L’esthète de la Coupe du Monde : + 3 crampons Après s’être reposé la moitié de la saison dans la faiblarde L1, James Rodriguez a réussi comme un grand à essuyer les longs sanglots d’hiver déversés par la Colombie entière
Que dire de cette rencontre relativement moins désespérante que d’habitude, si ce n’est que, pour la première fois depuis longtemps, les joueurs vaudois n’ont pas perdu. Pas grand monde à la Pontaise pour ce match de reprise qui a opposé
Igor AkinfeevLe football russe aura été décidément fort taquin avec Maître Capello. En lui remettant la dernière bouture des «Techniques de gardiennage pour les Nuls», elle aura contribué à précipiter la faillite de la Sbornaya au Brésil.
Les lecteurs attentifs et pas trop nuls en explication de texte auront compris que je hais les simulateurs et les bouchers, ces deux déchirures purulentes dans le tableau footballistique moderne.
1. Le résumé. D’entrée, Thiago Silva nous prouve par l’acte que sa présence contre l’Allemagne n’aurait rien changé, en commettant une faute débile largement à l’extérieur de la surface.
1. Le résumé du match.90 minutes de bâillements + 30 minutes d’ennui = 120 minutes de foot somnifère. Au moins, parfois, dans le sommeil, on trouve des rêves.
A l’époque, le sport était une trêve pendant la guerre… aujourd’hui c’est l’inverse. Quand je pense qu’il y a encore de gros naïfs qui espèrent le sport comme un spectacle vivifiant, qui titille la fibre identitaire, une grand-messe laïque où