Z comme Zéro, Z’êtes nuls, Zizou du pauvre, Zizi ou Zubi…

Entre un chef des arbitres complètement dépassé, un tireur de putes fidèle, un escroc fiscal, un incompétent notoire, un entraîneur belliqueux, un tennisman sous-doué et un ex-gardien au melon surdimensionné, il y a du lourd dans cette troisième sélection des Pigeons de l’année. Ami lecteur, tu as jusqu’au mercredi 30 avril à minuit pour faire ton choix et élire le vainqueur du mois de mars !

Reto Bertolotti

Si la retraite de l’arbitre biennois avait été plutôt bien accueillie par les spécialistes du hockey, encore aurait-il fallu qu’il se retire définitivement de ce milieu. Depuis sa prise de fonctions en tant que chef des arbitres, l’évolution de la qualité globale de l’arbitrage en Suisse suit la courbe des opinions favorables à François Hollande. Incapable de former des directeurs de jeu décents et devant compter sur l’apport d’arbitres étrangers, le paroxysme avait été atteint lors des JO de Sotchi où aucun arbitre helvétique n’avait fait le voyage dans la république totalitaire soviétique. Grand partisan du copinage, adepte des nominations partisanes lors de rencontres décisives au gré des intérêts de ses potes, on se souvient encore des indécentes sélections d’un autre Biennois, M. Stalder, pour officier lors des barrages entre le LHC et… Bienne.
Le dernier scandale orchestré par l’ex-moustachu remonte à la série mettant aux prises Viège et Langenthal en demi-finale des play-offs de LNB. Lors de l’acte III, l’arbitre du match Dany Wirth annule logiquement une réussite bernoise à la 59e minute du match finalement remporté par les Haut-Valaisans, la rondelle n’ayant jamais franchi avec certitude la ligne de but. Les Bernois déposent un protêt qui sera étonnamment accepté par l’autre Reto, le juge inique Steinmann. Le match doit être rejoué. Coup de théâtre peu de temps après : le Tribunal du Sport joue les pompiers et répare la monumentale connerie du juge en redonnant la victoire à Viège. Justice est rendue. Enfin quoique…
Le problème est que le génial chef des arbitres réussit l’exploit, dans le même temps, de suspendre l’arbitre pour «communication non optimale» alors que le Tribunal du Sport lui avait donné raison. Pire, il refuse de le réintégrer et de le blanchir sous l’incroyable prétexte que de toute façon, il ne reste plus beaucoup de matchs au calendrier et qu’il serait politiquement incorrect envers Langenthal de lui confier à nouveau une rencontre où les Bernois sont impliqués. Un manquement inqualifiable du devoir de neutralité de la part de Bertolotti, mais connaissant le personnage, on est guère surpris. Les Dupond et Dupont du hockey suisse ont une nouvelle fois frappé, mais cette situation aussi consternante qu’hallucinante n’est due qu’à l’incompétence monstrueuse de l’autre Dupont, Reto Bertolotti, qui aligne les méfaits avec la dextérité d’un DSK lâché dans un Sofitel. Le plus tragique est qu’il ne fait même pas exprès – du moins on l’espère.

Olivier Giroud

Il ne fait pas bon s’appeler Giroud ces temps. Celui qui nous intéresse aujourd’hui est l’ex-nouvel espoir du football français, attaquant sans grande valeur ni vertu à la pointe d’Arsenal. Révélé à Tours puis consacré champion de France sous les couleurs de Montpellier, Olivier Giroud a l’air bien sous tout rapport, avec sa gueule de jeune premier, sa coupe de cheveux bien proprette, son mariage, sa famille et la Bible tatouée sur son bras («Le Seigneur est mon berger, Rien ne saurait me manquer»).
Mais voilà, les Saintes Ecritures n’ont jamais complètement convaincu en terres anglicanes, et le passage des rives de la Loire à celles de la Tamise fut mouvementé pour notre goleador. Alors que son club était à la veille d’un affrontement contre Crystal Palace, Giroud a fait fi du couvre-feu imposé par Wenger pour aller s’encanailler avec la première apprentie WAG venue. La une du Sun le montrant en slip dans sa chambre d’hôtel était plutôt incriminante, mais Giroud, après s’être platement excusé, a nié avoir «commis l’adultère». La réponse de la bergère fut saignante : «Pas faute d’avoir essayé, mais ce n’était pas vraiment de ton ressort, si ?». Comme quoi, il n’y a pas que sur les terrains de Premier League que le Français est victime de violentes pannes…
Hasard ou pas, ce scandale a coïncidé avec la descente aux enfers d’Arsenal. Alors premiers aux moments des faits, les Gunners ont sombré peu à peu, se faisant entre autres humilier à Liverpool, Chelsea, Stoke City et Everton, et perdant logiquement en Ligue des Champions face à l’ogre bavarois. Soit remplaçant, soit transparent sur la pelouse (à part lors de quelques rencontres face à des équipes de seconde zone), le Ribéry du pauvre a confirmé qu’il n’avait pas le niveau pour exploser dans un grand championnat et qu’il finira, au mieux, comme Marouane Chamakh ou Gervinho. Rien ne va plus, donc, pour Giroud et ses coéquipiers qui ont tiré un trait définitif sur le titre, qui voient leur quatrième place qualificative pour la C1 plus que jamais menacée et qui, du coup, comptent sur la Cup pour sauver une saison pourtant prometteuse. Avant que…

Uli Hoeness

Longtemps, Uli Hoeness a incarné un modèle absolu de réussite dans tout ce qu’il entreprenait. Réussite comme joueur avec un palmarès  phénoménal comprenant, entre autres, une Coupe du Monde, un Euro, trois Coupes des Champions, une Coupe intercontinentale, trois Bundesliga etc. Réussite comme dirigeant (manager puis président) en conquérant deux nouvelles C1 et deux Coupes intercontinentales, une Coupe UEFA, 18 titres de champion national, 11 Coupes d’Allemagne… tout en ayant fait de son Bayern Munich le club le plus rentable du monde et l’ayant doté d’un stade peu chaleureux certes mais vraie usine à fric. Réussite comme entrepreneur, la saucisse de Nuremberg qu’il commercialise étant entrée dans tous les foyers allemands. Réussite dans sa vie privée avec plus de 40 ans d’un mariage sans tache. Réussite politique puisque, sans s’engager lui-même, il a toujours été proche des puissants, du ministre-président Stoiber à la chancelière Merkel. Réussite en bourse enfin, puisqu’il a amassé des fortunes colossales en effectuant frénétiquement quelque 33’000 opérations. C’est ce dernier succès qui l’a perdu. En soi, cela n’avait rien d’illégal mais comme l’argent investi provenait d’un deal douteux avec l’ancien patron d’Adidas et qu’il n’avait pas trop envie de payer des impôts sur ses gains, il n’a rien déclaré.
Avec l’arrogance boursoufflée qui l’a toujours caractérisé, Uli Hoeness a longtemps pensé s’en sortir sans trop de casse. Tout au long de l’instruction et du procès, il a continué à parader dans les loges de l’Allianz Arena, à pérorer sur tous les sujets et à se faire acclamer par les troupeaux de clients du Bayern. Quelques regrets contrits, l’annonce du transfert de Götze pour détourner l’attention des médias, une régularisation discrète et une amende indolore vu sa fortune, en mode Lionel Messi, voilà comment espérait s’en tirer le président du Rekordmeister. Mais l’Allemagne n’est pas l’Espagne et la Justice y a d’autres fonctions que de protéger les tricheries des puissants. Les juges ont été d’autant moins enclins à la clémence que les aveux «spontanés» d’Uli Hoeness ne sont intervenus qu’une fois la divulgation de l’affaire inéluctable et que l’auto-dénonciation «sincère» n’a porté que sur deux millions d’euros alors qu’en fait les sommes soustraites à la voracité du fisc allemand avoisinaient les trente millions. Verdict : trois ans et demi d’emprisonnement pour méditer sur la proximité entre le Capitole et la Roche Tarpéienne dans la célèbre prison de Landsberg am Lech, comme un certain Adolf nonante ans plus tôt.

Marc Lüthi

Ce n’est pas le genre de la maison de remuer une faucille rouillée dans une plaie encore béante et infectée durant des jours, mais le cas du CP Berne mérite bien une petite dérogation. Ni «3» ni «4», le champion suisse en titre s’est mis dans la peau de ses pauvres congénères du Dählhölzli en succombant à la 9e place du classement à l’issue de la saison régulière synonyme de non-qualification pour les séries. Un magnifique exploit dont les responsabilités au sein des Ours vieillissants sont certes multiples, mais qui portent principalement la patte du toujours très arrogant Marc Lüthi.
Tout au long de la saison, le grand manitou des Bernois n’a eu cesse de clamer sur les toits qu’une élimination serait inconcevable en plus d’être honteuse. Au fur et à mesure de l’enlisement d’une équipe sans relief ni caractère, Marc Lüthi a persisté à faire confiance à un entraîneur qui n’avait ni les épaules ni les compétences pour rabibocher le Titanic bernois. En plein naufrage, le directeur général des Oursons s’est fourvoyé en confiant les rênes de l’équipe au duo Leuenberger/Sheehan. Si si, Gary Sheehan. Un superbe «move» qui aura eu le mérite de creuser la tombe des Bernois avec une bombe H. A cinq journées du terme du championnat, l’émérite Lüthi fit débarquer Guy Boucher – grand connaisseur du championnat suisse – en catastrophe avec le mandat de renflouer le supposé poids lourd du hockey helvétique avec un fil de soie depuis le fond de la fosse des Mariannes. Une entreprise qui s’est étrangement soldée par un échec. Durant toute la saison, Marc Lüthi a donc fait tout faux, mais avec panache. Manquer une qualification pour les séries en tant que champion suisse en titre au budget colossal, on en a rêvé : Marc Lüthi l’a fait !

Alan Pardew

Arrivé en décembre 2010 dans l’anonymat le plus complet à la tête de Newcastle United, Alan Pardew a sauvé la place du club en Premier League avant de le qualifier pour l’Europe au terme de la saison 2011-2012. Des débuts en fanfare qui lui vaudront le trophée de manager de l’année et une prolongation de contrat jusqu’en… 2020 !
Mais n’est pas Alex Ferguson qui veut, et c’est au lendemain de la signature que l’imposteur anglais va montrer son vrai visage. Entre deux scandales dans le Sun sous fond d’impulsivité mal maîtrisée, l’entraîneur des Magpies va avoir l’idée de génie d’axer sa stratégie de recrutement sur les stars de la Ligue 1. Après Cabaye et Ben Arfa, notre Wenger du pauvre recrute les improbables Sissoko, Debuchy, Gouffran, Haïdara et autre Yanga-Mbiwa. Autant d’étoiles plus ou moins filantes débarquées pour la moitié durant le mercato hivernal pour pallier une crise naissante. Au final, une lamentable 16e place pour un Newcastle passé à un cheveu de la relégation en Championship.
Depuis, plus personne ne rêve dans le Tyne and Wear. Enlisé dans le ventre mou du classement, Newcastle est à des kilomètres de ses grandiloquentes ambitions. L’ambiance dans le vestiaire de St-James Park ne semble pas augurer de meilleurs lendemains, comme l’a montré la récente altercation entre l’inutile Ben Arfa et son guignol de manager. Un Alan Pardew qui avait déjà touché le fond début mars, lorsqu’il asséna un simulacre de coup de boule à David Meyler (Hull City) dans le plus pur style zidanien. En conséquence, 7 matches de suspension et près de 200’000 euros d’amendes cumulées. Mais un contrat en béton qui l’immunise contre toute velléité de licenciement. Dommage, ne plus voir Pardew et ses gesticulations pathétiques sur les terrains de Premier League ne nous aurait pas déplu, bien au contraire.

Bernard Tomic

Tel père, tel fils : la famille Tomic innove en devenant la première à placer deux de ses membres dans une sélection du Pigeon mensuel. Bernard Tomic va donc essayer de faire aussi bien que son géniteur John, sacré en avril 2013 pour ses esclandres à répétition sur le circuit ATP. Le fiston n’est pas en reste : en 2009, le jeune homme est suspendu un mois pour avoir quitté un court pour protester contre l’arbitrage ; en 2012, il est carrément exclu de l’équipe australienne de Coupe Davis pour son manque d’implication et après avoir balancé certains matchs, entre autres frasques : excès de vitesse, délit de fuite etc. Fatalement, toutes ces fantaisies n’améliorent pas son classement ATP, 75e actuellement, après avoir culminé à la 27e place en juin 2012.    
A 21 ans, Bernard Tomic a encore l’avenir devant lui mais il a déjà raté un premier objectif, lui qui s’était juré d’atteindre le top-ten avant son vingtième anniversaire. Car l’Australien a une très haute opinion de lui-même, n’hésitant pas à déclarer : «Je veux gagner les quatre tournois du Grand Chelem en un an, faire mieux sur terre battue que Federer et être numéro 1 mondial.» Avec un quart de finale perdu en 2011 contre Djokovic à Wimbledon comme meilleur résultat en Grand Chelem, il est encore assez loin du compte. Cependant, il vient tout de même de battre son premier record sur le circuit et quel record ! Celui de la défaite la plus expéditive, hors abandon, de l’histoire : 6-0, 6-1 en 28 minutes et 20 secondes : dans un tournoi aussi prestigieux que le Masters 1000 de Miami, ça fait un peu tache. Et qui est donc le monstre qui a infligé pareille correction à l’autoproclamé nouveau Rod Laver. Federer ? Nadal ? Djokovic ? Non, Jarkko Nieminen, obscur vétéran finlandais pointant au 45e rang ATP. Le chemin qui sépare Bernard Tomic de la première place mondiale qui lui est promise paraît encore long et semé d’embûches.

Pascal Zuberbühler

C’est un secret de Polichinelle mais Hugh Quennec ne connaît rien au football et à ses codes. Son rôle consiste surtout à étaler son sourire Colgate dans les médias et les loges VIP, à flatter sa meute d’admirateurs béats à coup de théories «place to be» et à trouver des astuces pour masquer le déficit budgétaire en fin de saison. Rayon sport, en revanche… En hockey sur glace, le président servettien peut déléguer cette partie-là à Chris McSorley mais en football il cherche encore son Jésus Chris. Et a priori, il pense avoir trouvé son oracle providentiel en la personne de Pascal Zuberbühler. Pourtant, le cv de l’ancien portier de la Nati depuis sa reconversion ne plaide guère en sa faveur, entre un projet de reprise de Neuchâtel Xamax avorté, un bref passage aux Philippines et un échec retentissant à Young Boys aux côtés de son éternel complice Christian Gross pour l’un des flops les plus onéreux de l’histoire récente du foot suisse. Mais, arrivé à la Praille dans un rôle d’entraîneur des gardiens et d’ambassadeur du club grenat, Zubi a su s’attirer les bonnes grâces présidentielles en susurrant des théories grandiloquentes et des ambitions monumentales dans les oreilles peu expertes d’Hugh Quennec.
Résultat : Pascal Zuberbühler est devenu l’homme fort du FC Servette. Avec pour résultat, pour l’heure, d’avoir mis sur la touche le directeur sportif Loïc Favre, pourtant venu pour incarner un projet à long terme, de s’être aliéné une bonne partie du vestiaire, d’avoir complètement foiré la campagne de transferts hivernale et d’avoir fragilisé jusqu’à l’éviction la position de l’entraîneur Jean-Michel Aeby, toujours confiné dans un rôle d’intérimaire malgré les brillants résultats obtenus à l’automne. Avec Flamby Quennec dans le rôle de président et Zuberbühler comme premier ministre, l’organigramme servettien rappelle feu le gouvernement de Jean-Marc Ayrault, pléthorique et inefficace, plus prompt à creuser les déficits qu’à inverser positivement la courbe des résultats. Ainsi, Servette encaisse des 1-5 à domicile contre l’immense Wohlen et stagne dans le ventre mou d’une LNB pourtant particulièrement peu relevée cette saison. Et l’on parle désormais de l’arrivée d’un «manager à l’anglaise», histoire d’ajouter encore à la confusion ambiante d’un club qui, sous la houlette de son nouvel homme fort, ne paraît guère prendre le chemin d’un retour vers les sommets.

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11 Commentaires

  1. Surtout pas Zubi !

    C’est ridicule votre présentation sur un des meilleurs gardiens suisses de l’histoire. Seul un lozanois (LNB) a pu écrire des idioties pareilles.

    Zubi est totalement visionnaire et il est la bonne personne. Comme le dit mitch plus haut, il a mis des jeunes et il va amener un manager à l’anglaise qui va amener Servette en LNA.

  2. Zubi est pas mal dans son genre. Mais ce n’est pas entièrement de sa faute mais plutôt de celle qui a engagé un tel incompétent à ce niveau de l’organigramme…. Alors, je vais plutôt opter pour Hoeness….

  3. LHC-Biou en son temps avec le seul Stalder, et cette année pas moins de 3 zébrés sur 4 valaisans pour siffler un match du barrage de Viège.
    Je me demande ce que les lausannois auraient fait dans cette situation.
    Ils auraient au moins lancé un « Occupy Palud », vu comme ils n’ont toujours pas digéré leur indignation à lire le texte sur Bertolotti.

    Je lui donne toutefois quand même mon vote pour être le grand responsable du déclin de l’arbitrage de notre hockey !

  4. sans aucune hesitations Bertoloti!! Les zèbres ont tout simplement été zeros cette année (comme chaque année en fait…). Entre mauvaises décisions, erreurs d’appréciation, erreurs de placement aussi (combien de fois ils font ch*** les joueurs en se mettant où ils doivent pas..), on a plus de voix à la fin de chaque match, non pas pour avoir trop supporté son équipe mais pour toutes les esclandres faites à ces zouaves…

    Z comme zouaves, zéros, et zèbres… Un pur scandale!

  5. Pfiou, pas évident ce mois-ci ! Beaucoup de gens pas très malins, mais pas de pigeons d’or en puissance comme Lorenzi ou Roussey ces derniers temps. Ça risque d’être serré !

  6. Zubi? je suis étonné…Le 1-5 contre Wohlen à 9 contre 11 pendant 60min…Et depuis qu’il est arrivé et qu’il prend des décisions on se retrouve avec 2-3 voir 5 (!) jeunes formés au club…Honnêtement, je vois pas ce qu’on peut lui reprocher…M’enfin…

  7. Franchement dure cette sélection .
    Procédons par élimination :
    – Bertolotti ? Non . Taper sur les arbitres c’est quand même le summum du poujadisme abreuvé de pastis .
    – Giroud ? Un joueur moyen qui va aux putes , je ne vois pas où est le problème : c’est exactement ce que je ferais à sa place .
    – Luthi ? le hockey c’est pas un sport donc on s’en fout .
    -Pardew ? C’est déjà plus interessant : vouloir monter une grande équipe en achetant à prix d’or des joueurs moyens de Ligue 1 c’est assez costaud . Néanmoins , j’aurais plutôt envie d’attribuer le prix au gros Platoche qui nous gave avec son fair-play financier alors qu’il laisse faire n’importe quoi en terme de transferts et de salaires .
    -Tomic ? S’il fallait filer un prix à tous les joueurs qu’on croit qu’ils vont etre bons mais en fait le sont jamais , on n’a pas fini . Là encore j’ai plus envie de le filer aux pseudo spécialistes qui nous vendent n’importe quoi .
    – Zubi ? Ca fait trop longtemps que le Servette est pourri par de multiples incompétences pour le condamner . Il s’est juste greffé à l’entreprise de démolition du club .
    Puisqu’il faut choisir je dirais Pardew qui est quand même un sacré escroc .

  8. Zubi…

    Ce mec, y’a que deux solutions.
    Soit c’est un incompétent notoire doublé d’un dictateur. Et donc, il continuera de se planté tant que personne n’aura le courage de mettre fin à la mascarade…

    Soit c’est un génie visionnaire et forcément incompris.

    Dans les deux cas, il mérite ce pigeon d’or… Ceci dit, c’est vrai que cette fois-ci, c’est pas évident. Lüthi, quand même, ce qu’il réussi cette saison à la tête du SCB c’est fort… Mais perso, j’attendrais une année avant de lui décerner le prix… Parce que je suis pas certain du tout qu’il fasse mieux la saison prochaine…

    Tomic, parce que c’est Tomic. Et Bertolotti parce que c’est Bertolotti.

    Les autres sont hors course.
    Un footeux qui va aux putes, franchement, on s’en fout comme de notre première érection.

    Un entraîneur de foot qui gesticule un peu trop sur la touche, c’est tellement banal que je sais même pas ce qu’il fout dans la sélection celui-là. D’autant que si on doit clouer au pilori chaque mec qui rate un mercato, on a pas fini!

    Et franchement, un riche dirigeant d’un riche club de foot qui cache de l’argent au fisc, ça surprend qui ça????

    Peut-être quelques naïfs de l’arc lémanique. Quelques idéalistes pourquoi pas. De vrais observateurs des choses du sport de haut niveau, du foot en particulier, certainement pas…

    NF, salutations du jura-bernois, puisqu’on est restés suisses-allemands…

  9. Décidemment, j’adore CartonRouge.ch ! Lorsque à quelques minutes d’intervalle, on peut lire dans le Matin Dimanche un article sur Zubi qui lui passe à un tel point la pommade qu’on pourrait croire qu’il a été écrit par lui-même, et qu’ensuite on vient lire l’excellente présentation du candidat Pigeon d’Or ci-dessus, et bien croyez-moi, on remercie notre cher site d’exister !
    Allez, rien que pour ça, mon vote ira à Superboulette , le gardien qui touchait la latte avec ses doigts, mais qui ne touche maintenant plus le sol !

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