D’emblée, les Lausannois ont paru plus agressifs et plus déterminés que dans les trois premiers matchs ; ils sont enfin parvenus à mettre sous pression cette équipe de Bienne.
La finale du tournoi de Dubaï n’a pas atteint des sommets de suspense cette année : Roger Federer était trop fort pour Mikhail Youzhny, beaucoup trop fort.
La finale du tournoi de Dubaï n’a pas atteint des sommets de suspense cette année : Roger Federer était trop fort pour Mikhail Youzhny, beaucoup trop fort.
Evoluant avec une défense quelque peu remaniée et un duo d’attaque Coly – Bieli pour l’occasion, les rouges et noirs s’efforçaient timidement d’entrer dans la partie et de faire tourner le ballon.
Quant aux Genevois, ils ont toujours pour espoir de taquiner les meilleurs élèves de la classe, malgré la déception jurassienne de la semaine passée, qui les vit comme trop souvent céder une partie de leur butin dans les ultimes moments
De l’autre, on trouve un club sorti de l’anonymat par la seule volonté de quelques mécènes fortunés, dirigé de manière froide et professionnelle, qui, le succès aidant, commence à attirer du monde au stade mais ne bénéficiera jamais de cette
La saison va être longue. Cela ne fait que trois matches que la flamboyante équipe du Lausanne-Sport a repris le championnat que, déjà, on se réjouit de la fin de celui-ci. Et de passer à la suivante.
Mikhail Youzhny, la surprise du tournoi, accède donc à sa deuxième finale consécutive après Rotterdam. Très affûté, le Russe de 24 ans était largement supérieur à un Robin Soderling aussi démonstratif qu’un piquet de slalom spécial en demi-finale.