La Suisse contre le reste du monde

Après le triomphe de Fabio Celestini au Pigeon d’Or de janvier, aura-t-on droit à un deuxième sacre consécutif d’une personnalité helvétique ? Il est fort probable tant la Suisse s’est ridiculisée sur le plan mondial dernièrement. Entre la prestation grotesque de Busacca au Camp Nou et le flop total de nos skieurs aux championnats du monde, la concurrence aura fort à faire dans cette élection. Ami lecteur, tu as jusqu’au dimanche 27 mars à minuit pour voter !

Massimo Busacca

En Afrique du Sud, Massimo Busacca s’était fait évincer prématurément du tournoi pour avoir expulsé le gardien sud-africain, une décision justifiée mais politiquement incorrecte contre le gentil pays organisateur. L’arbitre suisse a bien retenu la leçon, dorénavant il fait attention à siffler dans le sens du vent, pour les gentils que tout le monde veut voir en finale, par tous les moyens. Certes, les décisions incriminées ne sont pas si scandaleuses que cela : vu qu’il n’y a aucune ambiance au Camp Nou, Van Persie avait sans doute entendu le coup de sifflet, ce qui explique le peu de conviction dans sa frappe, et si le penalty est inexistant, c’est une erreur vite arrivée en arbitrant des joueurs qui s’effondrent au moindre contact. Ce qui dérange plus, c’est l’impression, dès le coup d’envoi, d’un arbitrage à sens unique, avec un grand et un petit, et deux poids-deux mesures, comme sur les exactions d’Abidal et Alves qui valaient des cartons jaunes foncés, bien davantage que ceux qui ont valu l’exclusion à Van Persie.
Après, qu’Arsenal n’ait rien tenté, que Wenger soit un loser patenté, que le Barça ait largement dominé et soit beaucoup plus offensif, n’a aucune pertinence. N’en déplaise à Guardiola, le rôle de l’arbitre n’est pas de faire gagner l’équipe la plus spectaculaire et la plus riche et, jusqu’à nouvel avis, Barça – Arsenal à la régulière, c’était 1-1 et des occasions blaugranas qui se comptaient sur les doigts d’une seule main. C’est d’autant plus déplaisant que ces faveurs arbitrales en faveur de Barecelone sont récurrentes, dans presque tous les matchs importants disputés sous l’ère Guardiola (à part la finale 2009 contre Manchester) : les scandales Chelsea ou Copenhague, l’expulsion sévère contre l’Inter ou le récent sketch contre Arsenal… Même le sempiternel clásico avec lequel on nous rabâche les oreilles aurait tourné différemment si l’arbitre avait fait son boulot en donnant le penalty et le carton rouge qui s’imposaient pour la faute de Piqué sur Ronaldo en début de match. Que même l’un des arbitres les plus expérimentés du monde, Massimo Busacca, tombe dans ce terrorisme intellectuel barcelonamaniaque (voir les commentaires qui vont suivre) ne laisse pas augurer le meilleur pour l’équité des prochains matchs. Surtout quand le président – espagnol – de la Commission de l’arbitrage de l’UEFA fait figurer sur sa page internet les victoires du Barça en Ligue des Champions (y compris celle de 2009 après le hold-up contre Chelsea) dans la liste de ses succès personnels !

Ashley Cole

Ashley Cole est un Pigeon aux multiples facettes, capable de faire des boulettes plus risibles les unes que les autres. Le joueur de Chelsea est notamment célèbre pour avoir planté son club formateur sur un coup de pute, insulté son pays sur un réseau social («I hate England and the fucking people !»), fini la nuit au poste de police après une vilaine cuite, roulé comme un sauvage sur des routes de campagne et, last but not least, trompé la sublime Cheryl Cole quelques mois après leur mariage. Réussir à cocufier l’une des plus belle WAG de la Perfide Albion avec la première pouf venue, ça situe vite le niveau du gaillard. Mais à la limite on s’en fout, c’est du domaine du privé et cela ne nous regarde pas, comme diraient les Inconnus.
Ce qui vaut aujourd’hui une pigeonnisation au latéral londonien est son dernier coup d’éclat à Stamford Bridge. Après un entraînement, le triple champion d’Angleterre a tiré par accident sur un jeune étudiant en stage au Chelsea FC, sans savoir que le calibre 22 à air comprimé qu’il avait ramené pour faire marrer les potes était chargé ! Venir à un entraînement avec un fusil chargé est déjà sacrement bête, réussir de surcroît à blesser quelqu’un relève de la connerie à l’état pur. Heureusement pour le Prix Nobel des Blues, la victime n’a finalement pas porté plainte et l’affaire s’est tassé. Nul doute que la promesse d’un chèque bien fourni a dû influencer ce jeune homme… L’argent peut décidément tout acheter, sauf une chose qu’Ashley Cole n’aura jamais : un cerveau capable d’une once de discernement.

Laurent Haymoz

«Fribourg-Gottéron va jouer les premiers rôles du championnat de LNA la saison prochaine». Ne riez pas, c’est très sérieux. Le refrain a peut-être déjà été utilisé, mais cette fois, c’est Laurent Haymoz qui le dit ! La banque cantonale étant le principal bailleur de fonds du club, il était normal qu’elle soit représentée au conseil d’administration. C’est finalement au poste de président que l’ancien directeur de la BCF a été placé. Tout semblait bien parti, sauf que le bougre prend des libertés, se permet de donner des interviews et signe carrément des contrats ! Quel toupet.
Non content d’en faire des tonnes, il s’incruste le Lolo. Déjà que «confier» le club à un Gruérien est un scandale en soi, voilà que celui-ci s’improvise chef de troupe. En grand décideur, il a voulu serrer les rangs et redonner du crédit au lieutenant Pelletier. «L’entraîneur fait l’unanimité» qu’il disait même. Sauf que quelques semaines plus tard, l’unanimité c’était pour… le virer. Haymoz se vante de suivre des beaux principes, mais on a eu vu des présidents plus fidèles à leurs idéaux.
Peu importe, le limogeage de Pelletier remontait la cote du patron de Saint-Léonard. Sauf que le président avait déjà conclu un nouveau contrat avec le précité, preuve de ses ressources insoupçonnées ! On peut y voir une crise d’Alzheimer précoce ou tout simplement une bêtise sans nom, chacun tranchera. Lorsque l’on peut se payer des pives à des centaines de milliers de francs et les mettre en tribune, il faut croire qu’on est plus à un salaire indécent près. Finalement, la gestion du club aura été à l’image du budget : grotesque. Si les prédications de Laurent Haymoz et sa capacité à faire le contraire de ce qu’il crie haut et fort sont du même acabit la saison prochaine, ça ne va pas être triste.

Urs Lehmann

C’est avec de hautes ambitions que Swiss-Ski et son président Urs Lehmann abordaient les Mondiaux de Garmisch et Oslo : six médailles en alpin, à peine moins en nordique, la Suisse allait démontrer qu’elle était bien une nation phare des sports d’hiver. Au final, seuls les vétérans Didier Cuche et Simon Ammann ont évité un double zéro pointé humiliant. Par contre, Swiss-Ski a fini largement en tête du tableau des excuses foireuses : les médailles en chocolat, les blessés, les virus, la météo, les dossards, le vent, le matériel, le fartage… Ce qui est tout de même assez piquant quand on se souvient les conditions dans lesquelles le président Urs Lehmann avait conquis le principal titre de gloire de sa carrière de skieur, le titre de champion du monde de descente à Morioka en 1993.
Si l’on veut bien admettre quelques circonstances atténuantes, les fiascos bavarois et norvégiens ont surtout mis en évidence la minceur de l’effectif suisse, qui contraste singulièrement avec la richesse du réservoir de l’éternel rival autrichien. Il suffit que l’une ou l’autre individualité soit absente ou défaillante et c’est tout le ski suisse qui est écarté de la course au podium. Et les choses ne donnent pas vraiment l’impression de changer, puisque chaque embellie est immanquablement suivie par d’importantes mutations dans le staff : les entraîneurs à succès Patrice Morisod, Berni Schödler, Hugues Ansermoz, Fredrik Aukland et Martin Rufener ont tous dû quitter Swiss-Ski pour des raisons plus ou moins nébuleuses. Bonjour la continuité ! Dans deux ans auront lieu les championnats du monde de Schladming (alpin) et Val di Fiemme (nordique), Cuche et Ammann ne seront peut-être plus là pour sauver les meubles, Urs Lehmann si. Combien de médailles on va viser ?

Benoît Mondou

Benoît Mondou n’est pas un joueur faisant partie de la catégorie des morues représenté notamment par les très respectables Holden et Wozniewski, loin de là. L’attaquant québécois de La Chaux-de-Fonds a pourtant commis un geste d’une rare stupidité à un moment particulièrement bien choisi. Irrité par une charge non sanctionnée à son encontre, le Topscorer du HCC a jugé très opportun de «slasher» le patin de M. Schmutz alors qu’il tentait de récupérer la rondelle. Le match ayant été retransmis à la télévision, le directoire viégois ne s’est pas privé pour expédier les images au juge unique Reto Steinmann. Ces dernières sont accablantes pour le numéro 16 des Abeilles. Mondou y va joyeusement alors que le puck n’était déjà plus à portée de canne lorsqu’il a commis son méfait. Benoît Mondou s’était du reste excusé auprès de l’arbitre, reconnaissant ainsi implicitement son erreur.
Au contraire des ligues régionales de football où le respect envers les directeurs de jeu a été définitivement rangé au placard, le hockey bénéficie d’un règlement très clair : on ne touche pas un arbitre sous peine de se voir sévèrement sanctionné. En récoltant dix matchs de suspension en première instance, Benoît Mondou s’en sort particulièrement bien. Cette décision a du reste été prise de manière parfaitement cohérente en regard des précédentes sanctions infligées pour des faits similaires. Alors oui, cette affaire est du pain béni pour ceux qui défendent bec et ongles l’existence d’un complot anti-romand fomenté par des taupes haut-valaisannes à la solde du juge unique. Même si le Québécois bénéficie d’un effet suspensif et pourrait voir sa suspension réduite voire annulée, son geste n’en demeure pas moins condamnable.

Mark van Bommel

Tu sais bien qu’à CartonRouge.ch, on n’a pas beaucoup de considération pour les Footix qui catégorisent un joueur qu’ils n’ont vu jouer qu’une seule fois (style de Jong, Boulahrouz ou Schumacher), dans la catégorie « brute épaisse » pour un seul geste malheureux. Le cas de Mark van Bommel est différent : si certains ont découvert son caractère plutôt agressif lors de la dernière Coupe du Monde, le bonhomme est un multirécidiviste en la matière. A la limite, on dira même qu’à l’exception de sa fin de match hystérique contre le Brésil, le Hollandais est resté plutôt soft en Coupe du Monde par rapport à ce que l’on a eu vu faire en club. Car s’il s’est construit l’un des plus beaux palmarès du foot européen (4x champion des Pays-Bas, 2x champion d’Allemagne, 1x champion d’Espagne et 1x champion d’Europe), Mark van Bommel s’est surtout distingué par une longue série de semelles, actes d’antijeu et autre tacles à la hauteur de la carotide.
Toujours à la limite, voire au-delà, de la régularité, le Hollandais se signale en outre par des récriminations incessantes envers les arbitres, profitant souvent du caractère protégé des clubs où il a évolué. A tel point qu’on a parfois l’impression que c’est lui qui prend les décisions en lieu et place de l’arbitre. S’il espérait se refaire une virginité en Italie et fuir cette sale réputation qui lui colle aux basques, eh bien c’est raté. Trente-trois minutes après ses débuts en Serie A avec le Milan AC à Catania, van Bommel recevait son premier avertissement pour un tacle assassin sur une cheville adverse. Et à la 54e, il sera exclu pour un deuxième carton consécutif à une faute d’antijeu. Vous avez dit incorrigible ? Pour ces débuts fracassants en Italie et pour l’ensemble de son œuvre, le Hollandais méritait bien une sélection.

Silvan Zurbriggen

Porter le même patronyme que le monument Pirmin peut se révéler handicapant lorsque l’on ne jouit pas de la moitié du quart de son talent. En dépit de certains coups d’éclat, Silvan Zurbriggen n’a jamais réussi à confirmer ni à faire preuve de stabilité. Ceci s’est à nouveau vérifié lors de la déconfiture de l’équipe suisse de ski aux derniers Mondiaux de Garmisch. Les responsables du piteux bilan obtenu en Allemagne se situent à tous les niveaux hiérarchiques, mais le Haut-Valaisan symbolise à lui seul ce titanesque naufrage.
Si les accessits ont été honorables, voire encourageants – pour rester dans les consternantes dénominations typiquement suisses –, Zurbriggen a été incapable de terminer la moindre course dans les disciplines technique. Risible dans le slalom où il a enfourché comme un bleu dès les premières portes, il a magistralement flingué son super-combiné, soit l’épreuve où il avait les plus de «chances» de récolter une breloque en métal. Aussi brillant dans la gestion de course que la syndicature lausannoise au niveau des finances de la ville olympique, le skieur univalent (ndlr : qui est bon dans une seule discipline, l’enfourchage en l’occurrence) a fait le même coup dans la partie technique. Ivica Kostelić avait pourtant eu l’élégance de se retirer pour laisser un boulevard au Valaisan, mais cela n’a pas suffi. Ce dernier a préféré foncer bille-en-tête dans le mur. Dans une attitude d’une insupportable suissitude, Silvan Zurbriggen a fait étalage de tout son désarroi et de sa faiblesse mentale en s’apitoyant sur son sort : «le ver est dans la pomme» a-t-il lancé. Du coup, le Briguois doit avoir de sérieux problèmes intestinaux…

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35 Commentaires

  1. Pourquoi ne pas utiliser les possibilités d’internet en mettant dans le texte un lien sur le site du maître espagnol de l’arbitrage se félicitant des victoires blaugranes ?

  2. Je vote Busacca sans hésitation !

    Cependant, je me permets de retranscrire la description de Bussacca telle qu’elle aurait dû être publiée.

    « En Afrique du Sud, Massimo Busacca s’était fait évincer prématurément du tournoi pour avoir expulsé le gardien sud-africain, une décision justifiée mais politiquement incorrecte contre le gentil pays organisateur. L’arbitre suisse a bien retenu la leçon, dorénavant il fait attention à siffler dans le sens du vent, pour les gentils que tout le monde veut voir en finale, par tous les moyens. Certes, les décisions incriminées ne sont pas si scandaleuses que cela : vu qu’il n’y a aucune ambiance au Camp Nou, Van Persie avait sans doute entendu le coup de sifflet, ce qui explique le peu de conviction dans sa frappe, et si le penalty est inexistant, c’est une erreur vite arrivée en arbitrant des joueurs qui s’effondrent au moindre contact. Ce qui dérange plus, c’est l’impression, dès le coup d’envoi, d’un arbitrage à sens unique, avec un grand et un petit, et deux poids-deux mesures, comme sur les exactions d’Abidal et Alves qui valaient des cartons jaunes foncés, bien davantage que ceux qui ont valu l’exclusion à Van Persie.

    N’en déplaise à Guardiola, le rôle de l’arbitre n’est pas de faire gagner l’équipe la plus spectaculaire. »

    Monsieur le Rédacteur en chef et co-auteur de cet article, comment justifiez-vous qu’un texte censé décrire l’incompétence d’un homme, en l’occurrence M. Bussacca, se transforme pour la moitié de son texte en une attaque envers le Barça et les Espagnols ?

    Pour une rédac’ qui plébiscite des commentaires fair-play, je vois que votre politique interne est bien différente.

    Un terroriste intellectuel barcelonamaniaque

  3. Quoi de plus grave que le geste d’ashley Cole?? A part ça la sélection n’est pas très « croustillante » ce mois-ci…

  4. Dommage que le passage censé critiquer Busacca se résume à un pamphlet anti-Barça! Ridicule…
    On sait depuis longtemps que certains à CR n’aiment pas l’Espagne et encore moins le Barça mais franchement, soyez un peu sérieux…
    Je regrette LA décision de Busacca mais elle reste 100% correcte du point de vue du règlement. Monsieur Webb a voulu faire ce que CR préconise ici lors de la finale de la dernière World Cup, à savoir interpréter le règlement, faire preuve de mansuétude, etc… On connaît le résultat.
    Quant aux allégations relatives aux succès achetés du Barça ils sont lamentables. Un pénalty oublié au match aller, un pénalty oublié au match retour. Vous avez entendu Guardiola se plaindre? Lorsque Chelsea il y a quelques années à éliminé le Barça en 1/2 (sauf erreur), il y a une faute claire de Carvalho sur Valdes lors du but. Vous avez vu un joueur ou un fonctionnaire du Barça se plaindre? Le même fair-play chez leurs adversaires – et accessoirement chez CR – serait grandement apprécié. Dont acte!
    Et pour revenir à nos moutons ou plutôt à notre pigeon, je le décerne à Urs Lehmann qui contrairement à Haymoz, n’a pas hérité d’un entraîneur qui devait déjà être licencié un an plus tôt par le précédent directoire et qui a réussi à déglinguer l’ensemble de Swiss-ski plus vite qu’il ne faut pour l’écrire…

  5. Ok ca se tranforme en un pamphlet anti-Barça comme disent certains mais comme alors expliquez-vous que les erreurs d’arbitrages profitent presque toujours aux mêmes !?

    Le foot est pourri jusqu’à l’os, ayez l’humilité (pour qui que vous soyez) de le reconnaître…

  6. @ DS : je te trouve bien sévère sur ce coup là. Le Barça s’en sort bien, d’une certaine manière, car l’exclusion est sévère. En même temps, l’ami VP est pas super futé : son expulsion sent la frustration à mort. Il aurait dû prendre un jaune sur son tacle sur Abidal (en même temps, l’arbitre ne peut pas mettre un jaune sur une action où il estime qu’il n’y a pas faute…), il en prend un sur sa baffe à Alvés, et sur l’histoire du sifflet, désolé mais je comprends pas trop : soit il tire avec conviction, et c’est une énorme quiche surévaluée, qui plus est pas franchement déçue de son échec (regarde la tronche de Messi quand il vendange des trucs comme ça et regarde celle de VP), soit il a effectivement shooté de dépit d’être pris hors jeu et que décidément, rien ne fonctionne ce soir, et son jaune est sévère mais justifié…

    Quant au pénalty, je vois pas trop en quoi il est imaginaire, et avec un peu plus de vice, Afellay (par exemple) aurait pu s’effondrer pour en obtenir un ou deux de plus. Bref, sur ce match, je vois pas trop… Quant à Arsenal, ils ont battu le record de France – Roumanie en marquant 1 but sans tirer (la Roumanie avait tiré une fois, mais sans cadrer). Dans ces conditions, il faut voir le csc comme un fait de jeu, et l’expulsion aussi.

    Après, sur le Barça et l’arbitrage, tout le monde reconnait leur réussite sur le match retour contre Chelsea en 2009 avec 2 mains de Piqué (qui peuvent se siffler, mais aussi ne pas se siffler). Ceci dit, qqn se rappelle de Ballack ? Moi, je pense que la fameuse psychologie demandée à l’arbitre a joué, parce qu’en conditions normales, c’est un rouge vif et 3 matches de suspension derrière. Et puis qqn avait vu le match aller ? Parce que Chelsea s’en sort franchement bien sur ce match, en termes de score comme de cartons.

    En 2010, qqn se rappelle du match aller à l’Inter ? Un but hors jeu, un pénalty non sifflé sur Alvés (qui prend un jaune pour simulation), et au retour le deuxième but de Bojan annulé pour main (alors que d’après moi, il n’y a rien, mais il n’y a pas de scandale non plus s’il siffle)…

    Bon, dans l’ensemble, c’est comme ça et je rajouterai même que c’est aussi pour ça qu’on regarde le foot. En tant que Français, je trouve que le meilleur match de ma vie, c’est le France-Allemagne de 82 (ça m’a permis de mieux apprécier France-Portugal 84). Et en tant que supporter du Barça, c’est ce match incroyable contre Chelsea en 2005 (en 8èmes), tout simplement génial mais hyper frustrant. Et je confirme que sur le but qualifiant Chelsea, il y a une faute incroyable sur Valdés que M. Messina ne voit pas. Bah, tant pis…

    Bref, faut peut-être arrêter de parler de ça et un peu plus se concentrer sur le but de Messi, qui devrait logiquement passer à la postérité, non ?

  7. Barça était nettement meilleur et a mérité sa victoire et même sans l’expulsion de van Persie il aurait gagné.
    Par contre l’arbitrage de Busacca a été lamentable . On dit toujours qu’un bon arbitre ne se fait pas remarquer. Busacca c’est le contraire ,que ce soit dans le championnat suisse ou en coupe d’Europe il trouve toujours un moment du match où il fait sa vedette.
    Après son doigt d’honneur à l’égard des supporters de YB et sa partialité dans certaines rencontres, ce monsieur devrait être remis à sa place et rétrogradé dans des ligues inférieures. Mais là alors bonjour les dégâts…
    .

  8. si il n’y avait pas eu le match Barca-Arsenal,
    Busacca ne serait pas là. Franchement, comme écrit Arsenal = serial looser, jeu de merde, pas d’anglais, et oubli : équipe la plus agressive du championnat anglais, belle dernière au fair play,
    si ils dégagent, c’est pas plus mal.
    et puis faut vraiment être de mauvaise fois ou pro Arsenal pour prétendre que son arbitrage était au
    si mauvais, pour le reste des pigeons, ptite cuvée

  9. Mais vous racontez juste n’importe quoi !!
    C est impressionnant ! Parler du résultat du classico??
    je lis tous les jours As marca elmundodeportivo et sport.
    Jamais ils n’ont parlé d’un penalty évident et encore moins d’un rouge!! Mais surtout quant tu prend un telle rouste tu la ferme!
    Ensuite il y a une logique que il me semble Del Boque avait explique quant tu as pendant 80% du temps le ballon et bien les autre feront plus des fautes pour essayer de le récupérer !
    Dites pourquoi vous parler jamais du nom du temps supplémentaire en Premier league ? Le fergusson Time !! Nom trouvé par ce persécuté de Wenger qui soit dit en passant n’a jamais rien gagne en Europe et c est chaque fois a cause de l’arbitre….

  10. Messieurs Mouquin et Reymond, a-t-on vu le même match ?
    Dire que Bussaca n’a pas fait preuve d’une prestation de grande qualité, je suis d’accord, mais d’affirmer que Bussaca a tout sifflé en faveur du Barça c’est faux et archi-faux !

    Pourquoi avez-vous pris cette infecte habitude de cracher constamment sur chaque succès de l’Espagne ou du Barça ?

    Soyez un peu objectifs svp, pourquoi ne parlez-vous pas du penalty flagrant injustement oublié sur Messi…ou du but valable de Messi à Londres qui fut incompréhensiblement annulé.
    C’est bien là la preuve tangible que vous cultivez sans-cesse votre discours anti-Barça, et celui-ci est autant désagréable que lassant !

    Voici l’article « objectif » que vous auriez pu écrire :
    Le Barça a fait un bon match et a largement mérité sa qualification, Messi a marqué un but somptueux. Iniesta a effectué plusieurs actions de grande classe et notamment sur les 2 premiers buts. Le Barça a nettement dominé tout le match avec une possession de balle à 70% et en frappant 19 fois au but ! Arsenal n’a fait que de se défendre et a égalisé sans tirer une seule fois au but ! Sans plusieurs prouesses du gardien Almunia, le Barça aurait pu gagner ce match par 5 ou 6 buts d’écart, tant la supériorité du Barça fut écrasante…et ce même à 11 contre 11.
    Le Barça a été fidèle à lui-même : dominateur, offensif et spectaculaire, c’est la seule équipe au monde qui parvient à gagner très souvent en pratiquant un superbe football. Et en tant que fan de foot, on ne peut que apprécier de voir jouer cette fabuleuse équipe.

    Alors Messieurs Raymond et Mouquin, le jour où vous parviendrez à vous remettre en question et que vous évacuerez votre haine puérile envers tout ce qui vient d’Espagne, vous parviendrez (peut-être) à être cohérents et crédibles auprès de ceux qui vous lisent.

    ABE

  11. Le paragraphe sur le FCB (Buccalona selon cet article) m’a fait fortement sourire… Et ceci pour deux deux raisons:
    La première est, comme cité précédemment, le plaidoyer anti Busacca tournant après deux phrases en un plaidoyer anti Barça… Quelle sorte de football préférez-vous voir? Le milieu de terrain de l’AS Milan et son équipe de casseur de jambes ou alors des types techniques et footbalistiquement intellectuels qui commettent en une saison autant de faute que Gattuso sur une mi-temps? Si vous tapez deux nous n’avons pas la même conception du foot et il ne m’est plus nécessaire d’argumenter..
    La deuxième raison de mon sourire en coin vient du fait que vous occulter de votre article pour moi le principal fautif de cette « erreur » ‘arbitrage, à savoir la FIFA et l’UEFA (oui je mets tous les crabes dans le même panier), leur règlement semi applicable et surtout leur application à la va comme je te pousse. En effet ces mêmes instances dirigeantes sont passées maître dans la matière d’édicter des règles… de faire JURER à tous que « si on fait pas comme il faut il y aura une petite carte jaune », pour finalement se dégonfler quelques mois après. Je cite l’exemple de « après une faute que j’ai commise je ne dois pas toucher le ballon afin de gagner du temps pour mon replacement sous peine de recevoir un joli carton pom pom pom » La règle a tenu quoi? Quelques mois? Et maintenant elle n’est appliquée qu’une fois sur 10.. et encore… Pour la règle du « je dois pas shooter après le coup de sifflet même combat »… Les règles sont là mais il ne faut pas trop les utiliser, ça pourrait froisser… Avec une telle ligne de conduite voilà selon moi le coupable du match… et non pas d’obscures forces barcelonaises que certains aimeraient croire bien réelles…

  12. Busacca est une erreur de casting… Robin Van Persie mérite largement plus sa nomination.

    Bien sûr, je suis fan du Barça (depuis très longtemps). J’ai regardé le match avec des inconditionnels d’Arsenal et on était tous d’accord :

    – Barça était très supérieur, mais Van Persie a pourri le match
    – L’arbitre n’a pas été mauvais
    – L’expulsion est juste, le pénalty indiscutable
    – Van Persie est le roi, que dis-je, l’empereur des imbéciles. Il est responsable de son expulsion à 200 % (à moins qu’il ne soit pas tout à fait au point avec les règles du foot?)

    Le type est en plus coutumier de ce genre de cartes, si je me souviens bien, il a déjà pris exactement la même en coupe du monde (en finale je crois, qqn peut-il le confirmer?)

    Un gagne-petit qui transpire la frustration. Un avant-centre dans une équipe de 10 défenseurs, aussi utile que le H de Hawaii

    Et que dire des réactions de Wenger, Nasri et Van Persie?

    Entre Van Persie (mon expulsion est une blague) et Wenger (l’UEFA devrait s’excuser), il y avait au moins deux pigeonnisables en puissance du côté des Gunners.

    Seulement ici c’est anti-Barça. Et comme aucun blaugrana n’était pigeonnisable, on se rabat sur l’arbitre… CR se met au même niveau que tonton Arsène sur le coup… navrant.

  13. La seule et unique vérité c’est qu’avec ou sans les erreurs de Bussaca, le Barça a largement mérité sa qualification.

    N’importe quel mec qui aime le foot souhaitait que le Barça gagne et qu’Arsenal se fasse sortir. Sauf bien sûr en ce qui concerne le frustré Julien Mouquin, qui crache son venin après chaque succès espagnol.

    Le Barça a très nettement dominé 75 minutes à Londres, et aussi lors des 90 minutes du match retour.

    Lors des 2 matchs, le Barça s’est créé : 13 occasions réelles de buts…contre seulement 3 pour Arsenal.

    Et malgré tout ça, CR ose encore dire que c’est Bussaca qui est responsable de l’élimination d’Arsenal ???

    C’est vraiment le sumum de la mauvaise-foi, ou alors c’est de l’incompétence caractérisée. En ce qui concerne Julien Mouquin c’est les deux à la fois !

    CR : anti-espagnolisme quand tu nous tient…

  14. @Carton Rouge

    Vous élaborez un article pour parler de la médiocrité de Bussaca et vous transformez ça en article anti-Barça !

    Que vous n’aimiez pas le Barça c’est votre droit le plus légitime. Mais que vous déformiez la réalité dans le but de faire passer pour des bouffons ces merveilleux joueurs et cette superbe équipe qui pratique le plus beau football de la planète, c’est vraiment petit !

    CR, vous voulez nous faire croire que sans l’expulsion de Van Persie, Arsenal se serait probablement qualifié ? C’est comme d’essayer de nous convaincre qu’ Anne Roumanoff est plus sexy que Jennifer Lopez !!!

    Mais bon, il y en a qui préfèrent regarder jouer les Messi, Iniesta et Xavi…et d’autres (comme Julien Mouquin) qui préfèrent les Van Bommel, De Jong et Gattuso, chacun ses goûts.

    Les journalistes de CR devraient créer un club : « l’amicale des anti-Barça »

  15. Cet article anti-Barça est stratégique !

    En effet, je soupçonne fortement Carton Rouge de vouloir « booster » le nombre des commentaires sur son site.
    Etant donné que lorsque Mouquin rédige ses nombreux articles inintéressants sur son Dortmund, il n’y a presque aucune réaction tellement tout le monde s’en fout de la Bundesliga.

    En revanche, lorsque ce même Mouquin et sa légendaire mauvaise-foi, dénigre le Barça, il sait pertinemment qu’il va y avoir immédiatement une vague de commentaires hostiles en retour.

    C’est tout simplement de la stratégie, car en alimentant la polémique, on va ainsi parler un peu plus de CR sous les chaumières romandes.

  16. Ca devient lassant ce côté, « à contre courant » que veut se donner parfois ce site.

    Oui on peut critiquer Bussacca (même si j’ai plutôt tendance à être d’accord avec Guardiola) mais là c’est vraiment de l’archarnement.

    Pourquoi ne pas simplement reconnaitre que le Barça joue bien au foot, mieux que les autres équipes, et arrêter les piques incessantes sur les équipes qui gagnent ?

    Pourquoi Wenger et ses incessantes plaintes, toutes plus ridicules les unes que les autres, ne figure-t-il pas dans ce classement ?

    Pourquoi toujours s’en prendre au même ? Ca peut plaire à certaines personnes, mais à force les lecteurs vont se lasser.
    Ce qui me fait rire c’est qu’en lisant les vieux article de CR, Julien Mouquin lui même, qui déteste tant le Barça actuellement maintenant, n’avait absolument rien contre cette équipe, avant qu’elle devienne celle qu’on connait maintenant ? Alors pourquoi cette volonté de les déscendre, maintenant qu’ils sont devenus bons ?

  17. carton rouge sert à dégommer les mythes ! merci à messieurs reymond et mouqin de taper là où ça fait mal !!!!
    n’en déplaise à quelques histerico-hyspaniques, « chantres du beau jeu, du dopage et des magouilles institutionnalisées et des théories de merde… »
    Au palmarès des plus fiers, des plus chiants, des plus insupportables, vous avez aisément remplacer nos amis français…

    si vous ne supportez pas quelques vérités qualifiées et argumentées, passez votre chemin… allez lire le marca et l’as, et continuez de vous astiquer le manche dans votre caisson de pensée unique…

  18. « Même le sempiternel clásico avec lequel on nous rabâche les oreilles aurait tourné différemment si l’arbitre avait fait son boulot en donnant le penalty et le carton rouge qui s’imposaient pour la faute de Piqué sur Ronaldo en début de match »

    Désolé pour le double post, mais lire ça, alors que strictement aucun madrilène, aucune presse, aucun observateur n’a vu un pénalty, c’est juste un pathétique archarnement.

    C’est dommage d’ailleurs parce que les articles sur la Bundesliga sont très intéressant à lire.

    Je ne vais vous demander d’être objectif, mais essayez au moins de ne pas être ridicules quand vous écrivez sur le Barça.

  19. A tous les détracteurs de Busacca : vous êtes ridicule à croire que vous ne connaissez rien au football. Vous allez quand même pas reprocher à Busacca d’appliquer le règlement, c’est pas de sa faute s’il (le règlement) est ridicule. Continuer à jouer après le coup de sifflet de l’arbitre, c’est une biscotte point-barre. Pas entendu ? Trop facile, on peut la faire à chaque fois celle-là. L’arbitre siffle, V. Persie contrôle, V. Persie shoote, V. Persie prend son 2e carton, V. Persie est expulsé.
    Pour le péno, c’est le défenseur d’Arsenal qui est un immense mongole de faire une faute pareille (car oui, il laisse traîner le pied) alors que le ballon va sortir et que le Catalan aussi rapide qu’il soit ne récupérera pas le ballon. Donc où est l’erreur d’arbitrage. Après, surêment que dans le reste du jeux, Busacca a peut-être favorisé le Barça, mais c’est comme dans chaque match, une équipe sera toujours plus favorisée par des décisions arbitrales qu’une autre.

  20. Je vote L.Haymoz ce Gottéron à décu tout ces fans avec l’ancien président Daniel Baudin tout ce cirque ne serait pas arrivé….. M.Haymoz il faut apprendre et vite

  21. Entre Busacca et Haymoz, mon coeur balance.

    Busacca est une énorme pive et son « titre » de meilleur arbitre au monde m’a toujours fait hurler de rire.

    Mais mon vote ira à L. Haymoz. Ou plutôt, il va à l’équipe entière qui a merdé une saison qui aurait du être beaucoup plus tranquille. Mê comme vous n’avez pas jugé bon de nominer Gottéron, c’est son président qui en prendra pour son grade.

  22. Pouvez rajouter comme suprême pigeons, prétentieux, arrogants et insultants, les joueurs de l’équipe de France de rugby, trop drôles et trop ridicules face à l’Italie.

  23. Wenger n’est pas si différent des footix

    Il se répète même moins que vous je trouve, mais il est casse-couille quand même..

    Allez, bientôt vous aurez déclassé des décénnies d’auto-gloriole journaleusement française. Le mot « branleur » en espagnol on dit comment déjà ? (oui c’est encore pour toi, Alain De Loin…à moins que tu ne sois Bond,…Jean-Bond…dans les 2 cas tu n’as que Fredina, ta manina…)

    Bien fait pour RvP. Sanctionner ce geste à fait qu’on a pas jouer le montre sur tous les coups, je ne sais pas si c’était la tactique de Wenger…serial looser n’est qu’le prénom. A mon avis sa tactique c’était plutôt : « on sait jamais, sur un malentendu ca peut marcher »

  24. Gottéron est devenu un club de pleurnichards pleins aux as. Mais aucun club, pas même celui-là, ne mérite d’être « dirigé » par une pareille nullité. Question bêtise prétentieuse et incompétence, Haymoz est hors concours. Allez, qu’on vote pour lui et qu’on n’en parle plus.

  25. Busacca commence à me les briser avec son application à la lettre de règlement.

    Moins d’une seconde entre le coup de sifflet et le tir aux fraises de RVP! Je pense qu’il l’a entendu, mais l’arbitre doit lui laisser le bénéfice du doute ä ce moment là du match.

    Il y a eu 2 ou 3 tirs du Barça, hors-jeu, après le coup de sifflet de l’arbitre sur ce match.

    Elle est où la limite de l’application du règlement pour Busacca? 0.75 sec?

  26. Barça…plus beau jeu…
    Barça…incroyable jouerie…
    Barça et ci &Ca….

    Ok, je veux bien, et je m’en tape un peu.

    Par contre qu’on me dise pas qu’ils sont plus fair play ou quoi que ce soit…Putain, l’aggressivité sur l’arbitre en première mi temps était juste digne de l’équipe du FCB sous acide! A chaques fautes six excités, les veines frontales gonflées, venaient s’en prendre à l’arbitre. Pitoyable.

  27. Je suis Suisse et cette vague anti Barca m exaspere. Vous auriez prefere que ce soit ce Arsenal ultra defensif qui n a pas tire une seule fois au but qui se qualifie au detriment de ce Barca qui joue tellement bien?N aimez vous donc pas le foot technique, offensif et spectaculaire? En Suisse on n aime pas les equipes qui gagnent, on n a pas la culture de la victoire, on est et restons des petits, les vainqueurs nous derangent. Meme notre Rodger national est bien plus apprecie a l etranger que chez nous. C est un constat desolante mais c est helas la triste realite.

  28. Malheureusement, je suis bien obligé d’avouer que je suis totalement d’accord avec Dan.

    Nous autres les petits suisses, nous manquons d’ambition et nous sous-estimons sans-cesse. Vulgairement dit : on n’a pas de couilles !

    En 2008, on s’est servi de la pitoyable excuse : on est un petit pays, ceci pour justifier notre élimination au 1er tour lors de notre Euro. Et le Danemark il l’a bien gagné l’ Euro…et la Grèce aussi non ?

    En 2010, on est de nouveau éliminé au 1er tour, et on se resert de cette minable excuse de petit pays…alors que c’est le Honduras qui nous a éliminé ! Ensuite, l’Uruguay (3 millions d’habitants) parvient en 1/2 finale et l’Hollande parvient en Finale.

    Danemark, Grèce, Uruguay et Hollande, voici des petits pays qui ont la culture de la victoire et qui sont totalement décomplexés vis-à-vis des grandes nations de foot.

    Nous en revanche, on est très complexés, on se contente de faire de la figuration, la défaite sportive fait hélas, partie de notre quotidien.
    C’est probablement pour cette raison que plusieurs suisses n’apprécient pas le Barça, car ils gagnent toujours en jouant bien, ils incarnent la « winner attitude »…et nous (les petits suisses losers) on les trouve arrogants. C’est dommage…

  29. bonne chance à nos amis suisses contre le reste du monde(entendez l’europe) dans toutes les disciplines sportives que dis-je dans tous le domaines. nos amis suisses qui ont pris la seule décision qui vaille ;oui celle de ne pas intégrer l’union européenne et celle de ne pas sacrifier un franc suisse souverain que j’aimerai voire un jour à l’effigie de roger federer.

  30. La culture du clic… J’étais sûr qu’en repassant sur ce site, avec l’actualité du moment (contador, le barca…), ça allait dégainer. pas manqué.

    Ma pensée a été résumé par tout les autres, concernant Bussaca : RvP et Wenger sont des crétins (pas nasri, il est beau), et en 3 lignes on voit ressortir ce magnifique complot Barca-UEFA-Espagne…Donc, soit les auteurs sont des rageux vraiment hardcore soutenus par la direction du site, soit ils écrivent ça pour générer du clic. Je penche pour la 2eme solution.

    Au passage, sur notre canal+, notre christophe josse a eu exactement la même réaction que vous : scandalisé. Mais bon, nous c’est pas parce qu’on aime pas l’espagne, c’est qu’il y a un puissant lobby pro-arsenal chez nos soi-disants experts.

  31. Haymoz sans hésiter! Et dire que j’ai vraiment cru qu’avec lui on aurait un homme à poigne et avec une parole à la tête de Gottéron…Tout le contraire au final.
    P.s. Haymoz n’a jamais été directeur de la BCF…

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