Se contenter de rien…

Nous étions 7’900, dont un beau kop de Genevois, à venir assister à un pauvre 0-0 au terme d’un match triste et sans saveur. Les Lausannois ont atteint leur objectif, ne pas encaisser de but. Faut-il se contenter d’un nul ou d’être nul ?…

A l’immense surprise de ton serviteur (!), Martin Rueda n’a donc fait aucun changement dans sa composition d’équipe, l’entrée de Katz exceptée et le replacement de Page au profit de Muslin (on en reparlera plus tard). Convaincu qu’il est, sans doute, que la meilleure équipe est sur le terrain, que ses choix sont justes et qu’il ne peut rien faire de plus avec la bande de nuls que le comité, lui-seul et sans son accord, lui a mis entre les mains. Et bien entendu, dans cet après-midi crucial dont le score aurait pu augurer d’un avenir désastreux, il ne fallait prendre aucun risque : ne SURTOUT pas prendre un goal et jouer la pièce sur les deux occasions que l’on pourrait éventuellement se créer contre une équipe de Servette pourtant en panne de confiance et avec de nombreux blessés. Bien malade que le club de la Pontaise, et bien cons ceux qui en ont pris le chemin dimanche. Parce qu’en un mot comme en mille, ce match était à chier.

Un match de Roms…

Sur les bases saines posées dans les vestiaires et surtout incapable d’aligner trois passes de suite (le traumatisme est profond), le LS a donc logiquement laissé le jeu à son adversaire. Un jeu que Servette aura pris avec ses moyens du jour, soit difficilement et de manière peu convaincante. Un peu comme un vieux numéro de Roms devant la Poste. Quand la dame à genoux recroquevillée sur elle-même laisse le ballon à son cul-de-jatte de compagnon et que ce dernier se met à jongler. Le spectacle est misérable et il te peine définitivement de donner une pièce à ces imposteurs. Manque de bol dimanche, t’avais déjà payé l’entrée. D’un match de Ligue A, pour un spectacle de 1ère ligue…

Plus sérieusement, le résultat dimanche est logique. Un vieux 0 à 0 qui n’aura été animé que par quelques incartades genevoises peu signifiantes, mise à part l’énorme action de Servette à la 54ème minute où l’on se demande toujours si le ballon a franchi la ligne, et les deux contres lausannois animés par Moussilou, dont le dernier aurait pu permettre à son équipe d’arracher 3 points. Il aurait d’ailleurs surtout permis à ce dernier d’aller allumer toute la bande de Genevois, une nouvelle fois bien intentionnés et dignes, qui se sont illustrés avec deux banderoles à son encontre, dont l’inspiration et la réalisation ont donné autant de rêve qu’une chanson de Jordi en son temps.
De ce match, dont il a fallu nous contenter et qui aura manifestement contenté l’entraîneur lausannois, il y a quand même quelques points saillants à retirer.
Côté genevois, où Magic Pishyar conjugue le mot «fierté» comme un Marseillais le fait avec «putain», l’emprise toute relative de l’équipe sur le match aura sans doute fini de convaincre ses supporters qu’ils sont 100 fois meilleurs que Lausanne et qu’ils méritaient bien plus que Lausanne l’an dernier de monter en Super League. Tout en ne reniant pas le début de championnat, on tentera quand même de calmer l’ardeur de ces derniers. Les blessures diverses et le niveau de jeu proposé à la Pontaise témoignent si besoin est que ce collectif pourrait avoir trouvé ses limites et que le futur s’annonce peut-être un peu plus compliqué. 

Coltorti, le match référence…

Côté lausannois, Coltorti a fait deux arrêts et deux sorties aériennes. Ce qui est le service minimum pour un gardien, et ce depuis les juniors C. Mais cela constitue par contre une vraie performance pour le désormais leader du vestiaire lausannois, de la campagne des transferts, de l’expérience, des salaires et sans doute aussi de l’anémie de temps de jeu durant ses trois dernières années. Bref, Coltorti a, en plus de blanchir, réalisé un joli match qui devrait pousser les plus optimistes (et on en connait) à parler de «match référence». On y croit comme à une messe de campagne, mais on s’en contente, vu que ce terme est à la mode…

Comme en temps de crise, il ne sert à rien de tirer sur les ambulances sur lesquelles on a déjà tiré 20 fois, je t’épargnerai l’évaluation des acteurs et notamment de Marin qui au final ne doit simplement réaliser que ce qu’il peut. Dans ce collectif replié, l’entrée volontaire de Pasche aura toutefois contrasté avec celles, désastreuses, de Muslin et Kamber.  Deux nouvelles cependant qui ne manqueront pas d’intéresser les supporters : Marco Diesel Muslin, sous ses airs de guitariste bobo, est écolo tandis que Kamber adore le flipper. Muslin a traversé la partie comme on traverse une zone 30 en sixième pour ne pas griller d’essence : à son rythme, en spectateur… Quant à Kamber, Shaqiri à l’époque devait lui échanger ses bons de fitness contre des pièces pour le flipper du vestiaire. A le voir impuissant sur son côté, se faire écarter du bras (et parfois du doigt) par son cerbère, on se dit que ce n’est pas une, mais 100 séances qu’il a ratées lors de sa formation à Bâle et que le flipper n’a pas souvent dû tilter…
Bref, une prestation collective assez faible quoique rassurante, dont il a fallu se contenter, puisque dès la 65ème minute, Martin Rueda sans doute sous une trop forte pression (ou le soleil) avait déjà réalisé trois changements (!). Une prouesse qui ne lui a rien coûté, mais qui aurait pu être désastreuse en cas d’évolution peu favorable du match.
Plus intéressante par contre, pour l’entêté que je suis, la rocade orchestrée par l’entraîneur en début de match. Soit l’entrée de Katz dans l’axe derrière et le replacement de Page au milieu de terrain. Katz, entré sur le terrain avec les crocs et pour une fois à sa place, a au fil du match, et ce malgré quelques frayeurs (notamment une tête hasardeuse qui aurait pu coûter cher), démontré son sens de l’anticipation et sa volonté quand il s’agit de défendre, et ce même s’il faut s’y reprendre à plusieurs fois. Comme à son habitude, il est même allé jusqu’à poser sa tête sur coup-franc, portant ainsi le danger dans les 16 mètres genevois.
Pour le petit nostalgique que je suis également d’un passé pas si lointain, tout ceci a le petit goût sucré des bonnes choses que l’on a déjà goûtées, que l’on a appréciées et que l’on n’a surtout pas oubliées. Il témoigne aussi, et ce malgré la nouvelle mode qui consiste à dire que cette équipe n’a pas le niveau et qu’excepté les onze plus ou moins mêmes joueurs, les autres n’ont pas droit au chapitre, qu’il existe bel et bien sur le banc autre chose que des renégats. Peut-être même un petit supplément d’âme qui ferait tant de bien à l’équipe. Mais puisque l’entraîneur le veut, on se contentera d’un onze et d’une tactique dont on sait pertinemment et même avant le début du match qu’ils nous offriront les mêmes désillusions…

Bref, ce petit point contre Servette ne change rien ou presque. Il offre un peu de confiance aux Lausannois qui pourrait cependant bien vite être ébranlée à Sion dès dimanche prochain.
Au risque de me répéter, le Lausanne-Sport a le choix de continuer à s’apitoyer sur son sort, à pleurer ses renforts et ses joueurs, à oublier son jeu. Un choix facile qui dédouanera Martin Rueda et ses joueurs et mettra la faute sur un comité cible de toutes les attaques, même quand tout va bien. Ou alors, le choix de se donner de l’air et de l’ambition, de remettre la pression sur les joueurs, de recréer une forme de concurrence, de se battre la tête haute. A l’aube d’un calendrier qui laisse beaucoup de temps au travail, on espère ne pas devoir se contenter des mêmes schémas et des mêmes joueurs prochainement. Mais rien n’est acquis en ces temps de crise, bien au contraire…
Faut-il se contenter d’un nul ou d’être nul ?… Aux joueurs, à Martin Rueda et aux dirigeants d’y apporter une réponse. Leur attitude et leur unité en diront long sur leur degré de contentement…  A votre bon coeur m’sieurs dames !

BONUS : Rüfli, éternelle tête à claques

Pour bien comprendre Rüfli, il faut interroger les attaquants de 1ère ligue et de Challenge League de la région. Sur les 2 ou 3 à qui je me suis adressé, ils ont tous le même discours. Rüfli est un provocateur détestable à la gueule aussi grande que ses coups sont vicieux.
Bref, Rüfli, c’est le gars qui fait le gros dur durant nonante minutes entouré de ses potes sur un terrain. Mais c’est le gars ensuite qui, tout seul sur un parking, s’étale après deux coups et qui va pleurer vers son président et la justice. Je sais pas toi, mais moi, j’ai jamais vu un gars se monter la tête avec un autre, commencer à se battre et aller voir la police parce qu’il a perdu. Bien assez ridicule (et on laisse à la commission de discipline tout le soin de traiter ce cas), l’histoire a pris une autre dimension quand ce dernier via une campagne de communication sous-orchestrée s’est auto-déclaré ambassadeur de la cause noire à l’ONU auprès du championnat suisse de football, parce que sa copine est noire et que ses amis aussi. Si vous voulez notre avis, la Nafissatou Diallo du pauvre s’est un peu trop blanchie sur ce coup-là et pourrait s’en brûler un peu les doigts. Vincent Rüfli surtout va aujourd’hui lui aussi passé sous le crible de la commission de discipline, parce que son histoire n’est pas claire. On appelle ça un retour de bâton et on espère pour lui qu’il ne lui fera pas trop mal, au risque de risquer justement une nouvelle procédure en justice et des photos dans Le Matin.

Mais où l’histoire prend tout son sens, c’est que dimanche après le match, Vincent Rüfli a cru bon de se montrer entouré de ses amis devant la Pontaise, au-delà de l’enceinte de sécurité réservée au car des joueurs adverses. Non content de s’être fait huer tout le match, il a sans doute voulu montrer ici tout son courage et finir de convaincre ses détracteurs de son arrogance. Bref, l’ultime banderille d’un provocateur de cour d’école qui aurait mérité bien plus que le mépris affiché par les quelques supporters lausannois présents. Mais vous connaissez l’histoire, il serait ensuite allé au tribunal… Et contre le nouvel ami de Nelson Mandela, pas sûr que nous aurions gagné… Il n’y a qu’à Genève en effet que le public peut trousser les joueurs de l’équipe adverse sur le terrain et provoquer le public adverse jusque devant sa tribune, sans rien risquer et en toute légitimité…
Photos Pascal Muller, copyright www.mediasports.ch 

Lausanne-Sport – Servette FC 0-0

La Pontaise, 7’900 spectateurs.
Arbitres : Nikolaj Hänni, assisté de Beat Hidber et Johannes Vogel.
Lausanne : Coltorti ; Bah, Meoli, Katz, Sonnerat ; Lang, Marazzi, Page (66e Muslin), Marin (64e Kamber) ; Moussilou, Roux (54e Pasche).
Servette : Barroca ; Routis, Roderick, Diallo, Rüfli ; Moubandje (70e Eudis), Kouassi, Pizzinat (46e Pont), Nater ; Karanovic (78e M’Futi), Yartey.
Cartons jaunes : 25e Marin, 31e Rüfli, 37e Diallo, 58e Coltorti, 62e Lang, 76e Meoli, 77e Roderick, 93e Marazzi.
Notes : Avanzini et Negrao (blessés) absents à Lausanne. Vitkieviez (suspendu), Esteban, Baumann, De Azevedo et Schneider (tous blessés) absents à Servette.

Écrit par Vince McStein

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21 Commentaires

  1. Bon résumé de la part d’un lausannois…

    Par contre la dernière partie est plus qu’inutile (si le début me laissait entendre que tu allais aller un peu plus loin que le matin). C’est vrai que des mecs qui te provoquent sur des terrains de foot il n’y en pas ! Le méchant rufli aurait donc insulté le pauvre Moussilou tout le match (et la tu m’expliqueras comment le pauvre matt a pu se sentir si profondément insulté compte tenu du fait que les deux joueurs se sont croisés 5 minutes à tout casser durant le match). Bref, j’arrive tjs pas à comprendre comment on peut cautionner le fait qu’un joueur en cogne un autre après le match (d’ailleurs si je suis ton raisonnement les joueurs turcs auraient été provoqué par les suisses un certain soir de novembre 2005 et par conséquent on devrait les excuser d’avoir taper Grichting & Cie)…

    Et pour finir question bête : Si tu te fais cogner après un match (ou ton gamin), tu vas fermer ta g**** et ne pas porter plainte ?

    Autant j’étais content que le LS et servette monte, autant je commence en avoir marre de cette histoire qui aurait du être oubliée une fois sortit des vestiaires, malheureusement, un des protagonistes en a décidé autrement…

  2. Le style de Vince McStein m’amuse avec des clichés sympas. Son analyse coloriée est bonne. Par contre, ce qui m’intéresserait de savoir de Vince, qui tire depuis quelques articles à boulets rouges sur Rueda, en parlant du banc du LS et de la composition de l’équipe, c’est quels sont les joueurs qu’il mettrait lui dans son équipe du LS ? A part 13 à 15 joueurs, je ne vois que des fantômes ou comme sur les bords de route en France des pancarte sous forme humaine qui annoncent ci ou là des morts de la route.

  3. Rufli est connu depuis de nombreuses années pour être un allumeur et un vicelard. Ce qu’écrit Vince est juste et peut être facilement confirmé par de nombreux anciens adversaires de ce triste personnage. Juste une question, que faisait-il près du car des lausannois avant de prendre un coup sur le groin? Ce détail, personne n’en parle….

  4. @Romain

    à la Praille le car de l’équipe adverse se parque sur le même parking que les voitures des joueurs, du staff, président, etc…
    mais ce détail personne n’en parle…

  5. C’est bien de critiquer Rueda mais tu veux qu’il mette qui sur le terrain?

    Il fait avec les cartes pourries servies par son président. Ca fait depuis Noël dernier qu’il réclame un vieux taulier pour tenir le milieu et le vestiaire.

  6. ouaip, mac caillou, t’as rueda dans le nez, c’est ton affaire.. Les seuls bons qui sont sur le banc s’appellent pache (trop intermittent, hélas) et kheliffi (très bon technicien mais physiquement un peu léger)
    Le reste c’est de la tapisserie pour faire riche sur la photo d’équipe.
    Bon les deux lascars qui dirigent cette équipe se sont décidés enfin à la renforcer avec un attaquant et un milieu, histoire de laisser au repos Marazzi la mobylette et Marin, le derviche tourneur.
    Moussilou sera suspendu et on verra qu’il est le seul centre avant du monde qui a marqué deux (oui deux) depuis le mois de janvier..
    courage
    Rüffli est un con, c’est pas un scoop. Ce qui l’est, c’est qu’il est TRES con.

  7. Il provoque, allume sur le terrain et alors? C’est une raison pour lui coller une beigne après le match ? Et comme je l’ai dit, ils ont été proche moins de 5 minutes durant l’ensemble du match. Sérieusement RIEN ne justifie l’acte de Moussilou…

    Franchement il faudra bien un jour que certains arrêtent de jouer les vierges effarouchées… dans TOUS les sports d’équipes, il y a des joueurs qui allument. Ca fait partie du jeu… et normalement, entre personnes intelligentes à la fin du match on se serre la main et c’est finit… Mais Moussilou n’est pas aussi malin…

  8. @bambam.
    Ben si la provoque fait partie du jeu….c’est grave. Non, désolé, c’est pour cela que des joueurs plus que moyen arrive à passer. pas pour leur talent de footeux mais pour la gueulle. J’entraine des petits jr E et franchement les pro devrait donner l’exemple, jouer et pas calculer comment faire perdre leur moyen à des joueurs. Pour finir serrer la main à la fin du match comme si de rien était… trop facile.Cela dis le pain dans la gueulle non plus pas classe.

  9. Nouveau transfert de choc au LS, après Nicolas Marin, voici Priovic… Ya pas à dire, elle à de la gueule l’attaque vaudoise. On se réjouit de vous voir à Tourbillon dimanche.
    NB : si ca vous intéresse, il nous reste encore Adeschina, on peut vous le filer gratuit. :-)))

  10. Match nul. 2 points perdu pour Servette, 1 de gagné pour les loses.
    Quand au dernier paragraphe concernant Rufli, il est clair que c’est un provocateur, mais Moussilou c est une daube qui a un pépin à la place du cerveau.
    Bravo aux public grenats qui a mis de l ambiance.

  11. « Bref, Rüfli, c’est le gars qui fait le gros dur durant nonante minutes entouré de ses potes sur un terrain. Mais c’est le gars ensuite qui, tout seul sur un parking, s’étale après deux coups et qui va pleurer vers son président et la justice. »
    —–
    Un peu comme les joueurs lausannois la saison dernière, qui font des doigts aux supporters servettiens avant d’aller se cacher aux vestiaires quand ces derniers les rejoignent sur la pelouse?

  12. Cette affaire est un scandale. C’est deux ans d’interdictions de stades pour ce décérébré de Moussilou. La loi c’est la loi point.

    Jouer les gros durs a l’air d’être ton dada McStein, un conseil: arrête de te battre tous les week-ends dans les stades, car ce n’est pas deux coups de poing qui vont arrêter les provocations, par contre tu risques de prendre plus cher que les fameux provocateurs…

    Ah oui, je me demande bien comment il a fait le Moussilou pour arriver pro s’il est incapable de maîtriser ces pulsions animales dès qu’on le provoque.

    Et quel énorme courage de venir par derrière, une heure après la fin du match, sur le parking pour se venger bêtement de quelques petites insultes.

    Incroyable de pathétisme!

  13. mais c’est sûr les gars !!!!!
    mais oui, on peut insulter un mec toute une nuit, se prendre une gifle ensuite est un pur scandal, une honte…

    c’est bien connu, les joueurs s’insultent 90 minutes ! chaque fois qu’ils se croisent c’est « casse-toi negro », « va chier sale fils de pute », « enculé de ta race » et autres « petite bite »…

    et c’est évident que c’est tellement courant qu’il faut le cautionner jusqu’aux juniors F !!!! qu’il faut soutenir la pauvre petite tête pleine d’eau qui une fois dans sa carrière s’est pris deux claques dans un couloir ou sur un parking !

    mais qu’est-ce qu’il ne faut pas lire comme conneries dans ces commentaires… et plus c’est genevois, plus c’est con, parole de vaudois !!!! c’est quand même hallucinant de cautionner l’attitude d’un fouteur de merde patenté qui en plus de ne pas assumer va chialer chez son papa !!!!

    moussilou n’est pas arrivé par derrière, il a juste étalé une petite frappe qui se prend pour plus balèze qu’il ne l’est… comme une racaille sans couteau, ça ne vaut rien !!! tout dans la gueule et rien dans le sac !!!

    moussilou n’aurait pas dû faire ce qu’il a fait. ce n’est pas excusable et il paiera pour ses conneries que lui assume complètement, contrairement à d’autres… (suivez mon regard…)

    maintenant l’autre petit âne est tout aussi scandaleux, et si c’est vraiment un provocateur né, ben qu’il paie aussi !!! et si la commission de discipline ne veut pas étudier le cas plus en avant, ben que d’autres le frappent sur les parkings, c’est tout ce qu’il mérite, et ça lui apprendra à jouer au dur avec son physique de joueur d’échec, bâti comme une chips zweifel !!!

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