Les dirigeants ont choisi de jouer la Grèce en amical en partant du principe que leur jeu est proche de celui de la Serbie. Prions, mes frères, pour qu’ils aient eu raison : putain ce que c’était faible.
Oui, cette finale fut grandiose, spectaculaire, un peu folle et pleine de suspense. Elle fut même tendue et électrique, avec quelques bonnes prises de becs ici ou là, ce qui devient malheureusement rare sur le circuit.
Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’on sera passés par toutes les émotions, puisque le classement pour la sixième et dernière place qualificative pour les playoffs aura changé trois fois en nonante minutes.
Des choses irrémédiablement moches il en existe quand même pas mal dans le monde… Ribéry, les ballerines, Suzanne Boyle, les FIAT Multipla… et les logos de certaines fédérations de football.