Elle est pas un peu belle notre Nati et tout le bonheur qu’elle nous amène ? Alors, Rickli et compagnie, si vous ne vibrez pas devant cette équipe, vous n’êtes pas non plus monstrement obligés de regarder. Profitez d’un bon match de hornus et foutez la paix à nos joueurs, qui comme vous, ont un joli passeport rouge à croix blanche.
Le changement c’est mainantLe premier changement épatant au sein du club (hélas, pas de nouvelle patinoire pour ceux qui salivaient déjà !) réside dans une volontariste politique de communication définie par l’habile directoire de la Perestroïka martigneraine (Andrei Nazikhin et Vincent
On a adoré Ces Jeux de Londres tout simplement : de l’égérie Jessica Ennis en passant par l’imprononçable haltérophile Salimikordasiabi pour finir par les loufoques gamelles en BMX ; la glorieuse incertitude du sport a régné sur les plaines de Buckingham.
On a adoréLe spectacle d’ouverture typiquement «made in England» de Danny Boyle : une succession d’épisodes industrio-sportifs et musicaux à la sauce Mr Bean, avec un soupçon de cascades royales, secouées mais pas remuées.
Le résuméPour clairement marquer qui allait tenir les cordons de la bourse, la Mannschaft part tohu-bohu dans ce match en se créant deux occasions dans les trois premières minutes.
Le résuméAprès 10 minutes où les Grecs tentèrent de nous faire croire qu’ils avaient envie de se sortir les pouces (fragile reprise de Katsouranis claquée par Malafeev), les ex-Soviets se mirent à déverser des salves permanentes sur le but de
Le résuméTels les Tillmann du riche, les Danois prirent au sérieux les tabelles qui montraient que les Portugais avaient perdu leurs trois derniers matchs à un Euro et partirent dès la deuxième minute à l’abordage du Rui Patricio grâce à
Pourquoi la Grèce ?Ben tout simplement parce que la Grèce n’a plus beaucoup d’amis depuis que Tata Angela a décidé de les serrer par le collet pour leur faire régurgiter moussaka et souvlakis, voire quelques Drachmes si entente.
Supériorité numériqueL’idée de fusion entre les deux clubs à nonante-sept pourcents francophones (les brise-cailloux de Varen étant exclus) ne date pas d’aujourd’hui.