Unser Ottmar, Teil 6 : la pigeonnisation

Décidément, Ottmar Hitzfeld est la superstar de CartonRouge.ch ces derniers temps ! Après l’article en 5 volets que lui a consacré Psyko Franco, la rédac est heureuse de pigeonner le sélectionneur de la Nati. Un préretraité en vacances, un Valaisan à la grande gueule (non, pas CC), un Italien en mode pois chiche, un plumitif sans imagination, un entraîneur arrogant ainsi qu’un bellâtre promu dirigeant sportif complètent cette sélection du mois de mars. Qui mérite de gagner le volatile doré ? Ami lecteur, tu as jusqu’au samedi 30 avril à minuit pour ton faire ton choix.

Jan Alston

S’il y a bien un élément du LHC qui s’est magistralement foutu de son monde cette saison, c’est le touriste Jan Alston. Arrivé en grandes pompes à l’intersaison, l’ancien joueur des ZSC Lions a étalé tout au long de ce pensum une suffisance à toute épreuve et une motivation aussi invisible que ses buts sur la feuille de match. Tournant à près d’un point par rencontre la saison dernière avec Zurich, il n’est pas parvenu à tenir ce rendement une division plus bas. Le champion d’Europe 2009 (!) a invariablement tiré l’équipe vers le bas et, alors que l’on attendait la fameuse «montée en puissance» en play-off, le Québécois a été absolument grotesque en rendant une fiche monstrueuse d’un but et trois assists en 17 parties ! Réussir à être pareillement dépassé au moment le plus important de la saison, c’est une grave faute professionnelle couplée à un immense foutage de gueule. De plus, quand on a un rendement si médiocre, difficile en tant que recruteur à temps partiel de demander à ses achats d’en faire plus pour moins cher… Sans passeport suisse, cet imposteur aurait pris la porte depuis longtemps.
Bref, Jan Alston est typiquement le genre de joueur débarquant à Lausanne pour couler une préretraite tranquille sans se prendre la tête, tout en profitant du lac, des charmes de la ville et en encaissant le maximum de pognon pour le minimum d’efforts. Pour lui, il semble même qu’une promotion n’était pas vraiment souhaitée tant il lui était plus agréable de glander une saison supplémentaire en LNB, loin du rythme effréné de la grande ligue. Attendu comme une locomotive dans le vestiaire lausannois, le numéro 43 ne fut qu’un boulet pour l’équipe et un casse-tête pour l’entraîneur van Boxmeer. «Plus grande déception de l’histoire du LHC» selon André Boschetti, Alston est l’exemple vivant qu’il vaut mieux engager des jeunes aux dents longues que des anciennes gloires démobilisées.

Pierre-Alain Ançay

La fameuse mentalité valaisanne, des qualités de cœur insoupçonnées ainsi qu’une ambition à la hauteur des espérances : tout était réuni pour que cette fois-ci, le HC Red Ice parvienne à décrocher une promotion que tout le Bas-Valais (d’Entremont à Évionnaz) attend. Pierre-Alain Ançay avait clamé haut et fort que «le club avait le même profil que Lausanne, l’arrogance en moins». Lui aussi a bien appris sa leçon et la récite parfaitement.
Manque de pot, la carrière du Valaisan s’est brutalement achevée à la maison face aux faucons d’Huttwil qui ont eu l’outrecuidance de cueillir sportivement leur promotion sur la glace du forum. Un retour de manivelle en bonne et due forme pour un capitaine dont l’équipe avait pourtant engrangé 66 points sur 66 possibles en saison régulière. En matière de gestion, on a vu mieux, sans parler du carton jaune reçu contre Guin en demi-finale de groupe. C’est bien joli d’avancer un argumentaire aussi bancal pour montrer que eux, ils ne vont pas se planter à la manière du LHC, mais la réalité est un peu moins reluisante pour une formation rongée par des querelles internes entre pro- et anti-Perroton.
Pierre-Alain a donc échoué dans son objectif arrogant… euh ambitieux pardon, lui qui n’a pas été capable en tant que capitaine de souder toute l’équipe derrière cet objectif commun. Si le recours d’Huttwil n’est finalement pas retenu, Red Ice aura une fois de plus l’escouade bernoise dans ses patins, en plus d’Arosa qui pourrait aussi se porter candidat à la promotion.

Mario Balotelli

Mario Balotelli vient s’ajouter à la longue liste des footballeurs avec du talent plein les pieds mais un pois chiche dans le cerveau (et encore, ce n’est pas gentil pour les pois chiches). Quelques mois après ses débuts professionnels, l’Italien avait réussi l’exploit de se faire haïr par la quasi-totalité des joueurs et supporters adverses en Serie A. D’aucuns en ont fait une victime innocente contrainte de fuir le racisme et l’Italie mais, sans vouloir en aucun cas cautionner les dérives navrantes d’une minorité d’énergumènes, ce sont surtout ses provocations incessantes et ses mauvais coups répétés qui l’ont rendu indésirable dans la Botte. Et la promesse d’un gros chèque à Manchester City qui l’a poussé à émigrer vers la Premier League.
Mario Balotelli aura au moins démontré une remarquable faculté d’adaptation aux coutumes locales : scandales sexuels avec la première WAG venue, escapades nocturnes, beuveries frénétiques, tôle froissée et on en passe. Les dernières frasques en date ? Avoir ruiné les chances de victoire de Manchester City en Europa League avec une expulsion stupide contre Kiev puis avoir pris pour cibles des gamins du centre de formation avec des fléchettes «parce qu’il s’ennuyait». Le sélectionneur national Cesare Prandelli ne le convoque plus en équipe nationale pour ses écarts de discipline et même son protecteur Roberto Mancini commence à être agacé. S’il ne s’achète pas rapidement un cerveau, Mario Balotelli, aussi talentueux soit-il, finira à l’AC Milan d’ici une saison et avant trois ans s’en ira courir le cachet en Turquie, au Qatar ou en Tchétchénie, nouveaux eldorados des has been du foot mondial.

Ottmar Hitzfeld

Après l’échec de l’Euro 2008, Köbi Kuhn est devenu le bouc émissaire de tous les maux de la Nati. Fort heureusement, on allait voir ce qu’on allait voir, puisque l’ASF avait eu le génie d’engager à prix d’or l’un des meilleurs entraîneurs du monde, Ottmar Hitzfeld. Tout juste regrettait-on à l’époque que l’ancien entraîneur du Bayern et de Dortmund ne soit pas arrivé plus tôt en fonction, ce qui aurait permis de gagner l’Euro sur une jambe. Près de trois ans plus tard, le désenchantement est immense : depuis le début de l’ère Hitzfeld, la Nati n’a connu qu’un seul succès, la qualification pour la Coupe du Monde 2010, n’a réussi que deux bons matchs, en Grèce et contre l’Espagne, et est en passe de manquer sa première grande compétition depuis la Coupe du Monde 2002. Que ce soit en termes de qualité de jeu, de résultats ou d’état d’esprit, l’équipe de Suisse est clairement en régression depuis l’arrivée du citoyen de Lörrach à sa tête.
Si son formidable palmarès a longtemps mis Ottmar Hitzfeld à l’abri de toute critique, même après la défaite infamante contre le Luxembourg, aujourd’hui le malaise est patent et la reconduction du contrat de l’entraîneur providentiel jusqu’en 2014 apparaît plus comme un boulet que comme une aubaine. Finalement, c’est peut-être là que l’ancien professeur de maths nous a le plus déçu : comment un entraîneur avec son palmarès a-t-il pu solliciter une prolongation de son contrat avant même de connaître l’issue des qualifications de l’Euro 2012 ? Un peu comme si sa principale préoccupation était de s’assurer une retraite dorée aux frais de l’ASF. On attendait un peu plus de fierté et de dignité de la part d’un entraîneur qui a tout gagné. Enfin, sauf la Coupe du Monde et le Pigeon d’Or. A priori, il y a l’une de ces deux lacunes qui a plus de chances d’être prochainement comblée que l’autre.

Christian Maillard

Le personnage se distinguait, surtout, par la propension, volontaire ou non, d’une incroyable faculté, parmi d’autres, mais pas toujours dans le meilleur sens du terme, à mitrailler ses phrases, aussi longues soient-elles, d’une multitude de signes de ponctuation, faisant perdre tout sens au texte. Christian Maillard est au journalisme ce que Lelouch est au cinéma : prolixe par la quantité, mais famélique quant à la qualité.
Désigné à couvrir le barrage de promotion-relégation entre Ambri et Viège, «Monsieur virgule» a fait étalage d’une méconnaissance particulièrement crasse du hockey. Aucun fait ni aucune analyse digne de ce nom n’a pu être pondue par Christian Maillard. À la place, ce fut une lassante litanie dénuée de tout sens critique sur le cœur merveilleux des Haut-Valaisans opposé à l’arrogance des Léventins, pâles postiches de la masturbation intellectuelle si chère à Christian Despont. L’avantage est certain : pouvoir procéder à un parfait copier-coller pour toutes les rencontres en suivant toujours le même modèle du gentil petit David au grand cœur contre l’affreux Goliath hautain et friqué. À ce niveau, il y a deux possibilités : soit Christian Maillard n’a assisté à aucune des rencontres qu’il a relaté dans Le Matin, soit ses connaissances en matière de hockey frisent le zéro absolu, ce qui semble être le cas.

Louis van Gaal

Considéré comme l’un des entraîneurs les plus arrogants du monde, Louis van Gaal avait trouvé chaussure à son pied du côté de l’arrogant Bayern et de son arrogant président Uli Hoeness. Après une entrée en matière difficile, le succès est en rendez-vous et la première saison du Hollandais en Bavière se solde par un doublé Coupe-championnat et une finale de Ligue des Champions. Le duo van Gaal – Hoeness décrète alors que le Bayern est tellement fort qu’il n’a pas besoin de recruter pour dominer l’Allemagne et l’Europe lors de cette saison 2010-2011. Sauf qu’entre les fatigues de la Coupe du Monde et les blessures, le grand Bayern réalise le pire début de saison de son histoire. Comme au FC Hollywood on ne fait jamais rien comme ailleurs, on décide alors de… prolonger van Gaal jusqu’en 2012, au motif que les mauvais résultats ne sont que passagers et que le Bayern va bien finir par remonter et écraser la concurrence.
Mais, même avec le retour des blessés, le Bayern continue à faire du surplace. L’ancien entraîneur du Barça se brouille avec deux figures emblématiques du club, van Bommel et Demichelis, expédiés dans des championnats mineurs, relègue son gardien titulaire Butt sur le banc, multiplie les erreurs de coaching, s’obstine à faire évoluer ses joueurs à des postes qui ne sont pas le leur et multiplie les expérimentations débiles, notamment en défense centrale (c’est tout juste s’il n’a pas essayé une charnière Robben-Ribéry). Au final, le Bayern se fait sortir en Coupe et en Ligue des Champions, larguer en championnat et même l’objectif strict minimal, la troisième place, synonyme d’accession aux barrages qualificatifs pour une C1 2011-2012, dont la finale aura lieu à Munich, est menacé par le terrifiant Hannover 96. Du coup, après avoir annoncé dans un premier temps que van Gaal ne serait pas reconduit à la tête des Rekordmeister au-delà de cette saison, les dirigeants bavarois ont finalement décidé de le virer avec effet immédiat. De peur de rater cette fameuse troisième place. Du coup, Louis van Gaal, qui affirmait que le Bayern n’avait pas d’adversaire à sa mesure en Allemagne, connaît le deuxième gros revers de sa carrière d’entraîneur à succès après sa non qualification avec l’équipe des Pays-Bas pour la Coupe du Monde 2002.

Sacha Weibel

Les responsables du titanesque naufrage du Lausanne Hockey Club en finale du championnat de LNB sont multiples : joueurs, coach, glace, calendrier, bandes, Servette… Catapulté au rang de directeur général en remplacement de Gérard Scheidegger, le super compétent Sacha Weibel porte lui aussi la griffe de l’échec lausannois dans sa frénétique course à la promotion. Dès son entrée en fonction, la marionnette de Barry Alter a immédiatement dénigré le travail de ses prédécesseurs au niveau du sponsoring tout en s’appropriant les progrès réalisés jusque-là. Bel état d’esprit.
Après avoir fait avaler à tout le monde que le LHC était «un bon produit», le Steve McQueen de Malley a décidé de comptabiliser automatiquement tous les abonnements dans le décompte des spectateurs afin de pouvoir prouver cette théorie. Prenant ces derniers pour des vaches à lait et de fieffés imbéciles, il en a profité pour augmenter le prix des places debout à un niveau scandaleux alors que le spectacle proposé ne valait pas un clou. En paillettes, strass, petits fours et champagne, «Top Model» a sciemment négligé la base du Lausanne Hockey Club : son public. Avec une arrogance aussi superficielle que détestable, ses déclarations à l’emporte-pièce sur le club se sont retournées contre lui à l’issue d’une finale à sens unique. L’arriviste Sacha Weibel saura-t-il tirer les conséquences de ce flop version 2010-2011 ? À défaut d’une promotion, CartonRouge.ch lui offre une nomination amplement méritée au vu des résultats obtenus.

A propos Marco Reymond 470 Articles
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30 Commentaires

  1. Pour info! Pierre-Alain Ancay n’est pas le capitaine du Red Ice, mais assistant du capitaine. Même si le Red Ice a perdu sur la glace je ne crois pas que ce soit contre lui qu’on puisse lancer un pigeon, mais plutôt un entraîneur qui n’a pas eu de ligne de conduite de la saison en remaniant ses lignes à chaque rencontre. Franchement avec une équipe comme le Red Ice en 1ère ligue, même un entraîneur de 2ème division australienne de cricket fais les 66 points de saison régulière.

  2. « Comme au FC Hollywood on ne fait jamais rien comme ailleurs, on décide alors de… prolonger van Gaal jusqu’en 2012, …  »

    Bah si, ils font comme l’ASF.

    Sinon j’aurais rajouter Carlo Ancelotti dans la liste.

  3. D’abord qui te dit que la carrière de Pierre-Alain est achevée! Ensuite question d’avoir la grande gueule tu sais bien que tous les Valaisans ont une grande gueule! Mais ils ne sont encore de loin pas au niveau des Genevois ou même des Vaudois…y a de la marge!!!

  4. @greg
    On a eu 22 matchs amicaux, c’est normal que l’entraîneur essaie toutes possibilités. Mais ce n’est pas vrai qu’il a remanié à tous les matchs… et l’articles est juste, c’est bien à cause de la guégerre interne du vestiaire que le Red Ice n’est pas monté…

  5. Ca alors c’est du beau boulot de journaliste!

    Pas un article de la saison sur le Red Ice mais pour venir scier en fin de saison, là y’a du monde..

    Déjà, pour dire que c’est de la faute de Ancay, faut pas connaitre grand chose.
    Enfin, ca confirme que vous connaissez rien à l’histoire de l’équipe.

    Vraiment navrant. C’est parce que il existe des gens comme vous, que les gens comme moi n’aiment pas les jounaliste.

    Carton Rouge…

  6. Hé, Alan, si tu veux te proposer pour écrire sur le Red Ice, libre à toi… Et si les gens croient que ce sont des journalistes qui travaillent ici, je comprends pourquoi j’aime pas les gend.

  7. On connaît l’ambition satirique de cartonrouge! Toutefois avec Pierre-Alain Ancay vous avez tapé totalement à côté du sujet et c’est bien dommages. Pour le reste j’aurais plutôt tendance à voter Weibel pour l’ensemble de son oeuvre cette saison…

  8. sans aucune hésitation: Maillard! ce type est tellement incompétent qu il risque bien de finir au service des sports de la TSR, avec Boschetti

  9. Meuh non.

    C’est pas de leur faute :
    « Les responsables du titanesque naufrage du Lausanne Hockey Club en finale du championnat de LNB sont multiples : joueurs, coach, glace, calendrier, bandes, Servette… »

    Mais celle de Servette !

  10. Maillard sans hésiter… ceci dit, c’est vrai que je le verrais bien à la TSR en charge des matchs du championnat suisse, en compagnie de Paratte pour les matchs de Champions League et de Dupuis pour la Coupe Spengler… ça nous ferait une belle brochette de vanqueur pour le prochain pigeon d’or…

  11. Choix difficile. Mais article sympathique. J’hésite entre Weibel et Ançay, parce que la déclaration sur le coeur versus l’arrogance pour se planter lamentablement peu après, ça valait quand même son pesant de cacahuètes

  12. La marionnette Weibel bien sûr! En lui offrant quelques cadeaux, style … un peu d’humilité, un peu de respect, un peu d’intelligence, un peu de savoir-faire, un peu de communication, un peu …. ouais ça fait déjà pas mal!

  13. J’aurais nominé le forum de lhc.ch dans son ensemble, mais en son absence je crois que Maillard fera un beau vainqueur. En plus il y a trop de Lausannois qui méritent le titre pour que j’arrive à les départager.

    Hitzfeld pigeon? C’est l’ASF les pigeons qui le prolongent avec un pont d’or malgré ses piètres résultats. Il doit bien se marrer le père Hitzfeld..

  14. Moi je dis sans hésiter Weibel!
    Quand à Pierre-Alain Ancay, il ne pratique pas la langue de bois…on sait toujours ce qu’il pense! Alors après c’est clair qu’on prend plus de risque comme ca que en restant politiquement correct!!!
    Moi en tous cas. je préfère ce genre!
    Quand à toi Pikatchoune, t’as pas pris trop de riques avec ton commentaire « après le résutat ».

  15. Choix très difficile ce mois-ci. Procédons d’abord par élimination:

    Ancay: On (je) s’en fout

    Alston: Il fait comme tous les sportifs en fin de carrière, soit gagner du pognon sans trop se fatiguer ou se blesser afin de pouvoir continuer encore un an ou deux. Les vrais pigeons c’est le staff techniques mais on y vient…

    Hitzfeld: Je suis en total désaccord avec sa pigeonnisation! Ce type a tout gagner dans sa carrière et certains (qui se reconnaitront) l’appelait Gottmar un soir de juin 2010. Et tout d’un coup parce que on se rend compte que personne n’arriverait a tirer quoique se soit des brêles hélvétiques à 2 pattes, c’est lui le pigeon?! C’mon les gars faut arretez! Quant à son salaire, n’importe qui au monde essaye de vendre son labeur le plus cher possible, apres si y en a qui veulent payer… donc pour moi, non pigeonnisable.

    Louis van gaal: si tous les entraineurs qui se font virer un jour était des pigeons, et bien il n’y aurait que des entraineurs parmi les lauréats. Pas assez consistant donc.

    Balotelli: bon candidat mais plus un gamin sans cervelle qu’un vrai pigeon, il fait plus pitié qu’autre chose.

    Reste maintenant les 2 finalistes:

    Weibel VS Maillard

    Les 2 mériteraient amplement ( peut on remettre deux pigeons ce mois-ci?)
    Mais mon vote ira à Maillard! Quel plaisir de pigeonniser un journaleux, un scribouillard, un déchet de ce torchon qu’est le matin! Tout a été dit sur lui, non seulement il ne connait absolument rien au hockey ( au sport?) mais en plus il ne sait pas écrire!

  16. Mouken, je parie que c’est toi qui a écrit sur Van Gaal… Ahaahahah!

    +1 pour Ovie qui a résumé ma pensée, je vote pareil.

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