De bien jolis Pigeons, encore que…

Le service des sports de la TSR fait son grand retour aux Pigeons tandis qu’un représentant de la FIFA, du FC Lugano, de Neuchâtel Xamax et de Roland Garros est logiquement sélectionné. Sans oublier le président du Stade Nyonnais ainsi que l’homme le plus rapide du monde, mais de loin pas le plus futé. Qui mérite d’être sacré Pigeon d’Or de mai ? Tu as jusqu’au dimanche 3 juillet à minuit pour faire ton choix !

Mohammed Bin Hammam

«On n’apprend pas au vieux singe à faire la grimace.» C’est l’adage qu’aurait dû se répéter 124 fois Mohammed Bin Hammam avant d’aller essayer de défier sur ses terres le bon Sepp Blatter. Décidé à aller mettre un coup de pied dans la fourmilière de la FIFA, le Qatari ne s’attendait sans doute pas à ce qui allait lui arriver. Il a essayé d’entrouvrir une porte ? Il se l’est prise dans la gueule et dans la nuque, avant de se faire entuber par la poignée et de devoir manger les charnières avec des clous rouillés. Au moins !
Celui qui a réussi l’exploit de faire passer la Coupe du Monde 2022 au Qatar voulait parler de transparence et faire taire les rumeurs qui entourent la Fédération internationale… Il s’est fait avoir comme un gamin. Avant même de pouvoir rivaliser avec notre Viégeois adoré, il a été suspendu et a dû passer son tour. Il avait surtout le gros défaut d’être bien moins tordu que le roi, et de croire pouvoir la jouer plus finement que l’autre animal politique valaisan. C’est là l’essence même de la force d’un Pigeon d’Or. Bin Hammam s’est cru plus malin que Blatter et a été pris à son propre jeu. Avouez que le fait que l’adversaire de Blatter tombe pour corruption, alors que ce dernier était blanchi par la «commission d’enquête» (si si), a quelque chose de cocasse. Pendant ce temps, Jérôme Valcke, un des sbires de Blatter, a pu impunément avouer dans un mail que le Qatar avait acheté le Mondial 2022 et ne pas être inquiété ! Bravo les gars…

Usain Bolt

Si les neurones du Jamaïcain avaient les mêmes capacités que ses ischio-jambiers et mollets, il y aurait belle lurette qu’Usain Bolt eût été capable d’utiliser son cerveau pour des tâches élémentaires. Hélas, les performances cérébrales du sprinter resteront à jamais inversement proportionnelles à celles acquises sur 100 et 200 mètres. On savait déjà qu’Usain Bolt possédait le melon le plus surdimensionné du système solaire. On savait aussi que son but ultime dans la vie se résume à se faire un maximum de pognon, à se faire aduler du grand public et à être le plus célèbre possible.
Heureusement pour lui, être intelligent n’est pas une condition sine qua non pour y arriver puisqu’il court vite et c’est tout ce dont il a besoin. Il a encore montré toutes ses limites mentales en affirmant le plus sérieusement du monde qu’il se verrait bien jouer à Manchester United. Avec ce genre de déclarations, Usain Bolt repousse les limites de l’humainement concevable en matière de bêtise incommensurable. Lorsqu’on balance ça sur la BBC, on ne peut pas espérer qu’il s’agisse d’une touche de second degré de la part de quelqu’un qui n’en possède naturellement pas. Usain Bolt n’en est du reste pas à son coup d’essai : lors du meeting Athletissima en 2009, il affirmait sans broncher qu’il se verrait bien être DJ professionnel. Sa performance calamiteuse sur la Place de la Navigation avait justement transformé cette lubie en bonne grosse blague.
On prend les paris pour la prochaine trouvaille de l’Einstein de Trelawny. Repêché en première position de la prochaine draft NHL ? Le premier Grand Chelem depuis Rod Laver ? Un Oscar pour son rôle dans le prochain James Bond ? A défaut d’Oscar, il mériterait bien un Pigeon d’Or, mais pas certain qu’il sache ce qu’est un pigeon.

Didier Henriod

En fin d’automne dernier, le Stade Nyonnais est au bord du gouffre : le président-mécène Giuseppe Luongo vient de se retirer, le club n’a plus les moyens d’assumer les salaires et l’équipe est mal au point au classement. C’est alors que l’entraîneur John Dragani décide de reprendre une activité accessoire pour alléger la masse salariale, convainc les joueurs d’accepter une baisse de salaire et parvient même à engager des renforts. Et le miracle s’accomplit, Nyon réussit un deuxième tour somptueux, le deuxième meilleur de la ligue, derrière Servette mais devant Lausanne, et assure sans problème son maintien avec une brillante 6ème place.
En récompense à cet exploit magnifique, le président nyonnais ad intérim Didier Henriod a décidé de virer son entraîneur John Dragani. Officiellement pour manque de disponibilités, alors même que l’ancien entraîneur du LS avait justement réduit ses activités footballistiques pour rendre service au club ! Officieusement, le président Henriod voulait placer son pote Jean-Michel Aeby à la tête du Stade Nyonnais. Soit remplacer un entraîneur qui a prouvé qu’il pouvait faire des miracles avec des moyens modestes par un autre qui reste sur des échecs cuisants à Neuchâtel Xamax et Baulmes. A la limite, M. Henriod aurait pu demander tout de suite la rétrogradation en 1ère ligue.

Roberto Morinini

S’il existait un concours du choc psychologique le plus raté de l’année, Roberto Morinini raflerait la palme sans problème. Arrivé au FC Lugano à 4 journées de la fin de saison, le Claude Puel du très pauvre aura réussi à faire du club tessinois la risée du football helvétique. Explosé 0-6 (!) à domicile par Servette pour sa première apparition sur le banc, son équipe a ensuite débarqué à la Pontaise en mode hérisson, avec pour seule tactique de bétonner derrière tout en espérant marquer sur un vieux contre. Résultat des courses ? Une défaite 3-1 et la perte de la première place au profit de Lausanne. Ce bateau sans âme perdra ses dernières illusions en faisant un piteux match nul contre Wohlen lors du match suivant, avant de signer une victoire anecdotique à Delémont. Les deux clubs lémaniques les remercient encore. A défaut de pouvoir pigeonner l’ensemble de cette équipe, c’est le capitaine de ce naufrage qu’on te propose de plébisciter
De plus, en pigeondorisant Roberto Morinini, c’est un conglomérat d’entraîneurs qu’on t’invite à condamner. Car, à l’instar des Jean-Michel Aeby, Alain Geiger, Raimonde Ponte et autres Gabet Chapuisat, Morinini fait partie de ces coaches qui n’apportent rien – ou si peu – au football suisse depuis tant d’années. Que ce soit avec Servette, Yverdon, Bellinzone ou Lugano, toutes les équipes qu’il a dirigées étaient à son image : tristes, frileuses et antipathiques. Inutile de dire que son palmarès est famélique et que la majorité des clubs ont fini par le licencier. Cette année, le Tessinois peut même se targuer d’avoir été limogé deux fois en l’espace de quatre mois : en mars par Bellinzone puis en juin par Lugano. Pour le bien du football suisse en général, gageons qu’il ne trouvera pas d’embauche de sitôt. Au pire, il sera enrôlé en tant que troisième entraîneur à Xamax Wainach ; il paraît qu’il n’est pas nécessaire d’avoir un bon CV ni des papiers en règle pour plaire aux nouveaux patrons des lieux.

Yannick Paratte

Pour toute une génération, Yannick Paratte est l’un de ces vieux dinosaures de la TSR dont on a l’impression que, aussi loin que remontent nos souvenirs, il a toujours été là. Avec ses expressions, ses approximations et ses «encore que». Tape Paratte sur le moteur de recherche de CartonRouge.ch  et tu tomberas sur quelques perles. C’est donc à l’ensemble de son œuvre que le Jurassien doit sa sélection mais aussi à son récent commentaire de Servette – Bellinzone. On veut bien admettre que, sur une télévision romande, on adopte un ton légèrement partisan lorsqu’une équipe romande est en lice mais il y a des limites à ne pas dépasser sur une chaîne de service public. Surtout si le ton partisan s’exerce essentiellement en adoptant la posture du pur Caliméro genevois (pléonasme) en remettant en cause chaque coup de sifflet ou non coup de sifflet de l’arbitre, prétendument hostile à Servette. Ce qui était en l’occurrence loin d’être le cas, l’arbitre avait été plutôt bon et n’avait en tous les cas pas prétérité les Genevois. A la fin, même le consultant Eddy Barea, pourtant fan servettien déclaré, semblait gêné d’être systématiquement pris à partie pour dénoncer la soi-disant partialité de l’arbitre.
A ce moment-là, autant assumer jusqu’au bout le ton partisan et faire commenter le match par des mecs de Servette TV qui feront au moins partager leur passion et pourront raconter une multitude d’anecdotes sur leur club favori. Car ce diable de Yannick Paratte, lui, donnait l’impression de découvrir les joueurs de «son» Servette chéri, ce qui rendait d’autant plus ridicule la partialité du commentaire. Voilà qui permettra au Jurassien de tenter de marcher sur les traces d’un autre dinosaure de la TSR, l’illustre Pierre-Alain Dupuis, sacré en 2008.

Paolo Urfer

Le peu reluisant maintien de Neuchâtel Xamax en LNA et surtout sa prestation grotesque en finale de la Coupe de Suisse se devaient d’être représentés. Restait à savoir par qui. Il était difficile de mettre un joueur, étant donné qu’à part peut-être Nuzzolo et Tréand, tous auraient pu être sélectionnés, impossible d’en sortir un plus mauvais que les autres. Le président Bernasconi a déjà eu les honneurs de la sélection, alors qu’on va laisser le bénéfice du doute aux nouveaux maîtres de Wainach Xamax. Provisoirement du moins, car quelque chose nous dit qu’on est là en présence d’une mine d’or en matière de Pigeons. Quant à l’entraîneur Challandes, il n’a pas eu suffisamment de temps pour inculquer quelques vagues notions de football à cette équipe bout de bois. Ne restait donc plus qu’à retenir celui qui a mis sur pied cet effectif de rêve, Paolo Urfer.
Le directeur sportif neuchâtelois n’a fait que reproduire à Xamax des schémas déjà éprouvés lors de ses passages à Baulmes et Sion : soit l’engagement d’une kyrielle de mercenaires aux références improbables et aux émoluments que l’on imagine conséquents, en profitant des largesses d’un président-mécène pas trop regardant à la dépense. Quelques buts en CFA, deux ou trois sélections dans une obscure équipe nationale du quart-monde, l’une ou l’autre apparition dans un club vaguement prestigieux et ça suffisait pour obtenir un contrat. Le tout bien sûr au détriment des espoirs locaux. Quand on voit la «performance» d’un Binya ou d’un Gohou en finale de Coupe, on se dit que, pour effectuer des amortis qui partent à cinq mètres et des passes directement en touche, on aurait tout aussi bien pu mettre des jeunes Neuchâtelois qui auraient eux au moins envie de mouiller leur maillot. L’échec de Xamax cette saison, c’est aussi et surtout le fiasco de la politique de recrutement en vigueur ces dernières années. On n’est pas sûr que les nouveaux dirigeants «neuchâtelois» feront preuve de beaucoup plus de discernement en matière de transferts, loin s’en faut, mais Paolo Urfer, victime des purges staliniennes de ces dernières semaines, ne sera sans doute pas vraiment regretté du côté de la Maladière (ou du Ramzan Kadyrov Stadium ou de tout autre nom dont on voudra bien l’affubler).

Gilbert Ysern

Le directeur général de la Fédération Française de Tennis est un homme qui a un sens particulièrement développé de l’organisation et du sens des priorités. Le jour des demi-finales messieurs qui ont eu lieu le vendredi 3 juin, Gilbert Ysern a eu l’idée absolument brillante de repousser le début du premier match d’une heure afin de… permettre aux invités VIP – venus comme chaque année se pavaner dans les travées de la Porte d’Auteuil – de pouvoir terminer de dîner tranquillement et de finir leur coupe de champagne avant le début des hostilités. Il était en effet naturellement clair que les affiches Nadal-Murray et Djokovic-Federer allaient être rapidement expédiées.
Malgré une victoire acquise en 3 sets face à Murray, Nadal a tout de même mis plus de trois heures pour se débarrasser de l’infâme Écossais. Du coup, l’autre demi-finale a débuté à une heure qui faisait craindre un report pour cause d’obscurité. Toujours à la pointe de la technologie, le tournoi parisien reste toujours le seul Majeur à ne pas s’être doté de projecteurs, mais ceci est un autre débat. Sans surprise, l’affrontement entre Federer et Djokovic fut âpre et le match s’est terminé à 21 heures passés, dans une obscurité quasi totale. On peut même dire qu’à 10 minutes près, cette demi-finale aurait dû être terminée samedi après-midi, ce qui aurait constitué un énorme avantage pour Rafael Nadal qui, soyons honnête, n’avait pas besoin de ça.
Si le respect que possède Gilbert Ysern envers les joueurs était le même qu’envers les VIP assistés, ce serait déjà un très grand pas. Mais ce Monsieur aux grands principes préfère bien évidemment reluire le fion des starlettes qui garnissent les loges que se soucier du confort des joueurs. De plus, non content d’avoir prouvé tout au long de cette quinzaine son incapacité latente à organiser ce tournoi, Ysern a étalé une propension agaçante à programmer les matches des joueurs français sur le Central alors que ces derniers ne font clairement rêver personne, y compris leurs propres supporters.

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26 Commentaires

  1. Belle présentation. Cependant, de mémoire, Flushing Meadows ne possède pas non plus de court à toit rétractable.

    Concernant le pigeon, Schällibaum le mériterait presque plus que Morinini 😉

  2. Paratte se discute… franchement je vois pas pourquoi c’est choquant. Ca dérange personne quand les commentateurs de la TSR sont à 200% derrière Sion lors des finales de coupes (hormis cette année). Je trouve normal que la TSR soutienne les romands.

    Et concernant l’arbitrage de SFC-Bellinzone, si dans l’ensemble il a été bon, je dois dire qu’il a laissé faire énormément de sales fautes aux tessinois sans pour autant les avertir…

    Bref, dommage que Blatter n’ait pas été nommé car pour moi c’est le pigeon du mois, de l’année, du siècle ! La mafia a l’état pur. Il n’a rien à envier à certains dictateurs…

  3. « L’infâme écossais »… Je sais pas pourquoi ça a provoqué en moi un énorme fou rire de voir ça écrit comme ça :))))…
    Sinon, je crois que je vais voter pour Ysern, je connaissais pas, mais ce qui s’est passé à Roland Garros est un véritable scandale. Mais c’est dur dur, les autres sont tous assez bons aussi, je vais encore réfléchir un peu.

  4. Morinini pour son magnifique choc psychologique (peut-être historique au niveau mondial!) contre Servette et pour l’ensemble de son oeuvre!

  5. Morinini, non, il a si bien contribué à la promotion du LS (et de Servette, je le dis vite) en Ligue A qu’on devrait plutôt l’inviter à dîner.
    Bin Hammam non plus, il est probablement ni plus ni moins corrompu que tous les pontes le la FIFA, il est à bonne école avec Blatter d’ailleurs…bon quoique le coup de la Coupe du Monde 2022 au Qatar, c’est spécialement gerbant, faut bien le reconnaître.
    Yannick Paratte, lui il a pas de bol d’être né en même temps que P-A Dupuis, la barre est placée trop haut pour lui.
    Mon vote ira donc à l’obscur président du Stade Nyonnais, dont la classe est inversément proportionnelle à celle de celui qu’il a viré. Et s’il y en a un qui sort grandi de ce triste épisode c’est sûrement John Dragani!

  6. Dites-voir, c’est déjà l’élection du pigeon d’or de l’année???
    Avec pareille brochette de « stars », on pourrait presque le croire. Ne manque que le plus grand, Sepp 1er, roi de la magouille et je crois que l’on a le Hall of Fame des pigeons d’or 2011!!!:-)
    Plus sérieusement, choix cornélien ce mois-ci: à défaut de pouvoir donner ma voix au vieux fossile valaisan de la FIFA, je vais me rabattre sur cette « chère » TSR, juste parce qu’elle le mérite et que l’on a tendance à oublier l’incroyable médiocrité dont elle fait preuve tout au long de l’année. Amen!

  7. J’aurais bien vu Roberto Luongo dans les sélectionnés.

    Après avoir fait une remarque sur un des rares buts accordé par son homologue Tim Thomas (« j’aurais pas pris ce but car je joue moins agressif ») et chougné dans les médias (« Thomas ne dit jamais du bien de moi »), il s’en est pris 3.8 en moyenne sur les 5 matchs qui ont suivi (8/4/0/3/4)…

  8. Il manque le mafieux Blatter à cette sélection, le valaisan hyper-corrompu ferait passer Berlusconi et Tapie pour des anges…c’est dire !

  9. Bin Hamman est un pigeon dans le vrai sens du terme, mais j’ai du mal à voter pour lui tant le Dieu Valaisan aurait bien mériter de se faire remettre en place.
    La naïveté vaut elle un pigeon d’or?
    Je vais me rabattre sur Polo…

  10. Bonne liste, mais cependant pas exhaustive… J’y rajouterais sans hésiter Jean-Claude Dassier, le (enfin) ex-président de l’OM, pour l’ensemble de son oeuvre, à savoir notamment la répression et la collaboration sans limite avec l’état français contre les supporters, la gestion calamiteuse du mercato 2010 (Départ de Niang au mois d’août et achat de Gignac pour 18 millions d’euros (!), sans oublier le refus d’acheter Diarra et Luis Fabiano, tant voulus par DD…) et la volonté affichée cette année, avant heureusement d’être viré, de jouer la Champions en recrutant uniquement des joueurs en fin de contrat et donc gratuit, le tout après avoir fait fuir les cadres, politique qui a failli faire péter les plombs à Deschamps, prêt à quitter l’OM pour Xamax (ou quelque chose dans le style)… Si ça ça vaut pas un pigeon de platine…

  11. Y. Parratte, c’est le PAD du pauvre, alors non

    La sortie d’Usain est pas mal, mais je voterai pour Henriod. En plus ça risque de marcher la saison prochaine puisque il va pouvoir prendre des de joueur SFC-LS et le Chentouf

  12. Urfer c’est clair, y a peu de temps il menacait toute personne qui critiquerait la nouvelle direction de Xamax et après il se fait virer…. à mourir de rire !!!!

  13. Didier Henriod sans hésitation.

    La comparaison de Roberto Morini entraineur avec Jean-Michel Aeby Alain Geiger, Raimonde Ponte et autres Gabet Chapuisat ne pouvait être mieux représenté.

    Maintenant que Roberto et Jean-Mich sont mauvais cela ne fait plus l’ombre d’un doute mais être aussi c… et mal… pour se séparer de la sorte de Dragani c’est vraiment petit et une honte. D’autant plus stupide si c’est pour engager Jean-Mich qui à son palmarès eu une certaine réussite avec Meyrin et Servette alors en première ligue.Mais bon, je ne vois nulle part son mérite quand on a dans ses rangs un joueur de la tramp d’Esteban et on peut compter sur Londono, Chedly, Tréand… Kusunga (mais Jean-Mich trouvait le moyen de ne pas le faire jouer et le dégouter même à prolonger au Servette) je ne considère pas que cette perf lui incombe.

    Donc Didier Henriod est pour moi le pigeon d’or. Il survole l’ensemble des autres pigeons cités dans le palmarès de mai.

  14. Grenata on se connait? Mon mari c’est M.Aeby et Jean-Mich c’est pour les amis!! Pour le reste merci de vous renseigner un peut plus avant d’écrire de telle imbécillité. Les pigons d’or sans hésitation: M.Mouquin, M.Nicolet, M. Reyomond, M.Romain. ABE Mme Aeby

  15. @ VAL

    Chère madame, le mot pigeon s’écrit comme cela et non pigon…. attention si vous ne voulez pas figurer dans le pigeon d’or de la grammaire française !!!!

  16. @val

    Jean-Mich on se connaissait du temps où il était joueur et où il passait son temps après les matches dans les boîtes de nuit de la république et du canton de Genève avec d’autres acolyte de l’époque dont Dobrovolski si mes souvenirs sont bons. Parlez lui du New Velvet Club, il n’a certainement pas oublié! Heureusement qu’il n’y avait pas internet et youtube à cette époque.
    ABE

  17. Urfer, pour l’ensemble de son immonde oeuvre à Xamax : quand on sait que le mec recrutait les joueurs en calculant sa commission au passage, c’est un des rares licenciements qui m’a fait plaisir à apprendre !

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