Elle avait pris une boîte monstrueuse l’autre jour en descente. Un saut de soixante mètres de long et de près de huit mètres de haut lui a coûté l’argent. Elle a fini au tapis et en boitant bas. Mais Anja Pärson n’est pas faite du même bois que le commun des mortels et a pris le départ du super combiné pour finir par arracher le bronze.
En hommage au courage de la skieuse suédoise, le chanteur à succès Pascal Gropipo a décidé de composer une chanson en son honneur. Un grand moment de musique.
J’avais pris de l’altitude
Un gros saut, moment de solitude
J’avais pris quelques rides
Traversé un désert aride
Je m’étais mise en l’air
J’avais connu l’enfer
Maintenant le paradis…
J’avais oublié d’atterrir
Comme un rappel à l’ordre
Ma tête en plein désordre
Ce désordre essentiel
Mais si confidentiel
L’existence et les roses se fanent
Même un jeudi
Au paradis…
Pärson
Ne te remplace
Non Pärson
Ne te remplace
Pärson
Ne te remplace
Non Pärson
Ne te remplace
C’est un enfer à vivre
Mais comment vivre avec
Mes envies de médailles insensées
Car mon armoire à trophées n’est pas vide
Mais mes rêves me dévorent
Et mes draps sont enneigés
Toutes les nuits…
On a plus goût à rien
Mais tant besoin d’or
Ce qui pourrait remplacer
Un résultat indélébile
On cherche en vain le podium
On serait prêt à tout
Pour revoir le jour
Toutes les nuits…
Pärson
Ne te remplace
Non Pärson
Ne te remplace
Pärson
Ne te remplace
Non Pärson
Ne te remplace
ca me rappelle le vol plané de …. herman maier, non ? et il avait aussi gagné qqch derrière ?
ah, ces gens sont des champions hors du commun !