Une compétition comme l’Euro offre l’opportunité de vivre un séjour un peu différent dans son pays organisateur. Un touriste-supporter est d’ailleurs souvent tout autant enthousiasmé par la perspective du « autour du match » que du match lui-même.
On a d’abord dû encaisser le coup. C’était dur. Le scénario est à peu près toujours le même et nous, on doit se contenter d’être des braves faiseurs de huitième. La Suisse, et Shaqiri en tête, a montré enfin un visage séduisant. Mais attendre la 80ème d’un match c’est trop
Déjà c’est le genre d’affiche qui vous font dire avant le début de l’Euro « bon ben au moins, ça me fera une pause où je ne regarderai pas un match ». Alors quand on ajoute qu’une des équipes est déjà éliminée, cela atteint son paroxysme du désintérêt. Mais que ne ferait-on
Entrée sur le terrain la peur au ventre (enfin surtout nous), la Suisse a fait ce qu’on attendait d’elle : gagner contre l’Albanie. Sans y mettre leurs tripes, les hommes de Petkovic ont failli en apprendre beaucoup sur la fine frontière entre gérer un match et jouer avec le feu. 1.
Après la déception de ne pas voir Kasami ou Abdi dans la présélection de Petkovic, on a fait un gros «ouf» de soulagement quand il a pris la décision de ne pas emmener Senderos.
Jetons tout d’abord un coup d’oeil furtif sur ces deux derniers matches (puisque c’est quand même de cela qu’il s’agit) : une victoire très large contre une des nations les plus faibles du monde grâce, notamment, à une cascade de penaltys
Ce soir Wayne Rooney est entré dans l’histoire du football anglais en marquant ce 50ème but qui fait de lui le meilleur buteur de la nation. Wayne Rooney avait marqué à 17 ans à l’Euro au Portugal.