Coupe suisse

Pourtant, tout avait bien commencé : le temps était radieux, la température estivale, le stade plein et joyeusement coloré, l’ambiance magnifique, avec, comme prévu, une écrasante supériorité numérique valaisanne mais quand même du répondant du côté des Neuchâtelois qui gagneront même

Impressionné par ce déchainement de passion, le Xamaxien de cœur que je suis s’est sacrifié pour CartonRouge.ch.

Tout d’abord un grand merci de nous avoir reçu, Christophe ! Avant de parler de 2011, faisons un petit saut dans le passé.

Formalités rempliesJe ne vais que peu m’attarder sur ce périlleux déplacement au Lezigrund d’où la bande à Lolo est revenue bredouille.

En route pour la douzième !L’atmosphère est particulière, les abords du stade bondés, la boutique prise d’assaut, le gradin nord surchauffé et l’odeur bien enraclettée ®, c’est bien de la Coupe dont il s’agit !

Dès le réveil en ce samedi de Coupe, c’est quelque chose de spécial qui anime les cœurs servettiens en faisant trembler les cages thoraciques .

Pour trouver trace d’un match de Coupe de Suisse du Lausanne-Sport à la Pontaise, il fallait remonter au 18 octobre 2008 et une défaite contre un Neuchâtel Xamax bien aidé par un arbitrage complaisant ce soir-là.

Sébastien, Alessandro, merci d’avoir accepté cet entretien ! Que pensez-vous de votre adversaire de samedi ?Sébastien Meoli : Bellinzone est une équipe qui a mis du temps à monter en Super League.

Champvent, modeste contrée vaudoise, 350 âmes, un cœur rempli de passion pour son club, un soutien unique, des supporters fidèles.

De fait, cette finale a commencé quasiment au lendemain de l’exploit contre St-Gall.