Si tu es espagnol, je te préviens va voir ailleurs. Ma foi tu as perdu donc il est logique que tu t’en prennes plein la gueule. Quant à moi, je ferai certainement moins le malin à la fin de la semaine lorsque les parfaits robots allemands affronteront l’Italie, mais pour
Ceux qui me connaissent la moindre savent bien que je n’aime pas le jeu soi-disant fantastique qui consiste à faire 253 passes avant d’aller marquer un but, que je préférerai toujours un bon tacle glissé à un coup du sombrero ou un dégagement en touche à une talonnade inutile. Donc
Face à l’invité-surprise asiatique de cette Euro 2016, la Roja n’a pas perdu trop de temps pour virer les tchuk-tchuks que Fatih Terim avait parqué comme un cochon devant les seize mètres du délavé Volkan Babacan. Zéro tir cadré plus zéro effort plus zéro amour propre égale 3-0. Après
L’Espagne a divisé la planète football en deux, entre ceux qui aiment son jeu à base de passes répétées à mi-terrain en attendant l’ouverture, et ceux qui le détestent et pleurent sur son manque de verticalité. Il y aussi une troisième catégorie en fait, occupée par une seule personne au
La Roja a remporté trois des quatre derniers gros titres internationaux et ne revient pourtant que rarement tout en haut des pronostics avant l’Euro 2016. Mais pourquoi donc ? 1.