C’est dommage. Dommage car on fondait de légitimes espoirs dans ce duel des frères ennemis qui pouvait offrir une occasion unique aux Autrichiens de se qualifier.
Le réveil est un peu matinal en ce samedi matin mais c’est toujours avec plaisir que l’on sort du lit pour aller voir du foot, même pour aller prendre un train à 7h20 au lendemain d’un magnifique France – Pays-Bas.
Souvent placée mais – quasiment – jamais gagnante, l’Espagne est-elle cette année sur les rails de son deuxième titre majeur sur l’échiquier international, Jeux olympiques de 1992 exceptés ?
Énorme tristesse bien sûr pour ceux qui nourrissaient des espoirs fous quant à ce que cette équipe allait présenter comme visage, après l’entrée en scène de mercredi contre la Suède.Non pas que la Grèce ait à nouveau joué contre les
Regroupés en 4-5-1, avec les titularisations de Sidney Govou (né au Puy-en-Velay), de Patrice Evra (né à Dakar) et de Thierry Henry (né aux Ulis), les Français attendent et se font prendre sur la seconde incursion néerlandaise.