque à l’envers » serait tout simplement qu’il s’autodirige pour un match dans les tribunes et comme cela ON SAURAIT enfin où est le problème à ce LHC que l’on a plus alors plus envie d’aller voir.

    Signé Poubelle du vestiaire

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.


*


Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.