Paris pensait avoir passé un cap. Depuis l’arrivée de Le Guen et des renforts du mercato, les actions parisiennes étaient en hausse. Mais l’arbre de la chance cachait la forêt de la médiocrité du fond de jeu.
Dubaï, son Burj Al Arab, ses gratte-ciels, ses centres commerciaux gigantesques, ses projets architecturaux futuristes, sa piste de ski intérieure, ses embouteillages, ses chantiers à tous les coins de rue…
D’entrée de jeu, après trois minutes pour être précis, le ton est donné : Vincent Ermacora, mal placé, n’arrive pas à rattraper la «fusée» (!) Cyrill Pasche qui s’en va seul et qui se heurte à la botte du portier lausannois, auteur
Dubaï, son Burj Al Arab, ses gratte-ciels, ses centres commerciaux gigantesques, ses projets architecturaux futuristes, sa piste de ski intérieure, ses embouteillages, ses chantiers à tous les coins de rue…
Prenez Monfils par exemple. Après Roland Garros 2006, tout le monde nous promettait une ascension vers les sommets, alors que depuis lors, c’est la chute aux enfers.
Durant les quelque 30 minutes qui nous restent à patienter avant le kick-off, je prends plaisir à constater que «ça respire» bel et bien le foot dans cette ville.
On joue la 52e minute de jeu. Le puck traîne dans la zone du gardien, poussé par Laurent Meunier. Mêlée. Marco Bührer, à terre, pose la mitaine sur l’objet de toutes les convoitises. Du moins le croit-il.
On joue la 52e minute de jeu. Le puck traîne dans la zone du gardien, poussé par Laurent Meunier. Mêlée. Marco Bührer, à terre, pose la mitaine sur l’objet de toutes les convoitises. Du moins le croit-il.