Tops1. Mario Gomez (Allemagne) +25 points
Souvent critiqué pour ne pas être présent lors des grands rendez-vous, il a démontré le contraire dans le match contre les losers hollandais.
A quelques jours de la manifestation, nous avons rencontré l’un des organisateurs de la manifestation, le directeur technique du LUC Unihockey Stéphane Billeter.Comment avez-vous eu l’idée et la motivation d’organiser un tel événement ?
L’idée est venue suite au cours Jeunesse
RésuméLes vingt premières minutes laissaient à penser que la partie n’allait être qu’une formalité pour des Allemands qui se créent plusieurs occasions nettes.
Comme à son habitude, la Squadra Azzurra joue à se faire peur, elle qui a pris la fâcheuse habitude de ne jamais remporter le deuxième match des grandes compétitions internationales depuis la Coupe du Monde nippo-coréenne de 2002.
Le résuméC’est avec un mélange d’impatience et d’appréhension que l’Europe du football attendait les retrouvailles entre Portugais et Néerlandais, presque 6 ans jour pour jour après la boucherie de Nuremberg.
Le résuméDès l’entame de match, les Polonais mirent la pression sur Cech. L’homme casqué parvenant, à chaque fois, à détourner le ballon hors des ses cages. Se succédèrent Blaszczykowski, Lewandoski, Obraniak, Boenisch et même Wasilewski.
Le résuméAprès 10 minutes où les Grecs tentèrent de nous faire croire qu’ils avaient envie de se sortir les pouces (fragile reprise de Katsouranis claquée par Malafeev), les ex-Soviets se mirent à déverser des salves permanentes sur le but de
Le résuméLa partie a débuté par un round d’observation d’une vingtaine de minutes. Les équipes, alors bien en place, se reniflaient le postérieur comme deux canidés.