Me voilà enfin arrivé à Moscou ! Mais quelle galère, je pète les plombs ! Vraiment, l’aviation ce n’est plus ce que c’était. Moi qui ai connu les vols Swissair sur New York en business class (je te laisse lire un de mes premiers posts…) avec les petits fours, le
Les Russes, finalistes défaits en 1994 (face à la Suède) et 1995 (face aux Etats-Unis) sur ce même parquet de Luzhniki, compteront sur l’appui de leur formidable public pour enfin vaincre la malédiction et s’imposer à domicile, quatre ans après
Paul-André K-Dieu : «Bon tsé, en prenant les gars du LHC, j’tentais la rupture avec les méthodes de l’aut’pingouin de Leime, mais si y’a un truc que je peux matcher de ce qu’il faisait c’est de tenir une sorte de babillard
Tabarnac ! J’pensais avec le directeur-gérant que les salaires au mérite en fonction du classement dans la ligue et du parcours en séries éliminatoires allaient motivés les gars, tsé ! Mais en fait, gager une bonne bouffe, ça leur a fait shifter sur les gaz comme ils avaient jamais fait
Luciano Moggi. A tout tricheur, tout honneur ! Nous commençons cette sélection par la révélation de l’année, l’un des grands favoris de ce Pigeon d’Or 2006 : Pinocchio Moggi.
Un Old Trafford surchauffé accueillait l’affiche de cette 14ème journée entre le leader Manchester United et son dauphin, double tenant du titre, Chelsea.
Je me souviens des matches de Ligue B, assis à même le béton du vieillissant stade St Jacques, et de ces «chocs» contre Baden, Carouge ou encore Schaffhouse ! La montée en 94 après tant d’années au purgatoire.