Bayern Munich – Zenit St-Pétersbourg 1-1. Je vous le rappelle, je portais trois équipes dans mon coeur, le Sporting du Portugal, Getafe et nos amis russes.
Mais bon, que voulez-vous ? C’est, à ce qu’on m’a dit, la dure loi du sport. Heureusement qu’il me reste le Zenit St-Pétersbourg, un club qui commence à faire parler de lui et qui conquiert sans cesse de nouveaux supporters.
Bayer Leverkusen – Zenit St-Pétersbourg 1-4. Waouw, ça, ça fait mal ! La formation de Tranquillo Barnetta, qui renaissait à l’ambition cette saison après des années de reconstruction, a pris une belle baffe dans son insipide BayArena.
Bayer Leverkusen – Hambourg 1-0. Un corner tiré de la droite. Il est parfait. Gekas s’élève. Leverkusen s’impose 1-0 au terme d’un affrontement germano-allemand serré, tendu, intense et qui reste très ouvert pour le match retour.
Tout d’abord, la découverte du magique Ali Sami Yen. Il est vieux. Il aurait besoin d’un bon coup de peinture et d’un ravalement de façade (la construction d’un tout nouveau stade doit être lancée prochainement).
Au Stade de Genève – j’étais pourtant sûr que Tintin voulait construire à Aigle, Colombey, Martigny ou Riddes -, la première demi-heure des jouets du dictateur fut tout simplement parfaite. Rien ne semblait pouvoir atteindre les hommes du Mister.