Après avoir rapporté le nul du Tessin, le Lausanne-Sports de Fabio Celestini accueillait dimanche les parasites du Lichtenstein dans un match qui ne devait pas être facile à négocier.
Aller voir jouer son équipe contre Wintherthour, c’est toujours avoir l’assurance d’un match généralement plaisant contre un club qui ne pratique pas à outrance la tactique minimaliste du bunker si chère à Wohlen.
Le stade de Bienne reste dans le souvenir de nombreux Lausannois comme celui où ces derniers ont fêté la promotion dans l’élite du football suisse il n’y a pas si longtemps.
Se rendre à la Pontaise cette année, c’est un peu comme tester un restaurant conseillé par un pote : on a envie de passer une bonne soirée, mais la crainte d’être déçu subsiste.
Que dire de cette rencontre relativement moins désespérante que d’habitude, si ce n’est que, pour la première fois depuis longtemps, les joueurs vaudois n’ont pas perdu. Pas grand monde à la Pontaise pour ce match de reprise qui a opposé
1. Le résumé nul. Plutôt indigeste, le plat de cuisine japonaise servi hier par les Samouraïs face à la Grèce dans un match qui avait une importance capitale pour tenter de briguer la seconde place du classement.