Désolé pour le jeu de mots foireux, on va mettre ça sur le compte du soleil… Voilà, c’était écrit dans le marbre, la Suisse n’a fait qu’une bouchée d’une valeureuse mais bien limitée équipe du Portugal. Comme on dit, les poilus se sont donné de la peine, ont en eu et ont en fait. Enfin, en double surtout où les deux joueurs étaient aussi à l’aise à la volée que Daniel Brélaz dans une auto-tamponneuse…
Écrit par le vrai-faux blog de Marc Rosset
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