Dans un imbroglio transalpin orchestré en main de maître par Vous-Savez-Qui, une question hantait les travées du très animé stade de Tourbillon depuis l’annonce de l’identité du nouveau seigneur des vestiaires sédunois Arno Rossini (retenez bien ce nom) : qui allait
Tops1. Robin van Persie (Hollande et Manchester United) +25 points
Depuis son arrivée contestée par les Gunners invétérés à ManU, Robin van Persie a grandi.
17’310 yeux ébaubisAtomisées, les souris vertes; éclatés, les Soleurois; fumés, les boys à Scott Beattie; renvoyés à leurs études, Tobler et ses potes. 4-0 dans la gueule, ce que ça fait du bien.
Du rêve, tant une réunion exclusivement mâle d’amateurs de foot et fans de l’équipe nationale pour suivre un match de la Suisse est généralement source d’intenses moments de poésie.Qu’avons-nous au programme en cette fin d’après-midi ?
Fini les provocations à deux balles, fini les chants anti-lausannois entonnés par toute une patinoire. Place à l’esprit sportif, au vrai. Le fair-play «version play-off» se voit autant sur la glace que dans les tribunes.
Pas besoin de sortir le match parfait, seule la victoire compte, mais pour la quatrième fois en huit matches de play-off, Gottéron a montré mardi soir une forme de suffisance en baissant de plusieurs niveaux une fois l’avantage pris en
1. Le manque de respectLorsque six entraîneurs se succèdent sur le banc en moins d’une saison, il est naturel de se poser des questions. Ces questions doivent être de nature diverse.
Le moins que l’on puisse dire, c’est que le retour de Rafael Nadal a marqué les esprits. Une finale et trois victoires, dont un triomphe au Masters 1000 d’Indian Wells, tel est le bilan de Popeye depuis son come-back début février. Autant dire que la bête de Manacor n’a rien