Un derby, ça se gagne ou se perd avec le cœur. Et même si l’on était loin des ambiances chaudes de Manchester, Rome ou Milan, c’est bien l’équipe qui voulait le plus la victoire qui l’a emportée.
Un derby, ça se gagne ou se perd avec le cœur. Et même si l’on était loin des ambiances chaudes de Manchester, Rome ou Milan, c’est bien l’équipe qui voulait le plus la victoire qui l’a emportée.
Depuis l’arrivée de Max Biaggi, il est évident que ce championnat a gagné en popularité, mais également en crédibilité, car le moins que l’on puisse dire, c’est que Mad Max survole moins que les experts le prédisaient et que lui
La troupe de Ralph Krueger n’a touché que quatre fois la cible en autant de matches. Il manque un renard de slot à cette équipe et également quelques rabatteurs de pucks pour pouvoir giboyer quelques réussites.
C’est à David Aebischer qu’est revenu le fruit empoisonné de garder le potager helvétique. Loin d’être un épouvantail, le gardien fribourgeois n’a pas pu empêcher les oiseaux de proie suédois de picorer six fois dans sa cage.