Le FC Sion en quinze questions

D’après le discours officiel, le FC Sion part pour une saison de transition avec une identité locale renforcée, une confiance accordée aux jeunes, une stabilité retrouvée, des joueurs motivés, un entraîneur à l’abri de toute menace et un président patient. Joli programme ! Pourtant, on peine à y croire, va savoir pourquoi…

Quels objectifs ?

Il y a douze mois, à la même époque, Christian Constantin clamait ouvertement viser le titre pour faire un gigantesque pied de nez à la FIFA, à l’UEFA, à l’ASF et au monde entier qui avaient eu l’outrecuidance de lui rappeler qu’il n’était pas au-dessus des lois. Grâce à l’appui d’un champion du monde, d’un Ballon d’Or africain et d’un nouveau Drogba, cela ne devait être qu’une formalité. On connaît la suite. Le ton a bien changé. D’après le discours officiel, Sion partirait pour une année de transition en lançant des jeunes et sans se mettre trop de pression quant au classement avec un entraîneur qui pourrait travailler en toute quiétude sans se préoccuper des résultats. Voilà pour la théorie. Dans les faits, Sion conserve un budget qui  parmi les quatre plus conséquents du pays et un contingent pléthorique, bardé de mercenaires. On doute que cet effectif-là serve uniquement à assurer une huitième place, on serait d’ailleurs curieux de voir la réaction du Totomat si le FC Sion est déjà décramponné des places européennes après dix journées. Bref, derrière une humilité de façade, il y a sans doute une volonté de renouer avec la Coupe d’Europe et une place dans les quatre premiers, avec un parcours en Coupe de Suisse en prime. Moins bien, ce serait un échec, compte tenu des moyens mis à disposition.

Quels sont les points forts ?

En fait un seul, son président. Qu’on aime ou pas le personnage, il faut reconnaître que Christian Constantin n’a pas son pareil pour faire rentrer de l’argent dans les caisses du club. Que ce soit en mettant lui-même la main à la poche, en faisant le clown pour remplir son repas de soutien ou en négociant contrats de sponsoring contre mandats immobiliers. Cette manne providentielle permet au FC Sion de disposer de l’un des contingents les plus onéreux de Suisse. Et même si le recrutement est souvent farfelu, l’effectif valaisan autorise, dans une année pas trop chaotique, à aller chercher une place européenne et/où gagner la coupe, dans une année chaotique de quand même éviter tout souci de relégation (hors procédure judiciaires). 

Quels sont les points faibles ?

En fait un seul, son président. Qu’on aime ou pas le personnage, il faut reconnaître que Christian Constantin n’a pas son pareil pour pourrir la gestion sportive de son club et, au nom du principe qui paie commande, dilapider de la main gauche l’argent qu’il récolte de la droite. Que ce soit en s’immisçant dans les compositions d’équipe, en multipliant les transferts foireux ou en changeant d’entraîneur tous les six mois, voire moins. Le résultat, c’est un contingent mal pensé, souvent constitué au gré des mercenaires que des agents un peu malins arrivent à refiler à prix d’or au FC Sion, sans aucune osmose ni équilibre. Et les incessants changements d’entraîneur et remaniements de l’effectif ne permettent pas de créer de quelconques automatismes, de trouver une certaine stabilité ni de faire progresser le groupe collectivement ou individuellement.

Quelles sont les inconnues ?

Il y a trop d’inconnues au FC Sion pour s’amuser à toutes les énumérer, la seule constante c’est que le club est complètement l’otage des sautes d’humeur de son président, dont dépendront les innombrables impondérables de la saison, des changements d’entraîneurs aux procédures judiciaires en passant par les remaniements du contingent, les guérillas contre les arbitres, les sanctions disciplinaires contre les joueurs, la modification des objectifs, les brouilles avec les supporters, les escalades de tribunes pour régler les conflits internes et autre spécialités locales. 

Quels sont les joueurs à suivre ?

Comment ne pas mentionner en premier lieu Andris Vanins, véritable assurance tout risque et rare (seul ?) élément de stabilité dans l’effectif valaisan ? Et qui, malgré quelques signes de nervosité affichés ce printemps, continue de s’investir complètement à Sion, alors qu’il pourrait rêver d’un championnat plus relevé. Autre figure emblématique du club, Vilmos Vanczak sort d’une saison compliquée mais, s’il retrouve la confiance de son entraîneur, a montré qu’il pouvait être précieux et pas seulement pour marquer des goals sur balles arrêtées. Par contre, il est permis de douter qu’il puisse constituer une charnière centrale complémentaire avec Ferati. Sinon, Ischmael Yartey avait montré de belles qualités à Servette et peut devenir le créateur du jeu sédunois s’il parvient à digérer son échec sochalien et se remotiver pour un championnat suisse qui n’est plus un tremplin mais un point de chute. Et puis, pour la première fois depuis longtemps, il y a réellement quelques jeunes qui pourraient s’imposer, à l’instar de Léo Lacroix, Benjamin Kololli ou Gaëtan Karlen, déjà auteurs de performances convaincantes en LNA. Après, reste à savoir si leur président fera preuve d’un peu de patience à leur égard ou, si comme tant d’autres avant eux, ils seront écartés au profit de mercenaires aux références improbables à la première défaite.

Quels seront les flops ?

One ne condamnera pas les nouveaux renforts exotiques du FC Sion avant de les avoir vu à l’œuvre mais disons que, vu le taux de réussite assez faible de Christian Constantin dans ce type de recrutement, on peut imaginer qu’il y aura quelques flops dans le lot, même si aucun des arrivants ne débarque avec une pancarte aussi tapageuse que les El Hadary, Saborio, Gattuso, Manset ou Darragi. Il reste également quelques joueurs dans le contingent dont on se demande s’ils ont encore un avenir au FC Sion, comme Darragi, Mrdja ou Regazzoni, ou s’ils sont juste là en attendant de trouver un acquéreur pour tenter de récupérer une partie du montant investi pour leur acquisition. Rappelons que le nombre de licences est limité et que Sion ne bénéficiera pas chaque saison des mêmes largesses de la ligue qu’en 2011-2012 pour utiliser plus de licences qu’autorisées par le règlement. Enfin, depuis Emile Mpenza, Sion se cherche un vrai buteur. Leo avait donné l’impression de pouvoir être celui-là l’été dernier mais il a bien calé au deuxième tour, il doit maintenant prouver qu’il a d’autres atouts que sa vitesse, alors que Ndjeng doit démontrer qu’il a des atouts tout court. Mais a priori ni l’un ni l’autre ne nous paraissent taillés pour amener les Valaisans vers les sommets.

Le FC Sion finira-t-il la saison avec le même entraîneur qui l’a commencée ?

A priori, la question peut paraître incongrue, tant Christian Constantin se montre incapable d’accorder sa confiance à un technicien sur la durée d’une saison. Depuis le début de l’ère Constantin II, seul Didier Tholot a tenu la longueur d’une saison en 2009-2010, ce qui ne l’avait pas empêché d’être débarqué en fin de championnat malgré un contrat encore valable. Toutefois, Michel Decastel a montré qu’il n’avait pas trop de problèmes à être viré puis à revenir quelques années ou mois plus tard par la petite porte. On ne peut donc exclure l’hypothèse de voir trois ou quatre techniciens se succéder sur le banc sédunois sans amélioration tangible des résultats pour terminer avec un retour de Michel Decastel en fin de saison parce que finalement, à l’instar d’un Sébastien Fournier en 2012-2013, c’est l’entraîneur du début de championnat qui avait la meilleure moyenne de points par match. Disons que cette hypothèse là apparaît plus plausible que celle d’un Michel Decastel qui tient 36 matchs à la tête du FC Sion.

Combien d’entraîneurs consommera Christian Constantin cette saison ?

Avec Fournier, Decastel, Schürmann, Muñoz, Rossini, Gattuso et Decastel à nouveau, Christian Constantin a fait assez fort la saison dernière, battant son record de la saison 2006-2007 (Clausen, Moulin, Schällibaum, Chapuisat et Bigon). Comme quoi, les expériences malheureuses du passé ne servent pas vraiment de leçon. Cette saison, le record du nombre d’entraîneurs consommés en une saison ne devrait pas être battu puisque officiellement Sion part avec des objectifs modestes. Ceci dit, voir moins de trois entraîneurs à la tête du FC Sion sur la durée du championnat serait une surprise.

Tourbillon deviendra-t-il le nouveau désert de la LNA ?

On nous vante régulièrement la fidélité du public de Tourbillon mais celui-ci commence à sa lasser du cirque perpétuel du FC Sion et de la motivation souvent défaillante des mercenaires qui composent l’équipe. Malgré des chiffres souvent gonflés, les affluences dans la ruine sédunoise sont à la baisse. Des mesures annoncées durant l’été (suppression de certaines réductions et abonnements obligatoires en Gradin Nord) promettaient même une nouvelle fracture entre le FC Sion et ses fidèles. Finalement, Christian Constantin est revenu en arrière, moyennant quelques concessions accordées par certains groupes de supporters, notamment celle de ne plus émettre de critiques publiques à l’égard du président. La politique de la carotte et du bâton a de l’avenir en Valais ; en tous les cas on se demande où est la fierté des groupes de supporters qui acceptent de signer un pareil accord. Le public sédunois reste le plus versatile du monde et cultive une relation ambivalente à l’égard de son dictateur, tantôt zéro après quelques mauvais résultats et décisions contestable, tantôt héros après une victoire en Coupe ou une croisade absurde contre le reste du monde. Reste que la patience du public valaisan a des limites et que la désertion et le fronde risquent de ressurgir si le club poursuit sur sa glorieuse lancée de la fin de saison dernière.

Combien d’articles quotidiens Le Matin consacrera-t-il à Christian Constantin ?

Journal people si l’en est, Le Matin se garde bien de tenir les pieds au chaud de l’une des personnalités les plus en vue de Suisse romande. Quitte à prendre quelques libertés avec la déontologie et à servir d’organe de propagande du président octodurien qui peut ainsi assouvir son irrépressible besoin d’apparaître quotidiennement dans les médias. Le problème, c’est que cette saison, stabilité, sérénité et continuité sont annoncées du côté de Tourbillon : dès lors que va trouver le quotidien orange pour nous servir nos rations quotidiennes de FC Sion et de Constantin ? La nouvelle voiture, le nouveau jet, la famille, les randonnées, la Patrouille des Glaciers, les vacances en Afrique, les paris avec les joueurs, les repas gastronomiques, tout cela a déjà été fait : si vraiment le FC Sion devient l’oasis de calme et de tranquillité annoncée, il va falloir faire preuve d’imagination pour nous en parler tous les jours !  

Un FC Sion plus valaisan, vraiment ?

Christian Constantin a promis un FC Sion plus valaisan. Du coup, plus question de parcourir l’Europe, les Balkans et le vaste monde en jet privé, avec la moitié de la rédaction du Matin dans la soute à bagages, le satrape d’Octodure a enfilé ses chaussures de marche pour arpenter les vallées du Vieux-Pays afin de dénicher des talents locaux. Résultat : deux des rares Valaisans de l’effectif rejoignent l’éternel rival servettien, l’un des plus sûrs espoirs du club est exilé à Chiasso, le seul joueur de niveau international formé en Valais ces dix dernières années file en Breisgau et l’élément le plus fidèle de l’effectif, quoique Vaudois, quitte le navire. Pour les remplacer, on note les arrivées d’un Camerounais, un Roumain, un Chypriote, un Gambien, un Ghanéen, un Bâlois d’origine kosovare et, plus local que tout, un Genevois pur sucre. Grâce à ces nouvelles arrivées, à part le demi-district de Rarogne occidental, les treize étoiles du drapeau valaisan sont désormais représentées dans le contingent. Ou alors c’est que je n’ai rien compris à l’héraldique.

Vincent Rüfli deviendra-t-il l’idole de Tourbillon ?

A l’instar d’un Carlos Varela, Vincent Rüfli, c’est le genre de joueur à être adulé par les supporters de son club et détesté par tous les autres, surtout par ceux du club rival comme Sion  peut l’être par rapport Servette. Son transfert en Valais s’inscrit donc dans la lignée de ceux de Jean Gagnon au LHC, Alexandre Barroso au LS, Luis Figo au Réal, Lorick Cana à Marseille ou Manuel Neuer au Bayern et le Genevois va découvrir la position du mec qui doit gagner la confiance de supporters qui lui ont longtemps été hostiles. S’il retrouve la grinta qui en avait fait un très éphémère international, son tempérament, sa hargne et ses provocations pourraient rapidement en faire une icône à Tourbillon ; à l’inverse, s’il réitère ses performances très mitigées du printemps dernier, il aura de la peine à faire oublier les quelques contentieux qu’il aurait pu avoir avec les fans valaisans.

La fin d’un mythe vieux de près de cinquante ans ?

En deux passages à la tête du FC Sion, Christian Constantin s’est évertué à anéantir tous les mythes fondateurs du FC Sion ou presque : les Valaisans qui formaient l’ossature de l’équipe ont été remplacés par d’obscures mercenaires venus d’horizons lointains, l’identité valaisanne du club a disparu, son siège a été transféré à Martigny, le nom de FC Sion est parfois remplacé par celui d’Olympique des Alpes selon les circonstances, l’ambiance bouillante de Tourbillon n’est plus qu’un lointain souvenir, il y a de nombreuses tentatives de délocaliser le stade à Collombey, Aigle, Villeneuve, Martigny, Riddes etc. et, à la fin de sa première présidence, le dictateur d’Octodure a même failli conduire le club à la disparition pure et simple. Le seul et unique mythe du FC Sion qui a résisté à la tornade Constantin, c’est l’invincibilité en finale de Coupe de Suisse, il serait quand même dommage que le promoteur de Martigny s’en aille sans avoir également mis un terme à cette légende-là. En 2015, le FC Sion fêtera le cinquantenaire de sa première victoire en Coupe de Suisse ; d’ici là Christian Constantin devrait bien finir par la perdre, cette finale. En mai prochain ? On connaît des supporters sédunois qui souhaitent une élimination prématurée de leur équipe en Coupe pour éviter qu’une bande de mercenaires sans âme ne brise la plus vieille légende du club.

La fermeture du Loft, une aubaine ?

La saison dernière, Sion était plutôt bien parti, avant que tout ne parte en vrille suite à une virée au Loft de quatre joueurs très mal gérée par Sébastien Fournier et dont Christian Constantin se sera servi comme prétexte pour virer un entraîneur qu’il n’estimait pas assez performant avec le contingent mirobolant mis à disposition. Désormais, le Loft a fermé ses portes, victime de la nouvelle politique sécuritaire de la Ville de Lausanne. Ou plutôt de la politique de communication visant à taper sur les clubs comme bouc-émissaires pour éviter de s’attaquer aux vrais problèmes de sécurité mais ce n’est pas le débat ici. Que vont faire les joueurs du FC Sion, privé de leur lieu de mise au vert d’avant-matchs ? S’ils continuent à quitter le Vieux-Pays pour la civilisation et la capitale romande de la vie nocturne en troquant simplement une boîte contre une autre, Michel Descastel aura toujours du souci à se faire. En revanche, si la fermeture de leur terrain d’entraînement favori conduit les joueurs sédunois à rester les veilles et avant-veilles de match dans un Valais pauvre en attraction nocturne, ce sera tout bénéfice pour le club.    

Quel classement ?

Mon pronostic : 10e (là ça tient plus du souhait)

Écrit par Julien Mouquin

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7 Commentaires

  1. Très bon article. Plein de mauvaise foi, quelques contre-vérités aussi. Mais dans l’ensemble, il est plutôt bien.

    Sauf que je ne voudrais pas te décevoir Julien, mais si le FC CC n’a aucune chance d’être champion, il ne sera pas relégué non plus. Je sais bien que c’est ton souhait ,peut-être plus par rapport à CC qu’autre chose d’ailleurs, parce que soyons francs, une Super League avec un seul représentant romand, c’est pas sérieux… mais il faut se rendre à l’évidence, ce n’est pas crédible.

    Voilà ce qu’il va se passer. À Noël, Decastel sera 5ème et débarquer par CC puisque finalement il aura changé d’avis (après tout, seul les imbéciles ne changent jamais d’avis) et que tout à coup, il se dira que vu son effectif, il doit être sur le podium qui n’est pas si loin…

    Ensuite, entre février et mai, les entraîneurs vont se succéder pour que finalement le FC CC termine 7ème.

    On en reparle début juin??

  2. …je trouve CC génial, car il a su, à sa manière, devenir une « Personnalité » incontournable. Bravo pour lui… quant à son FC Sion souhaitons-lui bonne chance pour une 5ème place… juste derrière le LS… histoire de provoquer.

  3. Grotesque, mais on a l’habitude avec Mouquin 🙂

    Et rien que sa phrase sur les groupes démontre que le type parle vraiment sans savoir…

  4. @Jimmy
    Tu nous argumentes la moindre stp.

    Taper sur Mouquin ne rapporte pas des points bonus a faire valoir sur Ricardo.ch. Par contre, si tu as une objection, tu peux la faire valoir et nous laisser le soin de la juger grotesque, ou non.

  5. Le mec a souvent raison dans ses articles (preuve en est la série d’articles qu’il a réalisé sur le match CC-UEFA), mais ce ton condescendant et son anti-valaisannisme primaire me font plus penser aux commentaires puérils du matin online qu’à un vrai article journalistique. Je ne remets pas en cause le fond, mais la forme laisse à désirer.

    Et à part ça, pour ne pas voir les atouts d’un Ndjeng, il faut vraiment avoir de la m**** devant les yeux.

  6. 1) Cet article est inutile (comment pouvoir répondre a ces questions après 2 match)…il n’apporte rien de nouveau non plus (ça fait penser au Matin les article inutile sur le fc sion.
    2) Le nombre d’entraineur par saison m’importe peu si l’on finit dans la première partie du classement.
    3) Le fc Sion n est pas plus valaisan mais il y a des jeunes et des personne connues en suisse…si on etait pauvre bien sur qu’on aurait une equipe avec des valaisan mais si c est pour finir comme lausanne aucun interet. De plus quelle équipe a part bâle a peutse vanter de faire des résultat avec une équipe locale? Ça existe plus mtn faut pas rêver le vivier suisse de joueur n est pas bien grand et on a 10equipes pro, c’est mathématique.
    4) Le nbr de spectateur est gonflé par les abonnements qui sont toujours compté comme présent …si t acheté un billet et que tu bien pas tu sera aussi comptabilisé… Enfin était car maintenant le calcul se fait au tourniquet…et pour info même avec la moitié de spectateur que d’habitude on aura toujours plus que la plupart des équipes de rsl
    5) En tant que romand je trouve honteux de vouloir la défaite de sion en finale…Lausanne n a aucune chance …alors si veut vouler lecher le cul des équipes suisse allemande plutôt que de soutenir l’équipe romande la plus qualifiée pour cela c’est vraiment bas.
    6) Vouloir la relégation du fc sion pour un journal de foot romand c est un peu comme se mettre au chômage…vous allez parlez de qui après ? Lausanne ? Serviette? Bref je comprend la plaisanterie mais les article sur Lausanne ou Genève ne sont pas aussi virulent pourtant on apporte plus au foot romand que ces deux réunit. Le niveau de cet article et aussi bas que sont utilité et sûrement de son rédacteur.

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